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L’éclipse

Posté le 24/09/2018

Ce billet de blog vient s’ajouter au précédent.

Mesdames et messieurs,

Il faut que je commence de cette façon, vu que la fête du satan bat son plein : cet été, la république possédée de la « race supérieure » supprima la race, les hommes et les femmes dans sa loi, et en même temps, a remis le prix à son collègue comédien sataniste qui agit en Russie - pour son affaire de dépraver les jeunes par ses spectacles en plein centre de la capitale russe. [1] Car les enfants sont aujourd’hui leur but numéro un.

 

***

 

Après « Les Juifs et le Talmud », j’ai lu sur internet d’autres études de Flavien Brenier, à savoir, Les origines secrètes du bolchevisme avec l’article polémique « Marxisme et judaïsme » et puis les articles sur Lénine et sur le duel entre Staline et Trotzky. Ces ouvrages ont été publiés dans La Revue de Paris à la fin des années 20 du siècle passé, sous son pseudonyme Salluste. La fin de la lecture fut vilaine : il termina le dernier article par inciter la « Civilisation » à aller sur le « Carthage » soviétique, quelle que soit l’issue du duel entre la partie russe avec Staline à la tête et la partie israélite de Trotski dans le gouvernement soviétique... Il n’a même pas pensé que la civilisation qui veuille détruire un Carthage sous un prétexte quelconque, ne peut pas s’appeler une civilisation.

 

L’auteur montra avec brio les origines secrètes du bolchevisme qui sont bien entendu juives. (Karl Marx ou Herschel Levi Mordechai, et Frédéric Engels, étaient tous les deux descendants des familles rabbiniques, c’est tout dire.) Après Staline, les Juifs « administraient la fortune publique » et puis l’ont usurpée, à partir de 1991. Selon le regretté académicien D. S. Lvov, pour l’an 2004, 92 % des biens de notre pays se trouvaient entre les mains de 12 familles.

 

Mais pourquoi F. Brenier regardait d’un côté ? Est-ce qu'il ignorait que les origines secrètes de la république étaient les mêmes ? C’est lui quand même qui cite, dans « Marxisme et judaïsme », le célèbre Juif Bernard Lazare qui dit « il y eut des Juifs au berceau même de la Franc-Maçonnerie, des Juifs Kabbalistes ». Il était bien au courant que les franc-maçons ont préparé la révolution française. Il discutait des politiciens, ce qu’ils disaient et faisaient, voilà un exercice futile, car les politiques faisaient ce que les patrons judéo-maçonniques leur ordonnaient. Salluste était donc captif de la boîte politique, du côté « maçonnico-républicain », c’est son terme. Il semble avoir sous-estimé la franc-maçonnerie, il l’a même qualifiée une fois d’académique, et il sous-estimait sans doute le rôle juif en elle. L’apparence républicaine, la « civilisation », lui était si habituelle et accueillante ! Moi, j’étais un peu comme lui, mais de l’autre côté. Nous sommes tels quand la réalité nous est dérobée.

 

« L'Union des Juifs pour la Civilisation et la Science lança le Judaïsme international à l’assaut de cette Société chrétienne qui hésitait devant l’admission d’une race considérée alors comme inassimilable; elle assigna à son humeur conquérante des buts politiques précis et immédiats. » (Brenier)

 

Le premier politicien s’appelait monsieur Serpent. Il se présenta devant Eve et avança la première idée politique : « Mangez ce fruit, et vous serez comme dieux ». C’était le premier politicien à proclamer les droits de l’homme.

 

Après son succès politique, le Malin disposait de tout le genre humain. Comment pousser l’affaire vers son pouvoir absolu sur l’humanité ? Pour faire progresser, il faut appuyer tour à tour à deux pédales, ou guider le chariot avec deux rênes, ou ramer avec deux rames - la droite et la gauche.

 

Brenier appelle Marx le pontife du néo-messianisme (c’est l’idée que « le peuple juif pris collectivement sera lui-même son Messie »). Mais en fait, Marx était un outil dans la main gauche du « Juif et sa banque » maître de l’Europe toute entière, au dire de Dostoïevski. L’outil dans la main droite était la franc-maçonnerie républicaine et ses idéologues, comme certains « penseurs français » (voir l’Annexe en bas de la page) et certains « savants anglais » avec leur théorie de l’évolution.

