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20/12/2017

 

La révolution qui est en cours


Deuxième partie de la « radiographie de la révolution ». Pour mieux comprendre ce que disait Rakovski, l’ancien ambassadeur à Londres et à Paris, j’ai réuni plusieurs passages où il parle, car le dialogue, avec ses nombreuses répliques, n’est pas facile à lire. Et puis, j’ai pris les fragments respectifs du texte traduit en français mentionné avant. Le monologue de Rakovski ainsi obtenu est suivi de mon commentaire.

 

Partie 1

 

Il en était ainsi avant Marx et Engels, que les finances étaient le plus puissant agent de révolution et que le Komintern n’était qu’un jouet entre leurs mains. Mais ni Marx, ni Engels ne vont le dévoiler ou l’expliquer. Bien au contraire, faisant appel à tous leurs talents de savants, ils allaient dissimuler cette vérité une deuxième fois, dans l’intérêt de la Révolution. Et cela, ils le firent tous les deux.

 

Sachez que selon l’histoire non écrite et connue seulement de nous, le fondateur de la première Internationale Communiste était - secrètement bien sûr - Weishaupt. Vous vous souvenez de son nom ? Il fut le chef de la Maçonnerie connue sous le nom des Illuminati ; il avait emprunté ce nom à la deuxième conspiration [déguisement] anti-chrétienne de notre ère, le gnosticisme. Cet important révolutionnaire, sémite et ancien jésuite, prévoyant le triomphe de la Révolution française, décida, ou peut-être reçut l’ordre (certains mentionnent comme son chef le grand philosophe Mendelssohn) de fonder une organisation secrète qui devait provoquer et pousser la Révolution Française à aller bien au-delà de ses objectifs politiques, dans le but de la transformer en une révolution sociale pour établir le Communisme. Dans ces temps héroïques, il était extrêmement dangereux de mentionner le Communisme comme objectif, d’où dérivent les diverses précautions et le secret qui entourèrent les Illuminati. Il fallut plus de cent ans avant que quelqu’un pût avouer être communiste sans danger d’être mis en prison ou exécuté. On sait plus ou moins tout cela.

 

Ce qui est moins connu, ce sont les relations de Weishaupt et de ses successeurs avec les premiers des Rotschild. Le secret de l’enrichissement des plus célèbres des banquiers pourrait bien s’expliquer par le fait qu’ils étaient les trésoriers de ce premier Komintern. On a les preuves que lorsque les cinq frères se répartirent sur les cinq principales provinces de l’Empire financier de l’Europe, ils furent aidés en secret par les énormes montants pour former ces réserves fabuleuses ; il est fort possible que ceci venait des premiers communistes sortis des catacombes bavaroises qui se répandaient alors déjà sur toute l’Europe. Mais d’autres disent, et je pense, avec de meilleures raisons, que les Rotschild n’étaient pas les trésoriers, mais les chefs de ce premier Communisme secret. Cette opinion repose sur le fait bien connu que Marx et les plus hauts dirigeants de la lère Internationale (alors déjà l’Internationale avouée et publique), et parmi eux Herzen et Heine, étaient sous la direction du Baron Lionel de Rotschild, dont le portrait comme révolutionnaire a été dépeint par Disraéli dans Coningsby. Disraéli, le Premier ministre britannique, qui était sa créature, en a fait un portrait qu’il nous a donc laissé. Il l’a décrit sous les traits du personnage Sidonia, un homme qui d’après le roman était à la fois un multi-millionnaire, possédait et dirigeait les espions, les carbonari, les francs-maçons, les juifs secrets, les gitans, les révolutionnaires, etc, etc. Tout cela semble fantastique, mais il a été prouvé que Sidonia est bien le portrait idéalisé du fils de Nathan de Rotschild, ce que l’on peut également déduire de la campagne qu’il mena contre le Tsar Nicolas en faveur de Herzen. Cette campagne, il la gagna.

 

Si tout  ce que l’on peut deviner à la lumière de ces faits est vrai, alors je pense que nous pourrons en induire qui a inventé  cette terrible machine de l’accumulation et de l’anarchie qu’est l’Internationale de la Finance. Et en même  temps, comme je le pense, ce pourrait bien être la même personne qui aurait créé l’Internationale révolutionnaire.  Ce fut une action de génie. Créer à l’aide de l’accumulation du capital au plus haut degré, ce qui pousse le prolétariat  aux grèves, à semer le désespoir, et en même temps à créer des organisations destinées à unir les prolétaires  en vue de les mener à la révolution. Voilà bien qui est écrire le chapitre le plus majestueux de l’Histoire. Mieux encore,  rappelez-vous cette phrase de la mère des cinq frères Rotschild : «  Si mes fils le veulent, alors il n’y aura plus de guerres ». Cela veut dire que ce sont eux qui étaient les médiateurs, les maîtres de la paix et de la guerre, et non pas les empereurs. 

