La vidéo envisage trois défauts principaux du rapport de la commission internationale d'investigation du crash du Boeing MH 17.
1) Au moment du crash le satellite le plus moderne des États-Unis se trouvait là-dessus, et juste après la tragédie les américains ont déclaré qu'ils avaient des images du tir du côté des miliciens de Donbass. Mais ils n'ont jamais montré les images. Les satellites russes se trouvaient alors dans la zone aveugle temporelle; soit-il 40 minutes plus tôt ou 50 minutes plus tard, l'image du satellite russe serait présent.
2) La façon d'effectuer l'investigation. La méthode normale consiste à ramasser absolument tous les débris jusqu'à moindre détail pour les rassembler ensuite suivant les contours de l’avion. Dans ce cas-là, un grand nombre de pièces fut laissé sur place. Auparavant la commission a mis longtemps à se rendre sur la place de la chute du Boeing vu que le terrain était soumis à un tir nourri par l'armée ukrainienne. Bien de débris fut entremêlé avec la terre. Afin de déterminer la nature des éléments percutants de la roquette supposée, les investigateurs se sont adressés au bureau de l'expertise médico-légale(!) de l'Ukraine(!), et pas au fabricant des roquettes Bouk qui est la société russe Almaz-Anteï.
3) La société russe Almaz-Anteï a effectué l'essai réel: un avion semblable au Boeing a été abattu par un Bouk selon les paramètres de la commission internationale, c'est à dire, comme si le coup soit provenu de Snejnoe. L'essai a prouvé que la partie gauche du Boeing ne serait pas touchée si le tir provenait de Snejnoe (les miliciens). Les calculs scientifiques ont montré que le tir était possible d'un seul point: Zarochenskoe (les forces de Kiev). Les trous dans la coque sont de forme rectangulaire que laissent les roquettes qui depuis 2011 ne font plus partie de l'équipement de l'armée russe, mais qui sont en service dans l'armée ukrainienne. Mais le rapport du fabricant des roquettes a reçu un accueil froid à l'Occident.
Compte tenu 1) 2) 3) le rapport de la commission internationale n’est pas objectif.
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Cependant, à en juger d'après les films du lieu des événements, les témoins n'ont pas vu la trace d'inversion que laisse la roquette. Ils ont vu un avion militaire s'approcher de l'avion civil. Les militaires russes ont aussi fixé la présence des chasseurs ukrainiens dans la région ce jour-là. Le supposé pilote du chasseur Volochine, le 19 juillet 2014 décoré d'un ordre par Porochenko, a ensuite disparu.
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L'un des aspects les plus frappants de l'investigation est le contrôleur du trafic aérien ou l'aiguilleur du ciel. C'était Anna Petrenko, 28 ans, qui avait travaillé dans le sevice aérien de Dnepropetrovsk pendant quatre ans. Selon son profil dans les réseaux sociaux, sympathisante de l’oligarque ukainien Kolomoïsky et de Pravy Sector. Elle menait MH17 depuis le centre de commande de Dnepropetrovsk jusqu’au moment du crash. Après le crash elle a eu une conversation de deux heures avec des agents de SBU (le service de sécurité ukrainien) et après elle est soudainement partie en vacances et a disparu. Ensuite, toutes les traces de sa présence dans les réseaux sociaux ont disparu. Normalement, les enregistrements des conversations des contrôleurs aériens sont gardés pendant six mois, et en cas d'un accident, ils sont gardés éternellement. Dans ce cas-là, les enregistrements ont été retirés par SBU et ne figuraient plus nulle part. Sources 1, 2
Anna Petrenko, contrôleur aérien
Anna Petrenko, contrôleur aérien, au poste de travail
La commission internationale n'a pas réclamé des informations concrètes au service spécial britannique qui décryptait les boîtes noires, se bornant au commentaire "rien de substantiel". Rien de substantiel dans les conversations des pilotes ordonnés depuis la terre de changer de cap? 3
le cap du Boeing MH17
Qui a abattu le Boeing MH17? Ma réponse: cette opération a été préparée, organisée et effectuée par la dictature fasciste mondiale (occidentale), avec en chef les escrocs qui font leur monnaie-dette du vent, et les couches sous-jacentes de la pyramide financière et de pouvoir, par les mains de leurs services secrets ainsi que de l'organisme monstrueux "the Ukraine" qu'ils avaient créé.