 

La révolution de 1917 en Russie est une illustration très claire de la tactique judéo-maçonnique pour naviguer vers le but : en février, le renversement de la monarchie et le gouvernement provisoire (la rame droite, les franc-maçons) ont préparé les conditions pour la révolution d’octobre (la rame gauche, le Bund et l’Internationale). [2]

 

Les gens soviétiques ignoraient que Marx était, pratiquement, un rabbin juif. Ils ignoraient aussi l’histoire qui s’est déroulée entre lui et Bakounine et les actions infâmes de Marx...

 

Marx ne s’en prenait pas aux riches dans la Gazette rhénane, comme le prétend Salluste, mais expliquait à ses confrères comment l’affaire serait faite des deux côtés. La devise « prolétaires de tous les pays, unissez-vous » était un appel aux Juifs de tous les pays... Le même pour l’Internationale. Et voilà la fédération juive qui triomphe. La fédération est un mot historique qui remonte à la révolution française du XVIIIe siècle. Quand Marx a écrit « toute l’histoire est l’histoire de la lutte des classes », il savait que les confrères allaient comprendre qu'il sous-entendait en fait l’histoire de la lutte des Juifs pour leur règne terrestre.

 

C’est avec les deux rames, la gauche et la droite, que nous y sommes venus : « Dans cette organisation nouvelle de l’Humanité les fils d’Israël répandus dès maintenant sur toute la surface du globe, tous de même race et de même formation traditionnelle sans former cependant une nationalité distincte, deviendront sans opposition l’élément partout dirigeant... Ainsi se réalisera la promesse du Talmud que, lorsque les temps du Messie seront venus, les Juifs tiendront sous leurs clefs les biens de tous les peuples du monde. » (Lévi). L’organisation nouvelle nous approche : « Dans l'État démocratique l'homme est le membre imaginaire d'une souveraineté imaginaire, dépouillé de sa vie réelle et individuelle et rempli d'une généralité irréelle. » (Marx).

 

Si Brenier savait que ce serait en démocratie et civilisation, en plein centre de l’Europe, au « Forum économique international », et non pas au sein du « communisme », les républicains allaient annoncer la suppression de la propriété et de la vie privée ! [3] Et que non pas au sein du communisme, mais dans la république, la famille allait être attaquée et la sodomie légalisée ! La droite et la gauche sont opposées comme deux palettes de la pagaie dans les mains du « Juif et sa banque » qui manœuvre son bateau.

 

 La France était alors [années 1880] en proie à une violente campagne antireligieuse, déchaînée par les partis de gauche, enfin solidement installés au pouvoir. On chassait les congrégations, on confisquait leurs biens, et, comme il fallait, pour leur appliquer la législation nouvelle, une magistrature docile, on suspendait l'inamovibilité des magistrats et l'on écartait ceux dont la conscience parlait trop haut. Tout cela n'allait pas sans résistances, parfois violentes. Pour imposer silence aux catholiques, un des hommes les plus caractéristiques du nouveau régime, M. Waldeck-Rousseau, ministre de l'Intérieur, proposa aux révolutionnaires une alliance tacite : les bandes rouges descendraient dans la rue, manifesteraient, commettraient des violences anticléricales; et, en échange de leur appui, le gouvernement de la République leur accorderait une loi exemptant du droit commun les Syndicats ouvriers. » (Brenier)

 

C’est-à-dire, la même campagne antireligieuse était menée par les judéo-maçons en Europe et un peu plus tard en Russie.


Et voici quelques citations choisies, composées sous forme de dialogue.

Brenier. Avec sa brutalité ordinaire, Marx leur rappelle d'abord que le but poursuivi par la race n'est pas l'égalité avec les chrétiens, mais la ruine totale de la Société chrétienne, dont l'existence est considérée comme intolérable.