 

Pouvez-vous vous représenter un fait d’une telle importance cosmique ? La guerre n’est-elle pas déjà une opération  révolutionnaire ? La Guerre - la Commune. Depuis cette époque, chaque guerre a été un pas de géant en direction  du Communisme. Comme si une force mystérieuse accomplissait le voeu passionné de Lénine, qu’il avait  exprimé à Gorki. Souvenez-vous : 1905-1914. Admettez au moins que deux des trois leviers du pouvoir qui mènent  au Communisme ne sont pas aux mains du prolétariat, et ne peuvent pas l’être. Les guerres n’étaient ni provoquées  et dirigées ni par la IIIe Internationale, ni par l’URSS qui n’existaient pas encore à l’époque. Elles ne pouvaient pas non plus avoir été provoquées et moins encore dirigées par les petits groupes de bolchevistes qui vivotaient dans les milieux de l’émigration, même si eux voulaient la guerre. C’est tout à fait évident. 

 

L’Internationale et l’URSS ont encore moins de possibilité de réaliser ces immenses accumulations de capital, et  aussi de créer l’anarchie nationale et internationale dans la production capitaliste, une comme celle qui est capable  de pousser impérieusement le peuple à incendier d’énormes quantités de produits alimentaires plutôt que de les  donner à ceux qui ont faim, et capable aussi de ce que Rathenau a décrit dans l’un de ses mots : «  de faire en sorte  que la moitié du monde fabrique de la m... et que l’autre moitié l’utilise ». Et surtout, le prolétariat peut-il dire que c’est lui qui est cause de cette inflation qui se développe en progression géométrique, de cette dévaluation, de la constante acquisition de surplus de valeurs et de l’accumulation du capital financier mais non usuraire, et qu’alors,  de ce simple fait, il se produit une prolétarisation des classes moyennes, du fait qu’elles ne peuvent empêcher la  baisse constante de leur pouvoir d’achat, elles, qui sont les véritables opposants à la révolution. Le prolétariat ne contrôle ni le levier de l’économie, ni le levier de la guerre. Mais il est par lui-même le troisième levier, celui de la révolution, le seul levier visible et démontrable, celui qui donne le coup de grâce au pouvoir de l’Etat capitaliste et s’en empare. Oui, le peuple saisit le levier, mais seulement s’ILS le lui donnent !

 

ILS isolèrent diplomatiquement le Tsar, en  vue de la guerre Russo-japonaise, et les Etats-Unis financèrent alors le Japon. Pour mettre les points sur les i, ce  fut l’oeuvre de Jacob Schiff, le directeur de la banque de Kuhn, Loeb and Co, qui succéda à la Maison Rothschild,  dont Schiff provenait au départ. Son pouvoir était tel qu’il obtint que les Etats qui avaient des possessions coloniales en Asie soutiennent la création de l’Empire Japonais, alors que celui-ci tendait à la xénophobie et l’Europe  sent déjà les effets de la xénophobie anti-blanche. Ce fut alors des camps de prisonniers de guerre qu’arrivèrent à  Petrograd les meilleurs combattants, désormais entraînés comme agents révolutionnaires ; ils y furent envoyés à  partir d’Amérique, avec l’accord du Japon, accord obtenu par les personnes qui avaient financé ce pays. Grâce à  la défaite organisée de l’Armée du Tsar, la guerre Russo-japonaise amena la révolution de 1905, laquelle, bien  que prématurée, faillit bien réussir ; et même si elle ne fut pas victorieuse, il reste qu’elle créa les conditions politiques  requises pour la victoire de 1917. 

 

Mais je dirai plus. Avez-vous lu la biographie de Trotski ? Rappelez-vous sa première période révolutionnaire.  C’est encore un tout jeune homme ; après son évasion de Sibérie, il vécut quelque temps parmi les émigrés, à  Londres, à Paris et en Suisse. Lénine, Plekhanov, Martov et d’autres leaders le considèrent alors simplement  comme une nouvelle recrue pleine de promesses. Mais déjà lors de la première scission, il ose se comporter avec  indépendance en essayant de devenir l’arbitre de la réunification. En 1905, il a vingt-cinq ans, et il retourne en  Russie, seul, sans parti à lui, et sans organisation propre. Lisez donc les relations de la révolution de 1905 qui n’ont pas été « expurgés »  par Staline, par exemple celles de Lunatcharsky, qui n’était pas trotskiste. Trotski est le  personnage principal à Petrograd durant la révolution. Voilà ce que fut la réalité. Lui seul émerge de la révolution  avec une popularité et une influence grandissante. Ni Lénine, ni Martov, ni Plekhanov n’acquièrent de popularité.  Ils ne font que garder l’audience qu’ils avaient, et même en perdent un peu. Comment et pourquoi s’élève alors  Trotski, l’inconnu, gagnant d’un coup un pouvoir plus grand que celui des révolutionnaires les plus anciens et les  plus influents ? C’est très simple, il se marie. Avec lui arrive en Russie sa femme, Sedova. Savez-vous qui elle est  ? Elle est alliée aux Jivotovski, lié aux banquiers Warburg, associés et parents de Jacob  Schiff, c’est-à-dire du groupe financier qui, comme je viens de le dire, avait aussi financé la révolution de 1905.  Voilà la raison pour laquelle Trotski d’un coup s’élève au sommet de la hiérarchie révolutionnaire. Et c’est aussi là  que vous trouvez la clef de sa vraie personnalité. 

