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18/07/2019

 

Le bicentenaire... Et un psaume

 

Partie I 

 

Avec le massacre de 3-4 octobre 1993 à Moscou [1], les juifs ont célébré le bicentenaire des massacres en France, notamment à Lyon.

 

Le 12 octobre 1793, la Convention adopta le décret sur la destruction de la ville. La ville de Lyon, rebellée, est tombée le 9 octobre, et les premières peines ont été prononcées le 12 octobre. Les massacres, les fusillades, eurent lieu durant quelques mois. Les bourreaux jetaient les corps dans le Rhône « pour qu’ils soient emportés jusqu’à exécrable Toulon ». [2]

 

La Commission temporaire de surveillance républicaine adressa un appel aux autorités des départements de la Commune Affranchie et du département du Rhône. Elle se distinguait par son style dur : « Tout est permis pour ceux qui agissent dans le sens de la révolution : l'aristocratie de la bourgeoisie, si elle reste en vie, produirait bientôt une aristocratie financière, ce qui conduirait à l'aristocratie de la noblesse, etc. Lors de la détermination de la peine, ni le sexe, ni l'âge, ni les liens de parenté ne doivent vous retenir. ... Les prêtres sont la seule source de malheur en France ». La Commission proposa aux autorités lyonnaises un choix sans équivoque : « Aidez-nous à écraser les ennemis de la révolution à coups puissants ou vous les subirez en premiers ». [3]

 

Environ deux mille personnes furent sacrifiés à Lyon et environ le même nombre lors du massacre soigneusement organisé à Moscou deux cent ans plus tard.

 

Ce jour d’octobre à Moscou, une automobile noire pénétra, on ne sait comment, à travers la ligne de police et les barrières vers le lieu près des barricades où étaient par terre, dans le sang, plusieurs tués, un prêtre et d’autres défenseurs. Cinq hommes barbus vêtus de noir, sortis de l’automobile, ont fait une danse rituelle sur le sang, et sont partis en automobile. Un colonel porta la main à la visière devant la voiture. Ce témoignage est cité dans le livre de S. Alexeïev « Coup de foudre ». [4, 5]

 

Les juifs célébraient à la fois le bicentenaire du commencement de la conquête mondiale, suite aux « droits de l’homme et du citoyen » obtenus, et l’accomplissement de la conquête, avec le pouvoir juif établi en Russie.

 

Ce fait peut donner une idée du monde où nous nous trouvons.

 

Beaucoup devinrent les suppôts des juifs, sous le nom flatteur de « franc-maçons ». Cela est déjà explicité :

L’Ordre des Illuminés de Bavière dérive, par la Rose+Croix templière, du serment rabbinique dit du Temple de Jérusalem, proféré en 70 après Jésus-Christ à l’occasion de la destruction de la ville. Ce serment est constitutif de la Synagogue de Satan unissant tous les successeurs de Caïphe dans une conjuration antichrétienne qui doit culminer dans l’avènement et la défaite de l’Antéchrist. [6]

 

Lyon fut la première ville gauloise à adopter et raffermir le christianisme. La ville est connue de ses saints martyrs. Les horreurs de la persécution éclatèrent à Lyon en 177 sous Marc Aurèle, empereur païen, philosophe et cosmopolite, « d’origine espagnole ». Après des odieuses calomnies répandues contre eux, les chrétiens ont été longuement torturés, puis ce que restait de leurs corps fut brûlé et les cendres jetées dans le Rhône. [7, 8]

 

Saint Irénée, évêque et martyr de Lyon (120-202), put rétablir l'Église.

 

Les imposteurs qui se détournèrent du vrai Messie en vue de régner sur la terre, ont falsifié la Bible et adopté la kabbale, usurpé et souillé les saints noms : Israël, Zion... Ils n'ont rien de commun avec les justes bibliques, comme le prophète et roi David. Le Psalmiste réprouvait ces « fils étrangers ».

 

Voici ma traduction du psaume 9 selon les Septante.

 

 

1. À la fin, sur les mystères du fils,

Psaume de David, 9.

2.  

Je Te glorifierai, Seigneur, de tout mon cœur, je raconterai toutes Tes merveilles.

3.  

Je me réjouirai et je m’égaierai de Toi, je chanterai Ton nom, le Très-Haut.

4.  

Lorsque mon ennemi retourne : ils s’effondreront et périront face à Toi.

5.  

