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26/02/2019

 

La base en Amérique du Nord et la voie à la domination

 La troisième partie termine l’aperçu de l’activité siono-maçonnique en Europe et en Amérique du Nord jusqu’au XXe siècle

Parties 1, 2

 

Pendant que le sang coulait durant presque tout le XIXe siècle en Europe, outre-Atlantique, aux États-Unis d'Amérique, une nouvelle élite maçonnique prit son essor pour se mettre à l’avant-garde sous la direction des sionistes qui s’enracinèrent profondément dans cette terre fertile.

 

Cinq siècles sont passés depuis la pénétration des premiers Juifs en Amérique, lorsqu’après l'expulsion d'Espagne en 1492, une partie d'entre eux se rendirent à bord des caravelles de Columbus chercher un nouveau chemin vers l'Inde. L'histoire de ces cinq siècles de colonisation du continent nord-américain est plongée dans le sang, l’atrocité, la scélératesse, la vilenie, la tromperie et la perfidie. L’extermination féroce et sans pitié des peuples autochtones de l’Amérique du Nord - les Indiens, est un côté du crime appelé génocide. Son autre côté est le commerce des esclaves.

 

Les Juifs ont joué un rôle particulier dans l'organisation du commerce des esclaves. Près de 150 millions d'esclaves noirs africains ont été emmenés à l'étranger. Environ la moitié d'entre eux sont morts en chemin. La vie moyenne d'un esclave dans une plantation était de dix ans. Assassiner un nègre n'était pas considéré comme un crime à son propriétaire. Il était interdit aux esclaves d'apprendre, d'écrire et de compter, de se déplacer en groupes sans les blancs. En cas de tentative d'évasion, les esclaves étaient écartelés, brûlés, pendus, leurs mains coupées...

 

À l'époque de George Washington, premier président des États-Unis - en 1790, il n'y avait qu'environ 4 mille Juifs en Amérique. Cent ans plus tard, vers 1890, ils sont déjà devenus près de 230 mille personnes. Et à la fin du XXe siècle, leur nombre fut passé à 9 millions ! Et avec les demi-sangs, plus de 20 millions. C'est assez pour maintenir le pouvoir saisi en Amérique. Là où ils ne sont pas en nombre suffisant, ils achèteront, comme d'habitude, ceux dont ils ont besoin.

 

La révolution américaine - le soulèvement des États d'Amérique du Nord contre son suzerain, la Grande-Bretagne, comme toujours dans d'autres pays, était financée par des banquiers juifs, et les loges maçonniques organisaient l’affaire. Il suffit de dire que tous les commandants de l'armée qui ont pris part à la guerre avec le Vieux Monde étaient franc-maçons. Tous les « pères fondateurs » des États-Unis : Washington, La Fayette, Hamilton, Franklin, Jefferson, étaient franc-maçons. La « Déclaration des droits de l'homme » est également une œuvre des francs-maçons. Elle fut écrite en 1776 par Jefferson et Franklin.

 

Cela peut sembler être un paradoxe. Le centre de la franc-maçonnerie et du capital juif en Angleterre déclenche une guerre en Amérique contre lui-même - contre l'Angleterre. Mais ce n'était pas une guerre contre lui-même. Premièrement, la franc-maçonnerie et le sionisme n’ont pas de Patrie, leur patrie est là où il leur convient le mieux à un moment historique donné. Deuxièmement, toute « mêlée » dans le monde leur apporte des revenus supplémentaires. Et troisièmement, ils ne planifient pas des quinquennats, leurs plans sont pour 70 à 100 ans et leurs enjeux ont l’envergure mondiale.

 

À ce moment-là, ils connaissaient déjà l’énorme potentiel du Nouveau Monde. Ils prévoyaient de transférer là-bas le siège principal du sionisme et de la franc-maçonnerie. C’est exactement ce qui a eu lieu. Cette guerre d’indépendance leur permettait aussi d’avoir leurs propres personnes au plus haut niveau du pouvoir du jeune État, dans un nouveau lieu du déploiement futur. Ils ne ménageaient aucun effort, et comme l’histoire l’a montré, presque tous les présidents américains étaient francs-maçons. Ceux d'entre eux qui s’opposaient à la franc-maçonnerie, disparaissaient, tout comme en Europe.

 

George Washington, le premier président des États-Unis, bien qu'il fût franc-maçon, sut comprendre leur essence et leurs plans ambitieux et commença à dénoncer la franc-maçonnerie. Cela eut des conséquences fatales. Soudainement tombé malade en décembre 1799, il mourut en un jour à son domicile à Mount Vernon. Les médecins maçonniques l'ont saigné quatre fois par jour jusqu'à sa mort. (« The Imperial Gazette », New-York, 1990, n ° 12.) Il faut ajouter à ce propos que le meurtre de G. Washington eut lieu au dernier mois de la dernière année du XVIIIe siècle, que le monument lui érigé par les franc-maçons est de 555 pieds de haut, ce qui importe car dans la religion de Lucifer, le nombre « cinq » est le nombre de la mort, et un triple « cinq » signifie un meurtre. En outre, le plan de la ville de Washington lui-même répète de forme un temple de Satan. En examinant le plan de la ville, vous pouvez voir la tête du bouc Baphomet, un compas et une équerre, d’autres symboles de Lucifer.