 

Sautons maintenant à 1914. Derrière ceux qui firent l’attentat contre l’Archiduc, il y a Trotski, et vous savez que  cet attentat provoqua la guerre européenne. Croyez-vous réellement que l’assassinat en question et la guerre ne  furent que de simples coïncidences... comme le déclara Lord Melchett à l’un des Congrès sionistes ? Etudiez à la lumière de l’absence de hasard le développement des actions militaires de la Russie. Le « défaitisme »  est le terme qui s’impose. L’aide des Alliés au Tsar a été administrée et réglée si habilement qu’elle donna aux ambassadeurs  alliés le droit d’en tirer argument pour obtenir de Nicolas II et grâce à sa stupidité des offensives suicidaires, lancées l’une après l’autre. La masse de chair à canon du peuple russe était immense, mais pas inépuisable. Une série de défaites organisées amena la révolution. Quand la menace apparut de tous côtés, on découvrit remède sous  forme de l’établissement d’une république démocratique, «  une république ambassadrice »  comme l’appela Lénine,  ce qui signifiait l’élimination de toute menace pour les révolutionnaires.

 

Mais ce ne fut pas encore tout. Kerenski devait provoquer la future attaque au prix d’une énorme saignée. Il la provoque, afin que la révolution démocratique  déborde bien au-delà de ses bornes. Et ce n’est toujours pas tout : il fallait que Kerenski livre l’Etat totalement  au Communisme, et il le fait. Trotski a la chance, et d’une manière «  non remarquée », d’occuper tout  l’appareil d’Etat. Quel étrange aveuglement ! Eh bien, telle fut la réalité de la Révolution d’octobre tant vantée. Les bolcheviques s’emparèrent de ce qu’ILS  leur ont donné. 

 

Décidément vous ne pouvez pas comprendre... Vous pourtant... Cela me surprend néanmoins. Si vous  étiez un simple espion et que, cachant votre identité, vous obteniez le poste de commandant de la citadelle ennemie,  est-ce que vous ne feriez pas ouvrir les portes aux attaquants au service desquels vous êtes en réalité ? Vous  n’auriez pas été fait prisonnier après avoir été défait ? N’auriez-vous pas été en grand danger de mort pendant  l’attaque de la citadelle, si l’un des attaquants, ignorant que votre uniforme n’était qu’un masque, vous avait pris  pour un ennemi ? Croyez-moi, en dépit des statues et du Mausolée, le Communisme doit davantage à Kerenski,  qu’à Lénine.

 

Certainement Kerensky a été délibérément et consciemment un défaitiste. Comprenez bien que j’ai pris part personnellement à tout  cela. Mais je vous dirai plus encore. Savez-vous qui finança la révolution d’Octobre ? C’est EUX qui la financèrent,  en particulier à travers les mêmes banquiers qui avaient financé le Japon en 1905, à savoir Jacob Schiff et les  frères Warburg ; c’est-à-dire, au travers de la grande constellation bancaire, par l’une des cinq banques qui sont  membres de la Réserve Fédérale, la banque de Kuhn, Loeb & Co. Mais y prirent part également d’autres banquiers  américains et européens : Guggenheim, Hanauer, Breitung, Aschberg, la « Nya Banken »  de Stockholm.  J’était justement là à Stockholm, « par hasard » , et j’ai participé au transfert des fonds. Jusqu’à l’arrivée de Trotski,  j’étais la seule personne qui servait d’intermédiaire du côté des révolutionnaires. 

 

Mais finalement Trotski vint ; il me faut souligner le fait que les Alliés l’avaient fait expulser de France comme étant un défaitiste. Et les mêmes Alliés l’ont relâché pour qu’il puisse être un défaitiste en Russie, leur allié... « un autre hasard ». Qui arrangea cela ? Les mêmes qui avaient réussi à faire transiter Lénine à travers l’Allemagne. Oui, ILS avaient pu faire sortir le défaitiste Trotski d’un camp d’internement au Canada pour le faire passer en Angleterre et l’envoyer en Russie, en lui donnant la chance de passer à travers tous les contrôles des Alliés, et d’autres, qui étaient également des LEURS - spécialement un certain Rathenau - organisent le voyage de Lénine à travers l’Allemagne ennemie.