Marx. S'ils veulent devenir libres, les Juifs ne doivent pas se convertir au Christianisme tout court, mais au Christianisme dissous, à la religion dissoute, c'est-à-dire à la philosophie, à la critique et à son résultat : l'Humanité libre.

Brenier. La Société chrétienne n'est-elle pas en voie de dissolution? Ne perd-elle pas chaque jour quelque chose de son caractère pour s'organiser à là juive?

Marx. Le Juif s'est émancipe, non seulement en se rendant maître du marché financier, mais parce que, grâce à lui et par lui, l'argent est devenu une puissance mondiale, et l'esprit pratique juif est devenu l'esprit pratique des peuples chrétiens. Les Juifs se sont émancipés dans la mesure où les chrétiens sont devenus Juifs. En théorie, le Juif est privé des droits politiques, alors qu'en pratique il dispose d'une puissance énorme et exerce en gros son influence politique diminuée en détail. 

 

Cependant, le maître du marché financier avait besoin des droits politiques pour les Juifs en vue d’organiser des gouvernements juifs et des institutions législatives juives. Cela fut effectué selon Marx : « Comment rend-on impossible une opposition religieuse ? En supprimant la religion ». Et voilà le truc : il n’y a plus de Juifs ! Seulement des ministres et députés... et bien sûr, banquiers, hommes d’affaires et journalistes. Une métamorphose magique.

 

Appréciez l'ampleur de l’escroquerie. Au XIXe siècle, tout le monde savait qu’il existe Dieu, le Créateur de tout ; et qu’il existe des Juifs antichrétiens. Alors, les judéo-maçons ont répandu l’athéisme : « Dieu n’existe pas » . Mais dans ce cas, les Juifs n’existent pas non plus ! Les Juifs ? Pourquoi justement les Juifs ? Peut-être, vous êtes anti-quelqu’un ? Et voilà une armée idéale, dissimulée et ignorée.

 

Selon la nouvelle doctrine sociale, apportée de droite et de gauche, tout se passe « tout seul », ce qui fait une bonne couverture pour que l’armée du satan agisse à son gré. Tandis que le grand public est persuadé que la foi est une chose illusoire, et que la politique et la démocratie sont des choses bien réelles, c'est tout le contraire... La politique et la démocratie sont un bateau ou un chariot qui nous amène au royaume de l’Antéchrist.

 

Et ils nous ont trompés en quoi ? Dans la question principale, la plus importante pour chacun, dans la question de vie ou de mort.

Quel scandale…

 

Les Juifs satanistes appellent Lucifer « le dieu bon » parce qu’il leur tout donne et tout permet. Mais quand on y pense, ce sommes nous qui leur tout donnons et tout permettons, même si c’est à notre insu.

 

Seuls les Juifs seraient en nombre insuffisant pour répandre la mode et l’opinion, donc la franc-maçonnerie fut mise sur pied. Les trois derniers siècles font l’ère de la franc-maçonnerie. La franc-maçonnerie était très à la mode. Les nobles russes étaient en franc-maçonnerie par des familles entières (voir l'abrégé (en russe) de plusieurs livres sur les franc-maçons russes). Chancelants dans la foi, ils ne savaient pas que derrière les penseurs français à la mode étaient les Juifs. La franc-maçonnerie a préparé toutes les révolutions.

 

Cet été, soit dit en passant, la mode pour le jean troué a explosé, on en portait en masse ici, jusqu’aux plus hideux. Et c’est pareil. La foi est déjà inconnue, et les gens renoncent sans hésiter à leur dignité humaine pour « la mode » car ils ignorent d’où vient ce genre de mode et à quoi ça sert : pour promouvoir la pauvreté, mais aussi la laideur. Les « stupides goys » ne savent pas qui fait la mode pour eux.

 

la mode juive pour les goys_1 la mode juive pour les goys_2

 Images d’un site de mode

 

Les gens d’aujourd’hui ont une idée de la foi comme de quelque chose d’abstrait, plutôt respecté, comme une sphère du clergé. Dans ce contexte, le « nouveau clergé » peut promouvoir une « nouvelle foi ». Nous observons actuellement le clergé se diriger vers le domaine des discussions politiques, et ce sont les conditions pour préparer l’avènement de l’antéchrist.