Car Tu prononças mon jugement et résolus mon litige ; Tu es monté sur le trône, le Juge juste.

6.  

Tu proscrivis les païens, et l’impie périt. Tu effaças son nom pour le siècle et pour les siècles des siècles.

7.  

Les armes de l’ennemi sont tout épuisées, ses villes détruites ; sa mémoire périt avec une clameur.

8.  

Et le Seigneur demeure éternellement, Son trône établi pour le Jugement.

9.  

Il jugera l’univers selon la justice, Il va juger les gens en équité.

10.  

Le Seigneur devint le refuge des misérables, un aide au bon moment, au milieu des tribulations.

11.  

Ceux qui Te connaissent, qu’ils se confient à Toi ! Car Tu ne quittas pas ceux qui Te recherchent.

12.  

Chantez le Seigneur vivant à Zion, annoncez Ses actions aux peuples ;

13.  

Car Il se souvint des cris des misérables, infligea une peine pour leur sang.

14.  

Aie pitié, Seigneur, regarde moi humilié par mes ennemis, Toi qui me lèves de la porte de mort ;

15.  

Afin que je prodigue toutes les louanges de Toi aux portes de la fille de Zion : je me réjouirai du salut par Toi.

16.  

Les païens trouvèrent la perdition qu’ils eurent préparée : leur pied est empêtré dans le filet qu’ils eurent caché.

17.  

Le Seigneur est visible lorsqu'Il décide des destins ; voici que le pécheur s'enlise dans les œuvres de ses mains.

18.  

Que les pécheurs retrouvent l’enfer, tous les païens qui oublient Dieu.

19.  

Car le misérable ne sera pas toujours oublié, la patience des humbles ne sera pas vaine.

20.  

Lève-Toi, Seigneur ! Que l’homme ne s'affirme pas, que les païens soient jugés devant Toi.

21.  

Donne-leur un législateur, Seigneur, que les païens comprennent qu’ils sont hommes.

22.  

Pourquoi, Seigneur, Tu restes en retrait, sans regarder le bonheur ni les tribulations ?

23.  

L’orgueil de l’impie irrite le misérable ; ils s’embourbent dans les desseins qu’ils trament.

24.  

Dans les désirs de son âme, le pécheur se vante, et l’offenseur se flatte.

25.  

Le pécheur agace le Seigneur, pensant : le châtiment ne sera pas égal au courroux ; il ne voit pas Dieu face à lui.

26.  

Ses voies sont toujours souillées, Tes destins sont éloignés de sa vue ; il domine tous ses ennemis.

27.  

Dans son cœur, il dit : je serai inébranlable, de génération en génération, je serai sans mal.

28.  

Il a la bouche pleine de malédiction, pleine d'amertume et de malice ; il a la peine et le tourment sous sa langue.

29.  

Il dresse une embuscade, se cache avec les riches pour tuer l’innocent ; ses yeux cherchent le misérable.

30.  

Comme un lion dans son enclos, il guette le pauvre pour l’emporter, pour emporter le pauvre, une fois celui-ci empêtré.

31.  

Il l'humiliera dans son piège ; mais en dominant l’humble, il pliera et tombera.

32.  

Car il dit dans son cœur : Dieu oublia, détourna Son regard pour ne jamais voir.

33.  

Lève-Toi, Seigneur, lève Ta main, n’oublie pas les humbles.

34.  

Pourquoi ce courroux de Dieu contre l’impie ? Celui-ci dit dans son cœur : Il ne châtiera pas.

35.  

Mais Tu vois bien, Tu observes la peine et les passions pour les prendre dans Tes mains ; l’humble est livré à Toi ; sois un aide au démuni !

36.  

Abaisse le bras du pécheur et méchant ! Lorsqu'il aura à répondre de son péché, il ne le pourra pas.

37.  

Le Seigneur régnera dans le siècle et dans les siècles des siècles ; vous les païens, serez exterminés de Son royaume.

38.  

Tu entendis le désir des pauvres, leur cœur dévoué inclina Ton ouïe.

39.  

Choisis l’humble, le déshérité ; que l’homme sur la terre ne se magnifie plus.

 

 

Sources : en slavon d’église et version interlinéaire du texte grec

 

Dans le texte grec, les versets 18 et 22 sont précédés de notes : ᾠδὴ διαψάλματος, διάψαλμα, respectivement, qui indiquent une pause musicale ou changement de ton.

 

Olga (TdR)

 

 

David, prophète et roi David, prophète et roi