 

Ce n’était pas pour rien que le parti réel de Trotski était l’ancien Bund du prolétariat juif, d’où furent formées toutes les branches moscovites auxquelles il a donné 90 pour-cent de ses dirigeants ; non pas le Bund officiel bien connu mais le Bund secret, qui avait infiltré toutes les factions socialistes, et dont les leaders étaient sous sa direction.

 

Après la mort de Lénine, face au hasard malencontreux de maladie de Trotski, quand nous dûmes faire face à Staline qui commençait à montrer une activité fiévreuse, notre défaite au Comité Central devint alors prévisible. Nous eûmes à prendre une décision improvisée, et ce fut de nous rallier à Staline, de devenir plus staliniens que lui, d’exagérer en tout, et ainsi de saboter son action.

 

***

N’oubliez pas le rôle de la Franc-maçonnerie dans la première phase de la révolution démocratique bourgeoise. Elle est sous le contrôle du Bund, bien entendu, comme intermédiaire immédiat, mais en fait aussi sous LEUR direction à EUX. Ayez à l’esprit que tout maçon voyait et espérait dans son imagination bien plus que ce que la réalité offrait, parce qu’il imaginait ce qui lui était profitable. Comme preuve de la puissance politique de cette organisation, ils voyaient que les maçons étaient dans les gouvernements et au sommet des Etats des nations bourgeoises, cependant que leur nombre croissait constamment. Réfléchissez qu’à la même époque, les dirigeants des nations Alliées étaient francs-maçons, sauf de rares exceptions. Pour eux, c’était un argument d’une très grande force. Ils croyaient tout à fait que la révolution s’arrêterait au stade de la république bourgeoise du type français.

 

Très exactement... les francs-maçons doivent périr des mains de la Révolution qu’ils amènent et à laquelle ils coopèrent. Eh bien je vais vous révéler ce grand secret qu’ils promettent de révéler aux maçons des plus hauts grades, mais qui ne le leur est jamais dévoilé, ni au 25è degré, ni au 33è, ni au 93è, ni à aucun autre degré plus élevé d’aucun rituel.

 

Chaque organisation maçonnique s’efforce d’arriver à créer les conditions nécessaires au triomphe de la révolution communiste ; c’est le but évident de la Franc-Maçonnerie. Il est clair que tout cela s’effectue sous divers alibis ; mais ils se cachent toujours derrière leur triple slogan Liberté, Egalité, Fraternité. Mais comme la révolution communiste a pour objectif la liquidation en tant que classe de la totalité de la Bourgeoisie, la destruction physique de tous les chefs politiques bourgeois, il s’ensuit que le vrai secret de la Franc Maçonnerie est le suicide... de la Franc-Maçonnerie en tant qu’organisation, et le suicide physique de tous les maçons importants ! Vous pouvez bien comprendre qu’une telle fin, que chaque maçon contribue à préparer, exige le secret absolu, avec le décorum et toute une série d’autres secrets qui visent à masquer celui là, le vrai secret. Si un jour il vous arrive d’assister à une future révolution, ne manquez pas l’occasion d’observer les manifestations de surprise et l’expression de stupidité qui paraît sur la figure de certains francs-maçons lorsqu’ils réalisent soudain qu’ils doivent mourir des mains des révolutionnaires. Comme il hurle alors et veut que l’on reconnaisse les services qu’il a rendus à la révolution ! C’est une vision devant laquelle on peut mourir... mais de rire. La Franc-Maçonnerie est aussi une maison de fous, mais en liberté.

 

Les motifs et les buts mis en avant par les démocraties et que croient la plupart de ceux qui les suivent, sont en fait des prétextes. En fait, il n’existe qu’un but, un seul, c’est le triomphe du Communisme ; ce n’est pas Moscou qui imposera sa volonté aux démocraties, mais New York. Ce n’est pas le Komintern, qui l’imposera, mais le Kapintern, sur Wall Street. Qui d’autre que Wall Street aurait pu imposer à l’Europe une contradiction aussi évidente et aussi absolue ? Quelle force peut la mener à son complet suicide ? Une seule force le peut, et c’est l’argent. L’argent est puissance, et c’est l’unique pouvoir.

 

Souvenez vous du matin du 24 octobre 1929. Un jour viendra où cette date apparaîtra dans l’histoire de la Révolution comme plus importante encore qu’octobre 1917. C’est ce 24 octobre qu’eut lieu l’effondrement de la Bourse de New York, le début de la fameuse « dépression », une vraie révolution. Les quatre années du gouvernement de Hoover sont des années de progrès révolutionnaires : 12 à 15 millions de travailleurs en grève. En février 1933, eut lieu le dernier contre-coup de la crise avec la fermeture des banques. Il est difficile de faire plus que ce que fit là le Capital pour briser l’Américain traditionnel, qui retenait encore son rempart industriel et qui fut asservi économiquement par Wall Street.

