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La Pierre est devenue la principale de l'angle

Posté le 03/09/2019

Bonjour à tout le monde

 

 

Le sujet du langage et de la réforme du dictionnaire est vaste, car les faiseurs du mystère de l’iniquité ne révèlent jamais leur vrai nom et changent la mentalité en changeant les noms des choses. Ainsi, le monde fut judaïsé ou satanisé sans le savoir : les appellations comme politique, démocratie, mode, tendance, tolérance, masquent cette réalité.

 

Regardons que firent-ils et comment.

 

Les juifs pharisiens ont apporté de la captivité babylonienne l’enseignement altéré qui gardait les apparences de la loi de Moïse, mais était chaldéen par nature. Pour les chaldéens, le « dieu » panthéiste était une somme de toutes les âmes ; tous les objets matériels avaient, pour eux, une âme comme l’homme ; leur « dieu » était une émanation de la nature, sa respiration éternelle, un élément de vie indéfini qui se manifeste dans la nature vivante et inanimée. D’où l'épanouissement de l'orgueil humain, le culte de l’homme déifié. [1, p. 13-14].

 

La grande partie de l’Évangile, notamment de Jean, raconte les entretiens du Christ avec les juifs, les pharisiens, qui cherchaient un prétexte pour Le tuer. Le Seigneur disait qu’ils n’observaient pas la loi de Moïse. 2 

 

Dans leur aspiration au règne terrestre, les juifs devaient être séduits par une technique infaillible pour arriver à la domination, qui est la suivante : primo, si la bonne foi est présumée en règle générale, l’adversaire qui agit secrètement selon ses propres règles morales inverses, a un avantage immense et est pratiquement invulnérable. Secundo, agir toujours sous faux pavillon et donner toujours une fausse interprétation des événements. Et soulever de cette façon des nations (guerres) et des groupes sociaux (révolutions) les uns contre les autres, pour les faire avancer vers son propre but qu’ils ignoraient.

 

Les juifs riches établissaient, avec l’aide de leur argent, des liens avec les cercles supérieurs dans les pays de dispersion. Tandis que leurs confrères n’étaient pas admis dans la société, les juifs riches ont fondé des sociétés secrètes où ils attiraient les nobles des pays. La pourriture venait d’en haut. Une nouvelle religion fut lancée, la religion tacite du satan qui s’appelle la mode et qui consiste à imiter les autres gens à qui on attribue l’importance, et dont l’objectif est de dépraver la société humaine. Il est facile d'imaginer comment on devenait « franc-maçons » : – Com-ment ? Lui… aussi ? – Oui. Tous, tout le monde.

 

Mais ils avaient besoin des « droits de l’homme et du citoyen » pour les juifs ordinaires afin de réaliser la prolifération de la mode dans tous les milieux et de couvrir du réseau l’ensemble des pays. C’est ainsi que la toile a été tissue, qui a le dessus et la doublure. Les moyens d’information qui sont tous juifs présentent le dessus : les pays séparés, les événements séparés qui se passent comme d’eux-mêmes. La doublure, elle, est unie et ininterrompue dans l’espace et dans le temps.

 

La doublure ou la face cachée est composée des juifs et des sous-juifs appelés « franc-maçons » qui ont souvent des liens familiaux juifs. Les nations commençaient chacune comme un seul organisme incluant le peuple et les nobles. Les juifs corrompaient les nobles au moyen de leur argent et via leurs sociétés secrètes, et puis cette « prostituée babylonienne » collective étendait son action. La mode juive qui descendait d'en haut préparait toutes les révolutions. Ils formaient les apparences de la « situation révolutionnaire » (qui selon la doctrine marxiste, se formait toute seule).

 

« Tu sais comme je suis citoyenne », écrivait à son amie une jeune fille à la mode du dix-huitième siècle. « Vous savez comme je suis tolérant », écrit à notre époque un internaute européen à la mode : aujourd’hui comme au dix-huitième siècle, on ignore que la mode est juive. Et puisqu’on ignore l’existence de la doublure cachée, on devient non seulement la victime passive des criminels, mais les complices, les aidant à détruire soi-même.

 

Les juifs ont produit les « Lumières » lucifériennes, les chanteurs de l’homme – de l'homme qui avait chuté, succombant au satan. Dans cet état déplorable, l’homme a été déplacé sur la terre, comme en cure, mais le voilà qui commence à s’exclamer : « Que je suis beau ! Que je suis libre ! » On pense quoi de ce patient ?

 

Mais la mode juive a mis les vérités bibliques de côté. Les païens ont commencé à être appelés philosophes. La religion a été reléguée au dernier plan au profit des efforts exorbitants pour organiser la vie sociale, qui ont été placés au centre des préoccupations.