 

Tout cela indique clairement que les sionistes et les francs-maçons s'emparèrent du pouvoir aux États-Unis. Toute l'histoire ultérieure et moderne des États-Unis le prouve. Tous les présidents des États-Unis d'Amérique, comme les souverains d'Europe, qui ne servaient pas les intérêts et la politique des franc-maçons sous la dictée des Rothschild, sont décédés. Lincoln, Garfield, McKinley, Harding, Kennedy - ont été tués par des assassins à gages.

 

Au milieu du XIXe siècle, lorsque le feu des révolutions et des guerres faisait rage en Europe, les agents des maçons et des sionistes enflammaient les passions dans les États du sud de l’Amérique, dressant la population contre les régions du nord. Ils voulaient séparer une partie du territoire comme un terrain pour leur établissement pour y placer un centre mondial du sionisme et de la franc-maçonnerie. L’affaire en vint jusqu’à proposer aux Français les États du Texas et de la Louisiane en échange de l'aide militaire.

 

Ce fut le tsar russe Alexandre II qui empêcha cette aventure contre l'Amérique. Il informa Paris et Londres que toute invasion de l'Amérique serait considérée comme une déclaration de guerre à la Russie et que le feu serait ouvert contre celui qui commencerait à tirer sur l'Amérique. Immédiatement, la flotte russe fut envoyée à New-York et à San Francisco à la disposition de A. Lincoln. Ce geste de la Russie sauva l'intégrité territoriale de l'Amérique. Présentement, les États-Unis, dirigés par la franc-maçonnerie et le capital sioniste, ont déployé des efforts actifs pour l'effondrement de l'URSS et sont en train de détruire la Russie. Mais l'expérience historique montre que la trahison ne reste jamais impunie.

 

Après la tentative infructueuse de détacher une partie du territoire de l'Amérique, les maçons déclenchent une guerre civile dans le pays. Pendant quatre ans, à compter de 1861, la guerre cruelle et inutile au peuple américain fit de nombreuses victimes. Chez le Nord, 385 245 morts et blessés, chez le Sud - plus de 100 mille morts. Comme en Europe, les banquiers juifs ont en premier lieu bénéficié de ce massacre.

 

On peut considérer le 24 octobre 1929 comme la date définitive de la prise du pouvoir aux États-Unis par les sionistes et les franc-maçons. Ce jour-là, commença une révolution américaine invisible et non déclarée. L'arme principale de cette révolution n'était pas déjà les canons, mais la finance. Ce jour-là, la bourse s'est effondrée à New-York. Ce fut le début de la soi-disant dépression. Pendant les quatre années du gouvernement du président Herbert Hoover, le peuple américain a été « mis en condition » : en conséquence, 12 millions de grévistes. Enfin, cela permit d'asséner un coup décisif. En février 1933, les banques ont fermé. Pour les Américains, arriva « la fin du monde ». La révolution financière amena au pouvoir leur protégé - F. D. Roosevelt. Ainsi, à partir de 1933, l'asservissement total des Américains au capital sioniste commencerait.

 

Un événement particulièrement sinistre pour le sort des États-Unis eut lieu en octobre 1843 à New-York : 12 immigrants juifs allemands ont fondé un ordre maçonnique exclusivement juif - B'nai Brit, où les non-juifs se voyaient interdire l'accès. Depuis près de 150 ans depuis ce jour, cette organisation a pris des proportions mondiales et compte plus de 500 mille membres dans 42 pays, y compris notre Russie où M. Gorbatchev l’a légalisée. L'historien anglais, le Juif Paul Goodman appela fièrement B'nai Brit la plus grande organisation de notre époque. En fait, c’est une sur-maçonnerie sionisée ou l’ordre dans l’ordre.

 

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Domination du monde ! Nous entendons souvent cette phrase. Beaucoup, en réalité, ont cherché à atteindre cet objectif : les pharaons et les seigneurs de Mésopotamie, les Césars romains et les chefs des barbares, les hordes de Tamerlan et de Gengis Khan, les hordes de Napoléon et de Hitler. Tout a sombré dans l'éternité, se soldant par un échec, après une courte période historique. Pourquoi les candidats à la domination mondiale ont-ils échoué ? Parce que les peuples défendaient leur foi, leurs terres et leurs intérêts nationaux. Donc, pour gagner la domination du monde, il fallait briser la volonté de résister, détruire les facteurs qui unissaient le peuple.

 

Au cours de lutte naturelle pour la survie, des nationalités et des groupes ethniques qui s’étaient formés à partir de tribus, s'unissaient en États pour leur propre conservation. Progressivement, se développait une base conceptuelle de leur unité, basée sur la croyance en leur Dieu, en leur chef (roi, tsar) et sur la puissance de leur Patrie, leur état. Par conséquent, pour conquérir les nations, il était nécessaire de détruire cette triple base et de trouver des mécanismes universels pour cela.