 

Il est bien connu que tout appauvrissement économique, aussi bien dans les sociétés animales que chez l’homme, entraîne un épanouissement du parasitisme, et le Capital est un grand parasite. Mais cette révolution américaine n’eut pas seulement pour unique objectif d’augmenter la puissance de l’argent pour ceux qui pouvaient en disposer, elle prétendit à bien plus. Bien que le pouvoir de l’argent soit un pouvoir politique, auparavant ce pouvoir n’avait été utilisé qu’indirectement, mais dès lors, ce pouvoir devait se transformer en un pouvoir direct. L’homme par lequel ils firent usage d’un tel pouvoir fut Franklin Roosevelt.

 

Prenez note encore de ceci : en cette année 1929, la première année de la révolution américaine, en février, Trotski quitte la Russie ; l’effondrement de la bourse a lieu en octobre ; le financement d’Hitler est décidé en juillet de la même année 1929. Vous croyez que tout cela ce ne sont que des hasards ? Les quatre années du gouvernement de Hoover servirent à la préparation de la prise de pouvoir aux Etats-Unis et en Russie : là-bas au moyen de la révolution financière, et ici à l’aide de la guerre et de la défaite qui devait s’en suivre. Un bon roman, écrit avec la plus grande imagination pourrait-il vous apporter plus d’évidences ? Vous devez bien comprendre que l’exécution d’un tel plan, à une telle échelle, requiert un homme particulier qui puisse diriger le pouvoir exécutif aux Etats-Unis, et qui a été sélectionné par la force organisatrice et décisionnelle. Cet homme était - Franklin et Eleanor Roosevelt.

 

***

Le Marxisme, avant d’être un système philosophique, économique et politique, est une conspiration [un masque] pour la Révolution. Et comme pour nous la Révolution est le seul absolu, il s’en suit que la philosophie, l’économie et la politique n’ont de vrai qu’en ce qu’elles mènent à la Révolution.

 

Marx fut un génie. Si ses oeuvres avaient simplement consisté en la critique approfondie du Capitalisme, cela seul aurait déjà été en soi une oeuvre scientifique insurpassable : mais là où ses écrits sont ceux d’un maître, c’est où il produit un effet d’apparente ironie. « Le Communisme, dit-il, doit vaincre, parce que le Capital lui donnera cette victoire tout en étant son ennemi ». Telle est la thèse magistrale de Marx... Peut-on pousser l’ironie plus loin ? Et donc, pour être cru, il lui a suffi de dépersonnaliser le Capitalisme et le Communisme, en ayant transformé l’individu humain en un individu acteur conscient, ce qu’il fait avec un extraordinaire talent de jongleur. Telle fut la méthode de son astuce, dans le but de démontrer aux capitalistes qu’ils sont une réalité du Capitalisme et que le Communisme peut triompher par l’effet d’un idiotisme spontané ; car sans la présence d’un immortel idiotisme dans l’homo economicus, il ne pourrait apparaître en lui de continuelles contradictions comme le proclame Marx.

 

Etre capable d’effectuer la transformation de l’homo sapiens en homo stultum, c’est posséder une puissance magique capable de faire redescendre l’homme jusqu’en bas de l’échelle zoologique, c’est-à-dire au niveau de la brute, de l’animal. Or c’est seulement si à l’époque de l’apogée du Capitalisme on trouve l’homo stultum que Marx peut formuler sa proposition axiomatique : les contradictions, plus le temps = le Communisme. Croyez moi, lorsque nous, qui sommes initiés à cette astuce, nous contemplons le portrait de Marx qui se trouve par exemple dans l’entrée principale de la Loubianka, nous ne pouvons nous empêcher d’éclater intérieurement de ce rire dont Marx nous a contaminés : nous l’apercevons riant dans sa barbe à la face de toute l’humanité.

 

Si Marx avait cru que le Communisme obtiendrait la victoire seulement grâce aux contradictions du Capitalisme, il n’aurait jamais alors et pas une seule fois fait mention de ces contradictions dans aucune des milliers de pages de son oeuvre scientifique. Tel était en effet l’impératif catégorique de la nature réaliste de Marx : non pas du Marx savant, mais du Marx révolutionnaire. Le révolutionnaire, le conspirateur, n’aurait jamais dévoilé à son adversaire le secret de son futur triomphe... il ne lui aurait jamais dévoilé l’information ; bien au contraire il lui aurait fourni la désinformation dont vous faites usage en contre conspiration.

