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30/05/2019

 

Le rôle de la papauté

 

Les livres de Tatiana Gratcheva sont précieux dans la partie historique. Dans le livre « Quand l'autorité n'est pas de Dieu » (2011) elle parle notamment des mercenaires dans les autorités civiles et religieuses. Le Vatican a joué un rôle clef dans la destruction du camp des pays socialistes, pays nationaux, en commençant par le mouvement Solidarité organisé en Pologne, au pays dont le pape Jean-Paul II (Karol Wojtyla) était originaire.

« La chute du communisme » ne signifiait pas dans ce cas l'effondrement de l'idéologie qui « vit et gagne » actuellement à l'Occident, mais l'effondrement de l'État soviétique et ses alliés, les pays de l'Europe de l'Est, qui en fait, s’étaient depuis longtemps éloignés de l'idéologie communiste. Il ne restait d’elle que quelques symboles et titres. C'était une façade extérieure qui cachait un système complètement différent. On l'appelait soviétique, socialiste ; par essence, c’était un système orienté vers la construction de l’État national qui empêchait objectivement la création de tout ce qui est mondial, y compris le Kaganat mondial. L’Union Soviétique constituait le noyau de tout ce qui était national, unissant les pays de l’Europe de l’Est et les pays du Tiers Monde qui avaient également choisi la voie de l’état national. L’URSS a formé cette coalition de forces nationales et cette coalition était ancrée sur lui. De ce fait, le national pourrait défendre et repousser les attaques du global. »

Son prédécesseur élu, Jean-Paul I, n’était pas convenable pour les maîtres : sa papauté n’a duré que 33 jours et il fut tué (empoisonné) en septembre 1978. [1]

« En raison de ses opinions politiques, le pape n'aurait pas agi comme Karol Wojtyla pour détruire l'URSS et ses alliés. Mais il y avait aussi des raisons financières. Luciani décida de vérifier l'activité suspecte de la banque du Vatican. C'est-à-dire que le pape a attaqué « le plus saint », l'idole de la tribu des Dan, le veau d'or adoré par la khazarocratie. Comme John F. Kennedy, il aborda leur argent. »

Jean-Paul II, évidemment leur agent dévoué, accomplissait pendant 27 ans de sa papauté toutes les tâches fixées pour lui en collaboration avec la Mafia et la loge maçonnique secrète P-2 avec en tête la CIA.

Voici la version abrégée du chapitre « Le catholicisme sans le Christ ».

 

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L’archevêque Averky (Taushev) écrit : « De nombreuses prédictions patristiques, déjà des premiers siècles du christianisme, nous indiquent que la plupart des chrétiens de la fin des temps, spirituellement éteints, indolents et tièdes, ne reconnaîtront pas l’Antéchrist quand il viendra et seront en adoration devant lui comme devant leur chef spirituel, seigneur et maître. Au début, il se présentera hypocritement comme le plus grand zélé et patron de tout le bien, et même du christianisme, mais sans le Christ ; et pour beaucoup de ceux qui se soucient de la structure canonique de l'Église et de la discipline religieuse, en particulier de l'obéissance et soumission aux autorités ecclésiastiques, il apparaîtra comme un strict canoniste qui punit sévèrement tous ceux qui ne veulent pas lui obéir et l’adorer en s’appuyant sur la lettre des canons de l’église ».

 

Le pape Benoît XVI a poursuivi la cause de son prédécesseur Jean-Paul II dans la construction du nouvel ordre mondial. Le 7 avril 2009, il a appelé à la création d'une « autorité politique mondiale » chargée de guider l'économie mondiale. Le pape déclara littéralement ce qui suit : « Il existe un besoin urgent d'un organe mondial de pouvoir politique pour gérer l'économie mondiale afin de relancer les économies touchées par la crise. Il est impératif que cet organisme soit reconnu à l'échelle internationale et doté d'une autorité efficace pour garantir la sécurité de tous ». Cet appel du pape fut publié à la veille du G8 parallèlement à la démonstration de la devise mondiale qui devrait devenir l'un des principaux piliers du futur système de gouvernement mondial. En fait, Benoît XVI a appelé à sa création.