 

Les juifs ont déclaré les rois tyrans et ont dénoncé les nobles pour prendre leur place de façon dissimulée. Depuis, les changements successifs de régime politique marquent le mouvement progressif vers le but ultime : le « dieu politique », le roi juif antéchrist.

 

 L’an 1789 = l’an 1917

 

L’abolition de la religion, les massacres des prêtres et... l’éducation universelle étatique pour les enfants qui est proclamée : adieu, la Loi de Dieu. Autrement dit, la Matrice instaurée.

 

Et bien sûr, Karl Marx = Jean-Jacques Rousseau. Comme toujours, un menteur juif, un gribouilleur désigné pour composer une théorie à duper les indigènes sur un lieu donné et à un moment donné. Ils étaient et sont nombreux. Quel que soit le nom qu’il (ou elle) adopte, c’est toujours le même monsieur Serpent qui dit : « Je sais comment vous rendre heureux ». Et voilà, après toutes les doctrines provisoires, revient le panthéisme qui était à la base, si adapté pour former le « monde uni » dont le caractère se profile.

 

Tous n’étaient pas si stupides pour croire que « la foi n’est plus à la mode », et ils étaient sacrifiés lors de la grande terreur des révolutions.

 

Mais en France, les révolutionnaires eux-mêmes, les franc-maçons ou sous-juifs, ont péri en grand nombre parce qu’ils étaient trop proches des origines de la conspiration et pouvaient démasquer les meneurs juifs. Un fameux révolutionnaire commença à en parler et une balle envoyé dans sa mâchoire le fit taire. [3]

 

L’abbé Lemann cite dans son livre une phrase de l’époque révolutionnaire : « Mgr de la Fare, évêque de Nancy et député de Lorraine, ayant rapporté à la tribune cette parole effrayée d'un de ses diocésains: « Oui, Monseigneur, si nous venons à vous perdre, nous verrions un juif devenir notre évêque, tant ils sont habiles à s'emparer de tout. » [4]

 

Mais c'est exactement le but de toute l’entreprise juive de deux mille ans : s’emparer de l’Église. Le loup déguisé en mouton devait produire un faux gigantesque. Et c’est déjà tout prêt.

 

C’est pourquoi ils n’ont pas entièrement supprimé la religion, mais l’ont marginalisée, pour que ce soit comme un accessoire ou une bizarrerie. Quand tout le monde aurait oublié la vraie foi, l’Église, appartenant déjà aux juifs, devait réapparaître et entrer dans la politique et dans la mode. C’est ce que nous voyons actuellement.

 

L'hymne Internationale, qui a été traduit en russe de l’original français, explique cela clairement :

 

Nous détruirons le monde entier de la violence,
Nous le détruirons jusqu’à la base, et puis
Nous construirons un nouveau monde, le nôtre...
Qui n'était rien, deviendra tout.

 

Ce qui impliquait le satan, bien entendu.

 

Donc, la tromperie si sophistiquée et macrocosmique repose sur un mensonge vulgaire. Ceux qui ont appris tout le monde à être athées ou matérialistes, ne sont pas, eux, ni athées ni matérialistes. Ils se révoltèrent contre Dieu et ils adorent Lucifer.

 

Quelqu'un peut dire, « Et alors ? Moi, je ne suis qu’une petite personne, quelqu'un de bien, je travaille et je veux que mes enfants soient éduqués ». Mais c’est comme si on se trouvait dans le train qui nous emmène vers le royaume du satan et vers la perdition. Les voitures de ce train ont, à la place des fenêtres, les écrans télé. À chaque pays-voiture de ce train, une équipe du conducteur Rothschild est affectée. Le train suit, selon les horaires, la voie ferrée où les régimes politiques, les transformations soi-disant économiques, les révolutions et les guerres marquent le trajet et les gares.

 

Mis à part les conducteurs et l’équipe – les juifs et sous-juifs, le train transporte « le monde ». Ce sont les gens qui sont contents d’être passagers parce que le train est commode et confortable. Or, la destination est connue de l’Évangile.

 

Est-ce qu’on peut compter se cacher dans un petit recoin du train ? Le travail au sein de ce train est souvent douteux. D’ailleurs, êtes-vous vraiment fasciné de voir vos enfants étudier « les raisons historiques de la révolution française » avec des manuels juifs, sachant que cette révolution est un complot satanique sanglant ? Pareil pour la révolution en Russie.