 

La limitation du surplus de valeur et ainsi de l’accumulation comme conséquence de la lutte des classes, ce n’est qu’une affaire d’apparence, une illusion, afin de stimuler le mouvement révolutionnaire dans les masses. Une grève est déjà une tentative de mobilisation révolutionnaire. Indépendamment de son succès ou de son échec, son effet économique est l’anarchie. Le résultat est que cette méthode, présentée en vue de l’amélioration de la situation économique d’une classe, amène l’appauvrissement de l’économie en général, quels que puissent être l’échelle et les résultats d’une grève, elle amène toujours une réduction de la production. Le résultat général est : plus de pauvreté, ce dont la classe laborieuse ne peut se débarrasser.

 

Comme nous le savons, le but unique de toute lutte dans la sphère économique est de gagner davantage et de travailler moins. Telle est l’absurdité de l’économie, mais selon notre phraséologie telle est la contradiction, qui n’a pas été aperçue par les masses, qui sont aveuglées en permanence par une augmentation des salaires, laquelle est immédiatement annulée par une augmentation des prix. Et s’il y a limitation des prix par l’action gouvernementale, la même chose survient - la contradiction entre le désir de dépenser plus et de produire moins est caractérisée ici par l’inflation monétaire. Et c’est ainsi que l’on entre dans un cercle vicieux - grève, faim, inflation, faim.

 

Faites bien attention avec quelle pénétration Marx en arrive aux conclusions tirées de l’existence de l’industrie britannique alors naissante, à savoir la colossale industrie d’aujourd’hui ; comment il l’analyse et la critique ; quelle image repoussante il donne de l’industriel manufacturier. Dans votre imagination et dans celle de la masse naît alors la terrible image du Capitalisme dans son concret humain : le type du fabricant bedonnant, un cigare à la bouche, comme Marx le décrit, jetant à la rue avec colère mêlée de satisfaction l’épouse et la fille de l’ouvrier. Est-ce que ce n’est pas vrai ? Mais en même temps, souvenez-vous aussi de la modération de Marx et de son orthodoxie bourgeoise lorsqu’il étudie la question monétaire. Dans ce problème de la monnaie, on ne voit pas apparaître chez lui la fameuse contradiction. Pour lui, les finances n’existent pas comme quelque chose d’importance en soi ; le commerce et la circulation des monnaies sont les résultats de la production capitaliste honnie, qui les asservit et les détermine totalement. Or sur la question de la monnaie, Marx est un réactionnaire ; et à notre immense surprise, il en était bien un. Ayez à l’esprit « l’étoile à cinq pointes » comme la soviétique, mais cette étoile qui brille sur toute l’Europe, l’étoile composée des cinq frères Rotschild, avec leur banque, qui possède une colossale accumulation de richesses, la plus grande jamais connue jusque là... Ainsi, ce fait, si colossal qu’il égara l’imagination des gens à l’époque, Marx ne le remarque pas. Voilà qui est bien étrange... Non ?

 

Il se peut que de cet étrange aveuglement de Marx naisse un phénomène qui est commun à toutes les futures révolutions sociales. Voici le fait : tous, nous pouvons confirmer que lorsque les masses prennent le contrôle d’une ville ou d’un pays, elles semblent toujours frappées alors d’une crainte superstitieuse des banques et des banquiers. On a tué les Rois, les généraux, les évêques, les policiers, les prêtres et les autres représentants des classes privilégiées haïes ; on a dévalisé et incendié les palais, les églises, et même les temples de la science, mais en dépit du fait que les révolutions étaient sociales, les vies des banquiers furent respectées par elles, et leur résultat fut que les magnifiques édifices des banques restèrent intacts.

 

L’essence internationale de la monnaie est bien connue. De ce fait, il ressort que l’organisation internationale qui possède l’argent et qui l’accumule est une organisation cosmopolite. La finance à son apogée en tant que trouvant en elle-même son propre but, - c’est à dire l’Internationale financière - dénie et ne reconnaît rien de ce qui est national, ni non plus l’Etat, et par conséquent elle est anarchique, et elle serait anarchiste de manière absolue si elle - la négatrice de tout Etat national - n’était pas par nécessité un Etat dans toute son essence fondamentale. L’Etat comme tel n’est que Pouvoir. Et l’argent est le Pouvoir par excellence. Ce super-Etat communiste, que nous nous sommes efforcés de créer depuis tout un siècle et dont l’esquisse est l’Internationale de Marx, faites-en l’analyse, et vous verrez quelle est son essence.

 

L’autorité bourgeoise capitaliste, même au plus haut niveau, le pouvoir de césar, est une autorité limitée, parce que si elle était, en théorie, l'incarnation d'une divinité dans les pharaons et les césars dans les temps anciens, tout de même, en raison de la nature économique de la vie dans les États primitifs et du sous-développement technique de leur appareil étatique, il restait toujours un espace pour la liberté individuelle.

 

Comprenez-vous que ceux qui dominent déjà en partie sur les nations et les gouvernements terrestres, ont des prétentions à la domination absolue ? .. Comprenez que c'est la seule chose qu'ils n’ont pas encore atteint...

