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09/04/2016

 

La «peresroïka» religieuse imposée à la Russie

 

Extrait du discours de V.N. Osipov, président de l'union «Renaissance chrétienne» et du Mouvement de la résistance au nouvel ordre mondial, prononcé dans le cadre du forum antiœcuménique à Moscou le  27 mars 2016

 

Si le document néfaste «Les relations de l'Église orthodoxe envers le reste du monde chrétien» soit approuvé lors du VIII Concile œcuménique sur l'île de Crète en juin 2016, l'hérésie oecuménique, y compris l'hérésie du mondialisme, sera incluse, hélas, dans la doctrine de la foi orthodoxe.

 

Séraphim de Sarov avait prédit, comment beaucoup d'évêques auront basculé dans impiété à l'ère de l'apostasie. Cette ère est là.

 

J'ai peur. Le sort de l'orthodoxie me fait peur. Je crains que ce soit «la doctrine de foi» sur la religion planétaire, attendue par les serviteurs de l'Antéchrist. Dans la discussion du document au Consile des archevêques, l’hiéromoine Pierre de Moldavie a demandé la parole. Il n'a pas reçu la permission de parler. Le document fut adopté à la hâte, à l'unanimité. Le 5 février, nous apprenons tout d'un coup que le patriarche Kirill se hâte à Cuba, à La Havane, pour rencontrer l'ennemi farouche de la Russie et de l'orthodoxie, le pape jésuite François.

 

C'est précisément le pape François, connaisseur de la langue ukrainienne, avec les États-Unis et l'OTAN, a incité le Maïdan de Kiev. Il promouvait le coup nazi en Ukraine sous les slogans «Tue un russe!» et «Mort aux moscals!» Avec la bénédiction de François, le patriarche Bartholomée de Constantinople a annoncé la convocation du Concile orthodoxe à Istanbul, ensuite transféré à Crète. Le battage massif dans les médias libéraux prooccidentaux et malheureusement, même dans les médias patriotiques, a atteint un tel point que, pour beaucoup de croyants orthodoxes ordinaires, le pape est devenu une figure acceptable. La confiance au patriarche Kirill est de tel niveau que beaucoup de mondains croient naïvement: il est impossible que notre père rencontre un hérétique russophobe, jésuite judaïsant.

 

La majorité ne connaît pas les décisions du II Concile de Vatican de 1962-1965 et l'abjuration complète de Christ par la Curie romaine (L'avis de Mgr Marcel Lefebvre: «Ils l'ont découronné. Du libéralisme à l'apostasie» - ainsi l'archevêque catholique a intitulé son livre). Au bout de 2,5 mois, le 16 juin 2016, le VIII Concile œcuménique aura lieu sur l'île de Crète, et il est possible que la majorité d'apostats voterait au Conseil pour le pape comme chef du monde chrétien. Alors, notre Église, le dernier rocher dans la mer de l'impiété, tombera sous gestion externe, pour recevoir des instructions de Rome et Bruxelles. Tout comme en 1991 notre finance est tombée sous gestion externe. Ce serait un énorme coup à la sécurité nationale de la Russie. Un oecuménisme satanique deviendrait la doctrine officielle de l'Église.

 

En 2008, sur la même Crète, la «Commission mixte internationale pour le dialogue théologique entre l'Église catholique et l'Église orthodoxe» a développé le document conjoint orthodoxe-catholique reconnaissant la suprématie du pape: «Le rôle de l'évêque de Rome dans l'unité de l'Église au premier millénaire» (The Role of the Bishop of Rome in the Communion of the Church in the First Millennium). Ce document reconnaît la primauté de l'évêque de Rome - non seulement la primauté de l'honneur, mais aussi de l'autorité, en tant que du successeur de Sts. Pierre et Paul dans le sens catholique.

 

Pour le pape est affirmé le droit de faire fonction du juge, si un évêque d'une Église locale, accusé de quelque chose, veuille s'adresser à lui. Ce document a été gardé secret, puis en 2009-2010 il était finalisé par le métropolite Illarion, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou. Cependant, le Synode du Patriarcat de Moscou a décidé de «ne pas donner un statut officiel au document, mais l'utiliser en tant que matériau pour la préparation d'un nouveau document». On va donc l'utiliser sur l'île de Crète en juin 2016...

 

Nous apprenons de nouveaux et importants détails sur le concile de la Crète. Par exemple, la présence de toute une cohorte «d'observateurs», catholiques, protestants, monophysites. Une légion d'hérétiques qui, même par le silence, vont créer une atmosphère de la «tolérance». L'idée de la primauté du pape sur le monde orthodoxe a déjà visité les évêques. En effet, du côté russe, seulement 5 personnes étaient renseignées de la réunion «soudaine» du patriarche Kirill avec le pape François. Ce n'était pour rien que la réunion des deux chefs religieux fût intercalée dans l'historique des préparations préconciliaires. Le pape ne cessait pas de surveiller la préparation du concile. Il a le patriarche Bartholomée, fidèle à lui et à l'OTAN, d'autres représentants des structures d'apostasie...

 

Le Vatican aujourd'hui est une partie intégrante du gouvernement mondial, en collaboration avec la Maison Blanche, le club de Bilderberg, la Commission Trilatérale, la ploutocratie financière internationale, ainsi que la khazarocratie.


La cloche de février marque le début d'un grand changement, de grands événements.

 

Source dsnmp.ru

 

Traduit par Olga (TdR)

 

Ndt -- Z. Bjezinsky disait qu'après le parti communiste, il restait à détruire l'orthodoxie, dernier bastion des Russes. Alors, ça y est.