 

Depuis que le satan commença, par l’Angleterre, son bal révolutionnaire, l’objectif des juifs consiste à faire privilégier toutes les choses terrestres, mais surtout les autorités terrestres, et faire oublier le pouvoir céleste. Le train du satan est matériel, et il est à Rothschild, mais ce train est avant tout et initialement spirituel, donc pour descendre du train, il faut le quitter spirituellement.

 

 Nous avons le Tsar

 

Ou le Roi, en français. Dieu insuffla la vie à l’homme ; l’humain est une relation avec Dieu. Celui qui croit en Dieu vivant, n’a pas besoin de révolutions, ni organisations, groupes ou mouvements. Nous avons bien un Leader, notre Seigneur Jésus-Christ. 5 

 

Jésus est le Fils de Dieu, notre Seigneur et  Dieu, le Sauveur et le Rédempteur de nos âmes par l'amour éternel et la volonté de Dieu, de Qui toute l’Écriture Sainte parle, que nous recommandons cordialement à tous ceux qui cherchent le salut d'explorer soigneusement et sérieusement, en le faisant comme la seule et la plus importante affaire sur terre, en explorant également, en dehors de la Bible, d'autres sources que notre Père céleste nous envoie pour mieux comprendre Sa volonté. « Afin que les temps du réconfort viennent de la part du Seigneur, et qu'Il envoie Jésus-Christ destiné pour vous, Qui le ciel dut recevoir jusqu'aux temps de l’accomplissement de toutes les choses dont Dieu a parlé dès le début du siècle par la bouche de Ses saints prophètes. » C'est le mot qui est employé dans Dan. 9:25, 26. Bien que le mot « oint » (Messie, Christ) se référait initialement aux rois hébreux, grand-prêtres et prophètes, après l'apparition de Jésus-Christ, notre Roi éternel, l'unique Grand-prêtre et Prophète, ce nom est devenu exclusivement et à jamais Son nom, le plus cher nom pour nous tous. [6, avec les liens] 

 

À propos des rois hébreux mentionnés, le livre Hélianthe, ou la conformité à la volonté Divine dit que parmi les 39 rois judéens et israéliens, on ne trouve que trois qui étaient vraiment pieux. [7]

 

Les deux mille ans constituent une illustration de ce que le Maître expliquait aux disciples. Que sommes-nous devenus sans Lui ? Un jouet aveugle et lamentable entre les mains des escrocs.

 

Dieu nous a tout donné pour vivre sur la terre. Le Christ nous enseigne : « Cherchez premièrement le royaume de Dieu et Sa justice, et toutes ces choses vous seront données par-dessus. » 8 

C’est ce que l’adversaire s’obstine à nous faire oublier.

 

Le Christ est le Roi, nous sommes des rameaux du Cep de vigne. Soyons les sarments vivants qui portent de fruit. 9 

 

Ce n’est point nouveau, même la prière du matin à la Sainte Trinité dit cela. [10]

 

Levé du sommeil, je Te rends grâce, ô sainte Trinité ; dans Ta grande bonté et longue patience, Tu ne fus pas irrité contre moi, pécheur et négligent, ne me fis pas périr à cause de mes iniquités, mais dans Ton amour constant pour l'humain, Tu m'as levé, qui gisais inconscient, pour que je veille et glorifie Ta puissance. Éclaire les yeux de mon esprit et ouvre mes lèvres, pour étudier Tes paroles, pour comprendre Tes commandements et accomplir Ta volonté, et Te louer en confessant cordialement, et chanter Ton nom très saint, du Père, du Fils et du Saint-Esprit, aujourd'hui et toujours,  dans les siècles des siècles. Amen.
 
Venez, inclinons-nous devant notre Roi Dieu. [on s'incline]
 
Venez, inclinons-nous, précipitons-nous vers le Christ, notre Roi Dieu. [on s'incline]
 
Venez, inclinons-nous et précipitons-nous vers le Christ Lui-même, notre Roi et Dieu. [on  s'incline]

 

Nous sommes ici comme dans un tamis, si on ne se tourne pas vers Dieu, le monde satanique nous embrasse.

Monsieur Serpent prétend-il que ce soient des choses de second rang par rapport aux affaires civiles ? Il est menteur.

 

Par conséquent, lorsqu’on nous propose un leader global, un tsar, un roi, ou un « roi des rois », – merci, nous avons déjà le Tsar (le Roi), Qui est avec nous tous les jours, jusqu'à la fin du monde. 11  

 

Et ainsi, que la prophétie se réalise : « La pierre qu'ont rejetée ceux qui bâtissaient est devenue la principale de l'angle. » 12 

 

 

 Amicalement

Olga de TdR