 

Les paroles du pape ne sont pas juste des phrases prononcées pour l’occasion. Il y a toute une idéologie de l’abandon du dogme chrétien, le résultat de profonds changements dans le catholicisme qui ont conduit à la Grande Apostasie. L'archevêque Marcel Lefebvre (1905-1991) a décrit ces signes dramatiques dans le livre « Ils L'ont trahi. Du libéralisme à l'apostasie » (Saint-Pétersbourg, 2007) où il s'est opposé aux innovations du concile Vatican II (1962-1965), qui ont abouti au processus de la Grande Apostasie.

 

La doctrine religieuse chrétienne est construite sur le théocentrisme : Dieu est au centre de tout, « l'homme est de Dieu et pour Dieu ». Mais le deuxième concile proclame une « doctrine monstrueuse », l'anthropocentrisme : l'homme est au centre de tout. Le concile déclara l'homme, et non pas Dieu, « le centre et le sommet de tout ce qui est sur la terre, le principe et la fin de tous les établissements ». L'homme est au centre et Dieu est à côté de lui, avec lui, à son service. L’anthropocentrisme signifie une approche utilitaire de Dieu. Le postulat « tout pour Dieu » a été remplacé par le slogan « tout pour l'homme ».

 

L’anthropocentrisme comporte l’orgueil humain. L’orgueil ne peut pas avoir de limites. C'est la chute continue dans l'abîme. Et comme l’anthropocentrisme est très mobile, il change avec l’inévitable croissance de l’orgueil humain. Et peu à peu, la formule est introduite dans l'âme des gens : « L’homme est au centre de tout, il est auto-suffisant ». Mais alors, pourquoi a-t-il besoin de Dieu ? Et alors, la formule « L’homme sans Dieu » apparaît. Mais ça ne s'arrête pas là. L'ennemi du genre humain jette autant de bois que possible dans le feu de l'orgueil humain avec les pensées : « Tu es tellement autonome que tu peux toi-même inventer, créer pour toi une religion qui ne t’alourdirait pas comme celle que tu avais jadis. Regarde toutes les religions et tous les cultes. Tu es tellement autonome que tu peux toi-même inventer, créer pour toi une religion qui ne te surchargerait pas comme celle que tu avais jadis. Regarde toutes les religions et tous les cultes. Mélange-les, prends de leurs doctrines ce que te convient, ce qui justifie tes péchés, tes actes ignobles, pourquoi ces tourments de la conscience ? Tu créeras une religion parfaite pour toi et vivras dans la paix et la sécurité. Ce cocktail enivrant s'appelle œcuménisme. Ajoutes-y de nouveaux composants et prends-le aussi souvent que possible. Tu verras l'effet ».

 