 

Je ne pense pas me tromper en vous disant qu’aucun d’EUX n’est une personne occupant un poste politique ou une position dans la banque mondiale. Comme je l’ai compris après l’assassinat de Rathenau à Rapallo, ceux à qui ILS donnent les positions éminentes de la politique et des finances ne sont que des intermédiaires. Evidemment, il s’agit de personnes de toute confiance et loyales, qui donnent mille garanties. On peut donc affirmer que banquiers et politiciens ne sont que des hommes de paille... cela malgré le fait qu’ils occupent de très hauts postes et qu’ils apparaissent comme étant les auteurs des plans qui sont menés.

 

Le Traité de Versailles, tout à fait inexplicable pour les politiciens et les économistes de toutes nations, en ce sens que personne ne put prévoir ses conséquences, était en fait la pré-condition la plus décisive de la Révolution. Les réparations imposées par Versailles et les limitations économiques n’avaient pas été déterminées en fonction des avantages des diverses nations. Leur somme d’absurdités était si patente que même les économistes les plus éminents des nations victorieuses ne tardèrent pas à le dire. Faim et chômage de part et d’autre : tels furent les premiers résultats du Traité de Versailles... Alors ce traité était-il révolutionnaire ou pas ?

 

Mais on fit plus encore : on entreprit une réglementation internationale similaire. Savez-vous ce que cette initiative représente sur le plan de la révolution ? Elle signifie d’imposer une absurdité anarchique, qui force chaque économie nationale à produire en volume suffisant pour tous ses besoins, en assumant que pour y parvenir, on ne doive tenir aucun compte des différences de climat, de richesse naturelle, ni non plus de niveau de formation technique des directeurs ni des ouvriers. La réglementation de la journée de travail par la Ligue des Nations sur la base du principe abstrait de l’égalité de la durée de travail pour tous, fut effectué sans changer du système capitaliste de production et d’échange ; ceci a établi l’inégalité économique, puisque là on se montra indifférent à l’objectif du travail qui était une production nationale suffisante. 

 

Le résultat immédiat de cette mesure fut une production insuffisante, qui fut compensée par des importations provenant des pays qui avaient une économie naturelle suffisante et une auto-suffisance industrielle. Comme l’Europe avait de l’or, les importations furent payées en or. Il se produisit alors un boom en Amérique, qui échangea son immense production contre de l’or et des certificats gagés sur l’or, lesquels abondèrent.

 

Sur le modèle de cette anarchie de la production, apparut alors au cours de cette période une anarchie financière inouïe. ILS prirent avantage de la première, au prétexte de l’aider au moyen d’une autre anarchie, encore plus grande : par l’inflation de la monnaie officielle et par l’inflation cent fois plus importante de leur propre monnaie, celle du crédit, c’est-à-dire de la fausse monnaie. Rappelez- vous que survinrent alors des dévaluations systématiques de nombreux pays et l’effondrement de la valeur de la monnaie en Allemagne, puis la crise américaine et ses conséquences formidables... un chômage record : plus de trente millions de chômeurs pour le seul ensemble de l’Europe et des USA. Eh bien, est-ce que le Traité de Versailles et sa Ligue des Nations n’ont pas servi de pré-conditions révolutionnaires ?

 

En 1929, lorsque le parti national-socialiste commença de connaître une crise de croissance et manquait de ressources financières, ILS envoyèrent leur ambassadeur. J’en connais même le nom : c’était l’un des Warburg. Par des négociations directes avec Hitler, ils se mirent d’accord pour financer directement le parti national-socialiste, et ce dernier reçut en deux ans plusieurs millions de dollars envoyés de Wall Street, et plusieurs millions de marks en provenance de financiers allemands par l’intermédiaire de Schacht ; c’est ainsi que l’entretien des SS et des SA et aussi le financement des élections qui eurent lieu alors furent effectués par les dollars et les marks fournis par EUX.

 

Ne remarquez-vous pas la sympathie générale des loups de Versailles, qui se bornent désormais à grogner faiblement ? Est-ce là encore un nouveau hasard, un accident ? Hitler envahira l’URSS, et, comme en 1917 lorsque les défaites subies par le Tsar donnèrent la possibilité de le renverser, de même les défaites de Staline nous permettront de le remplacer... et alors sonnera l’heure de la Révolution mondiale. Car les Etats démocratiques, actuellement endormis, nous aideront à opérer le changement général à ce moment-là, lorsque Trotski aura le pouvoir en mains, tout comme lors de la guerre civile.


Il est exact qu’ILS ont financé Hitler, mais cela ne voulait pas dire qu’ils lui ont révélé leur existence et leurs objectifs. L’ambassadeur Warburg se présenta sous un faux nom et Hitler ne devina même pas sa race ; il mentit également à propos de ceux dont il était le représentant. Il déclara à Hitler qu’il avait été envoyé par les cercles financiers de Wall Street qui étaient intéressés à financer le mouvement national-socialiste dans le but de faire pression sur la France, dont les gouvernements mènent une politique financière qui est un facteur de crise aux USA. Hitler l’a cru ? Cela, nous l’ignorons. Mais qu’il ait cru ou non nos explications n’était pas si important : notre but essentiel était de provoquer une guerre, et Hitler incarnait la guerre.