 

Tout le long de l’histoire, nous voyons le satan imiter et parodier la Providence. Il a modelé à sa propre image l’homme moderne. Par opposition à l’économie du salut (οικονομία της σωτηρίας) il arrange « l’économie de la perte ». Oui, les démons savent, eux aussi, notre foi. Et l'ennemi perfide de notre salut se met avec ses contrefaçons entre l’homme et Dieu. Les démons sévissent dans le corps social aussi bien qu’ils attaquent l’individu. Comment s’armer contre ces menées, l’Apôtre l’a énoncé bien.

 

 

 Amicalement

Olga de TdR

 

 

Annexe

 Petit extrait du livre de Bernard Lazare, publié en 1894 à Paris et cité par F. Brenier

 

L'historien se borne à étudier la part que le Juif, étant donné son esprit, son caractère, la nature de sa philosophie et de sa religion, a pu prendre au procès et aux mouvements révolutionnaires. J'entends par procès révolutionnaire la marche idéologique de la Révolution, qui peut se représenter d'un côté par la destruction lente de l'état chrétien et de l'autorité religieuse, d'un autre côté par une évolution économique...

 

Les savants juifs traduisirent les libelles blasphématoires, les vies de Jésus, comme le Toledot Jeschu, et le XVIII siècle répéta les fables et les légendes irrespectueuses des Pharisiens du II siècle, qu'on retrouve à la fois dans Voltaire et dans Parny, et dont l'ironie rationaliste, âcre et positive, revit dans Heine, dans Boerne et dans Disraëli, comme la puissance de raisonnement des docteurs revit dans Karl Marx, et la fougue libertaire des révoltés hébraïques dans l'enthousiaste Ferdinand Lassalle.

 

On ne peut nier que l'Illuminisme et le Martinisme aient été de puissants préparateurs de révolutions. Quels furent les rapports des Juifs et de ces sociétés secrètes? Voilà ce qui n'est pas facile à élucider, car les documents sérieux nous manquent. Il est certain cependant qu'il y eut des Juifs au berceau même de la Franc-Maçonnerie, des Juifs Kabbalistes, ainsi que le prouvent certains rites conservés; très probablement, pendant les années qui précédèrent la Révolution française, ils entrèrent en plus grand nombre encore dans les conseils de cette société et fondèrent eux-mêmes des sociétés secrètes. Il y eut des Juifs autour de Weisshaupt; et Martinez de Pasqualis, un Juif d'origine portugaise, organisa de nombreux groupes illuministes en France.

 

Pendant la période révolutionnaire les Juifs ne restèrent pas inactifs. Étant donné leur petit nombre à Paris, on les voit occuper une place considérable. Nous avons vu comment, groupés autour du Saint-Simonisme, ils achevèrent la révolution économique dont 1789 avait été une étape.

 

Pendant la seconde période révolutionnaire, celle qui part de 1830, ils montrèrent plus d'ardeur encore que pendant la première. Ils y étaient d'ailleurs directement intéressés, car, dans la plupart des Etats de l'Europe, ils ne jouissaient pas encore de la plénitude de leurs droits. Ceux-là même d'entre eux qui n'étaient pas révolutionnaires par raisonnement et tempérament le furent par intérêt; en travaillant pour le triomphe du libéralisme, ils travaillaient pour eux. Il est hors de doute que par leur or, par leur énergie, par leur talent, ils soutinrent et secondèrent la Révolution européenne. Durant ces années, leurs banquiers, leurs industriels, leurs poètes, leurs écrivains, mus par des idées d'ailleurs bien différentes, concoururent au même but. Mais quelle que soit la fin poursuivie, fin intéressée ou fin idéale, les Juifs furent à cette époque parmi les plus actifs, les plus infatigables propagandistes. On les trouve mêlés au mouvement de la Jeune Allemagne; ils furent en nombre dans les sociéiés secrètes qui formèrent l'armée combattante révolutionnaire, dans les loges maconniques, dans les groupes de la Charbonnerie, dans la Haute Vente romaine, partout, en France, en Allemagne, en Suisse, en Autriche, en Italie.