 

Un conquérant concret ne convenait pas à une tâche aussi ambitieuse. La vie humaine est trop courte pour cela. C’était une tâche d’une portée d’une organisation à grande échelle et d’une persuasion implacablement fanatique, qui, sans tenir compte de ses pertes, aurait pu mettre son idée en œuvre pendant des siècles, jusqu’à parvenir au succès.

 

Et cette organisation est survenue du sionisme juif dont l’histoire de la naissance se perd au milieu du premier millénaire avant notre ère. Et le peuple juif devint peu à peu guide de cette tâche mondiale, car à partir des temps anciens, il s'installait parmi d’autres peuples à la recherche d’argent facile et, grâce à l’usure et au commerce, gagnait habilement des rôles dirigeants dans l’entourage des monarques et dans les plus importantes structures étatiques. En même temps, sans s'assimiler aux autres peuples, il était guidé dans ses activités uniquement par le Talmud - un ensemble d’interprétations et d’additions à l’Ancien Testament faites par les Lévites, les prêtres des Juifs, et plus tard, par les rabbins juifs. Le Talmud prescrit le comportement des Juifs envers leurs ennemis. La cruauté infinie de leur religion est bien connue et leur indique que tous les autres peuples sont des ennemis. L'histoire mondiale l'a implacablement prouvé.

 

Puisque la croyance en Dieu était primordiale chez les peuples - même les monarques étaient des oints de Dieu - ils ont infligé leur premier coup à l'Église, à son unité. Les hérésies « juives » (qui consistent à magnifier l'Ancien Testament au détriment de l'Évangile chrétien, se tourner vers le Talmud ou la Kabbale), générées par les Juifs aux XIe et XIIIe siècles, ont fait l’affaire et divisé l'Église en camps hostiles. Comme cela est relaté précédemment, cette scission en Europe était accompagnée des siècles des troubles religieux, révoltes, révolutions et guerres, au cours desquelles les chrétiens détruisaient les uns les autres pour le plaisir des Juifs. Les historiens juifs confirment le rôle décisif des Juifs dans ces hérésies antichrétiennes. L'influence de l'Église sur le peuple a été sapée, ce qui a marqué le début de l'émergence de diverses sectes et mouvements religieux.

 

Les peuples de nombreux pays, ayant connu à ses dépens les fruits de la cohabitation avec les Juifs qu’ils avaient acceptés dans leurs propres pays, ont commencé à les chasser. Les pogroms se sont répandus en Europe. Les monarques, pour protéger leurs sujets, acceptent les décrets et les rescrits pour expulser les Juifs de leurs pays. Les activités secrètes des talmudistes deviennent de plus en plus connues. En essayant de les cacher au maximum aux peuples, les dirigeants sionistes aident, avec leur or, la formation de la franc-maçonnerie créée par eux et composée principalement non pas de Juifs, mais de représentants des peuples autochtones, de personnes célèbres de l'entourage des monarques, faisant partie de l'élite aristocratique, bureaucratique et militaire. Peu à peu, les objectifs du sionisme mondial et de la franc-maçonnerie se transforment en un concept unifié de la domination mondiale, et les Juifs commencent à affluer aux loges maçonniques, les prenant sous leur contrôle total.

 

Ils infligent le coup suivant, déjà concerté, aux monarchies, et plongent le continent européen dans un bain de sang - trois siècles des révolutions, guerres et insurrections, organisées par eux pour renverser les monarques et créer des républiques sous les slogans maçonniques de pseudo-liberté, de pseudo-fraternité et de pseudo-égalité qui ne furent jamais et nulle part atteintes. Au XVIIIe et au XIXe siècle, les monarchies ont commencé à s'effondrer une à une. La Russie fut la dernière à tomber en 1917. Après cela, il n'y avait plus qu'un seul obstacle sur le chemin du sionisme et de la franc-maçonnerie vers la domination mondiale : les peuples qui résisteraient à leur transformation en esclaves, en une masse grise et sans visage.

 

Par conséquent, une tâche mondiale a été définie : casser la base nationale des pays les plus importants du monde, non pas avec les guerres et la destruction physique, mais par l’assimilation artificielle des peuples autochtones formant des États, avec les immigrants. Cette assimilation visait à affaiblir les racines génétiques des nations, à affaiblir et même à effacer la mémoire historique des nations sujets d'expérience, éliminer leurs particularités nationales, leurs caractères, mentalité, pour les tourner en un matériau souple entre les mains des fanatiques, ce qui permet de leur implanter un certain comportement et des buts de vie afin de les transformer en robots obéissants et contrôlés entre les mains des Criminels Mondiaux qui ont l’intention d’asservir toute l'humanité.

 

 

Source La Golgotha de la Russie. Les conquérants, pages 64 à 71

Traduit par Olga (TdR)