 

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La révolution permanente a demandé dix-sept siècles pour parvenir à sa première et seulement partielle victoire, en créant la grande division de la Chrétienté. En réalité, le Christianisme est notre seul ennemi réel, car toutes les superstructures politiques et économiques des Etats bourgeois n’en sont que les conséquences.

 

Source « Symphonie rouge » en français, en russe

 

 

Commentaire : l’objectif de la révolution

 

Fait significatif, selon Rakovski, le gang mondial considérait le système financier de l’Allemagne avant-guerre, le système empirique où le travail et la capacité technique faisaient un nantissement pour l’argent, comme une grave menace contre-révolutionnaire, comme un danger de l’autarcie d’un Etat ou d’une communauté d’Etats. 

Et une telle autarcie fut réalisée après la guerre dans les pays du camp socialiste - les pays du Conseil d'assistance économique mutuelle.

 

Rakovski a fini son discours par donner un conseil, une suggestion : conclure un pacte de non-agression avec l’Allemagne pour gagner du temps avant l’attaque imminente de Hitler.

 

Donc, la révolution. Ici, je mets l'italique, car notre témoin emploie ce terme comme une notion générale, comme « le développement » ou « le progrès ». D’ailleurs, pour lui, c’est un synonyme de l’anarchie et aussi du communisme.

 

On peut aisément voir que le communisme prévu, que l’équipe de Trotski a commencé à mettre en œuvre, n’est rien d’autre que le camp de concentration global. Staline a mis fin à cette activité et a tourné le développement vers la justice sociale, vers la société avec un haut niveau de l’éducation, de la morale et de la conscience civique, vers le bien commun. Mais en 1985-93, de nouveaux trotskistes furent amenés au pouvoir. Et l’Etat qui ignorait la vérité divine, n’a pas pu tenir ferme.

 

L’objectif de la révolution est le renversement de l’Ordre divin. Au sein du « nouvel ordre mondial », l’enfer  devrait être mis à la place de Dieu, le mensonge devrait prendre la place de la vérité divine. La révolution permanente, c’est le mystère d’iniquité. Sur le plan politique, la révolution mène à un Etat global sous la direction de l’élite judaïque (sur le modèle du kaganat khazar) avec le gang mondial comme une « divinité » en coulisse et son  prêtre suprême - le machiah, ou l’antéchrist.

 

De nos jours, ils ont blâmé Staline de toutes les exactions du groupe Trotski ; et tout en maudissant le communisme, ils poursuivent la cause de Trotski. Commencez-vous déjà à reconnaître la révolution dans les vices qui sont légalisés et qui triomphent, sous le couvert des droits de l’homme ou des droits d’une nouvelle catégorie inventée ? Et dans la migration forcée ? Rakovski dit : Le marxisme, avant d’être un système philosophique, économique et politique, est une conspiration [déguisement] pour la Révolution. De nos jours, de nouveaux déguisements prirent la relève, comme les « droits de l’homme » et beaucoup d’autres. Pervertir les notions, altérer le sens des mots, voilà comment ils promeuvent la révolution. Les « droits des enfants » signifient enlever les enfants à leurs parents. Staline, lui, a spécialement entériné la propriété personnelle (privée) du kolkhozien - maison, économie auxiliaire, bétail, matériel agricole - dans son article de 1952 « Les problèmes économiques du socialisme ».  En revanche, les révolutionnaires modernes veulent nous priver de toute propriété, comme il a été décrit dans le billet « Bienvenue à 2030 ». L’un des masques pour la révolution  s’appelle « économie numérique ».

 

Marx rit dans sa barbe à la face de toute l’humanité, dit notre témoin. Eh oui, il n’est pas le seul à rire. Restant en coulisse, on peut aisément se moquer des gens qui ne se doutent de rien. On voit bien de la raillerie dans la symbolique, dans les dates des événements orchestrés, composées de chiffres spéciaux, dans les noms comme « le jour de l’indépendance » ou « la place de la Russie libre » sur le lieu de la tuerie commise par les bandits au pouvoir (La fin des Soviets). D’autre part, quand un énorme secret cesse d’être secret, ceci est, à son tour, un peu ridicule, même si les fonctionnaires, les « hommes de paille », vont faire semblant de l’ignorer. De nos jours, des personnalités, telles que Staline, de Gaulle, ne pourraient pénétrer dans la classe dirigeante. Mais comme on le sait, la ligne de front passe par l’âme de chacun.

 

 

Rédigé par Olga (TdR)