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Grand secret du monde moderne

Posté le 12/03/2016

dont personne ne parle.

Il m'arrivait de parler à ce sujet dans les commentaires en russe, en français, en anglais, toujours sans aucune réponse: pas d'objection, pas de question, rien. Je m'étonnais, puis j'ai compris: personne n'en parle, parce que... personne n'en parle. On n'écrit pas d'articles à ce sujet. Des milliers d'articles sur la politique et les politiques paraissent tous les jour, mais pas un seul petit article sur leur source. Rares sont ceux qui touchent ce sujet.

Bien que la Réserve Fédérale des États-Unis a ses propriétaitres (actionnaires), on les garde dans l'obscurité, ne mentionnant que ses fonctionnaires - pourquoi? Il y a bien une loi sur la Réserve Fédérale.

Si, un jeune homme m'a bien répondu - par une plaisanterie, une bonne blague amicale, vraiment drôle. Ce type de questions - pourquoi y a-t-il dix fois plus de monnaie et de titres dans le monde que de biens matériels; d'où vient la monnaie d'intérêt qu'on paie sur la dette - c'est pour plaisanter. Puisque ce n'est pas d'usage parler de cela. Il faut parler de choses sérieuses: du taux directeur, d'assouplissement quantitatif, ou bien de la crise ou du krach.

 

  Les grandes personnes ont, sur toutes les choses, des idées toutes faites qui leur servent à parler sans réfléchir.

 

Le grand secret du monde moderne est en ce que le monde est divisé en deux parties, l'une étant constituée de ceux qui produisent des biens matériels (c'est le monde proprement dit), l'autre de ceux qui produisent la monnaie à leur propre gré (un tout petit groupe).

Pour gouverner le monde, le groupe a deux outils visibles: les gouvernements (ce qui est logique) et les médias, pour nous faire croire que les gouvernements soient «démocratiquement élus».

 

  Monsieur, votre enfant n’est pas comme tout le monde. Il nous est impossible de le garder.

 

Le capitalisme s'est terminé donc en décembre de 1913. En ce moment-là l'esclavage moderne fut lancé, imperceptible car il était plutôt collectif (jusqu'ici) et drapé en tunique du mensonge officiel.

Les écrivains futuristes n'étaient pas clairvoyants, tout simplement quelqu'un leur a glissé à l'oreille quelques mots sur les plans futurs.

 

On voit comment l'Union Soviétique, l'état où je suis née, une superpuissance géante, ayant vaincu dans la grande guerre épouvantable, «s'est effondrée». Un certain nombre de dirigeants furent enrôlés, le peuple fut trompé dans la guerre mentale profonde. Qu'est-ce la guerre de tromperie? Rebaptiser le mal en bien, puis en faire le consentement de tous. Tout de même, vers la fin, le 17 mars de 1991, a eu lieu un référendum, avec une question bizarre «voulez-vous garder l'URSS?» (70% ont répondu OUI.) Maintenant, après coup, il est clair que c'était fait selon la tactique de fenêtres d'Overton, pour que l'impossible ne parût pas si impossible. Pourtant  on n'a jamais posé la question «vouliez-vous échanger le socialisme contre  un autre système?»

 

  - Son pays? Il a perdu son pays à la guerre? Comment est-ce possible?
- C’est pourtant ainsi. Son pays a complètement disparu. Il ne l'a jamais retrouvé. C'est pour cela qu'il est ici.

 

On a acquis mon pays pour y installer, au lieu de sa propre banque principale gérant l'argent assuré par l'économie réelle, la banque centrale filiale du groupe privé, qui contrôle le monde avec sa monnaie frauduleuse. Plus les grosses banques associées, pour piller le pays brisé et ses citoyens. Pour bafouer, à l'unisson de l'époque de fausses appellations, la banque centrale fut nommée «indépendante», comme l'éclatement de l'URSS fut nommé «l'indépendance de la Russie». Très drôle! Tout le monde rit.

 

«Si je comprends bien, ils vont se faire la guerre à cause du pétrole parce que le pétrole est indispensable à la guerre».

Il rouvrit les yeux.
- Eh bien, c'est idiot, déclara-t-il.

Tout cela pour établir en fin de compte la gouvernance mondiale absolue de ces escrocs, le plan qu’ils sont en train de réaliser. «Nous sommes reconnaissants aux Washington Post, New York Times, Time Magazine et autres grandes éditions dont les directeurs étaient assistés à nos réunions et ont respecté leur promesse de maintenir la confidentialité pendant près de quarante ans. Il serait impossible de développer notre plan pour le monde entier s'il fût rendu publique à cette époque. Mais maintenant, le monde est devenu plus compliqué et il est prêt à être dirigé vers le gouvernement mondial. Le pouvoir suprême supranational de l'élite intellectuelle et des banquiers mondiaux est sans doute préférable à l'autodétermination nationale, pratiquée dans les siècles passés». -- David Rockefeller, le 8 juin 1991.

 

Le monde est divisé en deux parties, ou deux contreparties, l'une trompe, l'autre se laisse tromper. Le changement d'attitude pourrait changer la donne.

Les citations vertes sont du livre «Tistou les pouces verts» de Maurice Druon.

 

 

Amicalement

Olga de TdR