 

Quant à leur action et à leur in fluence dans le Socialisme contemporain, elle est et elle fut, on le sait, fort grande. C'est Marx qui donna l'impulsion à l'Internationale, par le manifeste de 1847 rédigé par lui et Engels.

 

Les Juifs y furent nombreux, et, dans Conseil Général seulement, on trouve Karl Marx, secrétaire pour l'Allemagne et la Russie, et James Cohen, secrétaire pour Danemark. Outre Marx et Cohen, on peut citer Neumayer, secrétaire du Bureau de correspondance pour l'Autriche; Fribourg, qui fut un des directeurs de la Fèdération parisienne de l'Internationale, dont firent partie aussi Lœb, Haltmayer, Lazare et Armand Lévi; Léon Frankel, qui dirigea la section allemande à Paris; Cohen, qui fut délégué de l'association des cigariers de Londres au Congrès de l'Internationale tenu à Bruxelles en 1868; Ph. Cœnen, qui fut, au même Congrès, délégué de la section anversoise de l’Internationale, etc. Beaucoup de Juifs affilés à l’Internatîonale jouèrent plus tard un rôle dans la Commune, où ils retrouvèrent d'autres coreligionnaires.

 

Quant à l'organisation du parti socialiste, les Juifs y contribuèrent puissamment. Marx et Lassalle en Allemagne, Aaron Libermann et Adler en Autriche, Dobrojanu Ghéréa en Roumanie, Gompers, Kahn et de Lion aux Etats-Unis d’Amérique en furent ou en sont encore les directeurs ou les initiateurs.

 

...J'ai donc très brièvement esquissé l'histoire révolutionnaire des Juifs, ou du moins ai-je tenté d'indiquer comment on pourrait l'entreprendre; j'ai fait voir comment ils procédèrent idéologiquement et activement, comment ils furent de ceux qui préparent la Révolution par la pensée, et de ceux qui la traduisent en acte. On m'objectera qu'en devenant révolutionnaire, le Juif devient le plus souvent athée et qu'ainsi il cesse d'être Juif. Ce n'est que d'une certaine façon, en ce sens surtout que les enfants du Juif révolutionnaire se fondent dans la population qui les entoure, et que, par conséquent, les Juifs révolutionnaires s'assimilent plus facilement; mais en général les Juifs, même révolutionnaires, ont gardé l'esprit juif, et s'ils ont abandonné toute religion et toute foi, ils n'en ont pas moins subi, ataviquement et éducativement, l’influence nationale juive. Cela est surtout vrai pour les révolutionnaires israélites qui vécurent dans la première moitié de ce siècle, et dont Henri Heine et Karl Marx nous offrent deux bons modèles.

 

Heine que l'on considéra en France comme un Allemand, et à qui, en Allemagne, on reprocha d'être Francais, fut avant tout Juif. C'est parce qu'il fut Juif qu'il célébra Napoléon et qu'il eut pour le César l'enthousiasme des Israélites allemands, libérés par la volonté impériale.

 

...Il en est de même pour Marx. Ce descendant d'une lignée de rabbins et de docteurs hérita de toute la force logique de ses ancêtres; il fut un talmudiste lucide et clair, que n'embarrassèrent pas les minuties niaises de la pratique, un talmudiste qui fit de la sociologie, et appliqua ses qualités natives d'exégète à la critique de l'économie politique. Il fut animé de ce vieux matérialisme hébraïque qui rêva perpétuellement d'un paradis réalisé sur la terre et repoussa toujours la lointaine et problématique espérance d'un éden après la mort; mais il ne fut pas qu'un logicien, il fut aussi un révolté, un agitateur, un âpre polémiste, et il prit son don du sarcasme et de l'invective, là où Heine l'avait pris : aux sources juives.

 

On pourrait encore montrer ce que Boerne, ce que Lassalle, ce que Mosès Hess et Rober Blum tinrent de leur origine hébraïque, de même pour Disraéli, et ainsi on aurait la preuve de la persistance, chez les penseurs, de l'esprit juif, cet esprit juif que nous avons signalé déjà chez Montaigne et chez Spinoza.