L'effet apparaîtra bientôt, car l'œcuménisme n'est pas le fond de l'abîme appelé anthropocentrisme. Une pensée qui caresse l'orgueil apparaît dans la conscience comme par elle-même, mais de quelque part à l'extérieur (enivrée d'orgueil, l'âme perd la sensibilité) : « Eh bien, une religion doit avoir un dieu. Tu étais suffisamment autonome pour inventer une religion. Mais tu n'es pas seulement autonome. Tu es génial. Prouve ta grandeur et crée-toi un dieu, élis-le, vote pour lui comme tu votes pour les présidents. Par le biais de la démocratie, je t’ai appris à voter politiquement pour que, devenu habitué, tu ne trouves rien de surprenant ou d’inhabituel dans un vote spirituel. Je vais te donner un candidat. Ce n'est pas grave s'il soit seul. Pendant de nombreuses années, tu t'es assuré que les élections ne sont que pure forme. C'est l'absolutisme dans un brillant caramel démocratique. L’élection est un spectacle à l'échelle locale, où tu es autorisé à être un figurant. Maintenant, ton rôle accroîtra considérablement. Tu vas participer à la scène de foule d’envergure mondiale. Tu vas élire pour toi un dieu qui deviendra en même temps ton président. Il nous faut ton libre consentement. Ne t'inquiète pas pour les conséquences. Pendant de nombreuses années de la démocratie nous t'avons habitué que ton vote pour l'élection d'un président politique était une simple formalité sans conséquences. Nous avions besoin de rituels démocratiques en politique afin de te préparer à « l’élection » religieuse. Nous t'avons appris à accepter avec obéissance les candidats proposés par les puissants de ce monde et voter volontairement pour ceux qui vont protéger leurs intérêts et non pas les tiens. Maintenant, ce sont les mêmes rituels et la même action volontaire, comme tu es formé et habitué. Et c'est encore plus facile. Pas besoin de penser qui choisir. Il n'y a qu'un seul candidat. C’est ton futur dieu. Prête ta voix pour lui. Nous avons besoin que tu le fasses volontairement ! Tu es une personne ordinaire et tu as toujours cherché à t'élever. Ton orgueil te tenait constamment en souci. Tu as donc une chance de prouver ta « grandeur » dans l'élection non pas d'un président, mais d'un dieu en personne ».

 

L'anthropocentrisme est antichrétien. Il produit la négation de Dieu, le paganisme ou le polythéisme, propres à l’arrangement du monde en réseau, et enfin, la lutte contre Dieu et la mise au pouvoir de l'Antéchrist.


L’anthropocentrisme entraînera une terrible instabilité dans le monde. Pourquoi ? Mais parce que l'anthropocentrisme s’appuie sur l'orgueil humain qui s'est rebellé contre Dieu. Attiser cet orgueil chez les gens donnera inévitablement naissance à des revendications de plus en plus nombreuses dans les pays et parmi les peuples, un affrontement de divers orgueils fondé sur l'envie, la concurrence, la présomption et l'arrogance. Toute cette flamme dans l'âme engendrera certainement le feu de guerres, l'ethno-séparatisme et les guerres civiles détruisant l'État, une révolution qui balaiera le monde entier. L'anthropocentrisme, c’est la révolution. On sait qui fut le premier révolutionnaire : le diable qui s'est rebellé contre Dieu. Le monde issu de l'anthropocentrisme sera plongé dans le chaos de guerres sans fin et de catastrophes, le soi-disant chaos contrôlé, pour donner des raisons aux forces perverses qui ont planifié tout cela de proposer à l’humanité aveuglée et épuisée un nouvel ordre mondial avec un dirigeant mondial.

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Les dirigeants catholiques après le concile Vatican II se sont engagés sur la voie de l'anthropocentrisme, la voie de la destruction. Commencent ensuite les étapes spécifiques pour refaire la doctrine. Les paroles et les actions du Christ, celles qui ne parlent que de sa nature humaine, sont choisies arbitrairement dans les Écritures. Dans les « Fondements obligatoires », approuvés en 1969, il est recommandé d’exclure toute référence aux « miracles cosmiques » (élimination de la tempête, multiplication des pains), ainsi que la mention des anges, des possédés, du satan, du feu éternel.

 

L'apôtre Pierre nous appelle, « Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera ; résistez-lui avec une foi ferme » (1 Pierre 5:8). Là, on trouve l'appel opposé : oublier le danger du mal et son existence. Mais dans ce cas, la personne cesse d'être « sobre et éveillée » et devient une proie facile pour le lion rugissant qui avale sa victime.


Le diable est notre adversaire le plus dangereux, et selon l'apôtre, on peut lui résister avec une foi ferme. Mais s'il n'y a pas de diable, alors pas besoin de l'arme de forte foi, c'est bien ça ?


Dans le nouveau catholicisme, le miracle est expliqué du côté humain, ce qui réduit le Sauveur au niveau d'un certain psychique : « Jésus a guéri les malades, mais cela ne signifie pas nécessairement des miracles au sens où nous en entendons souvent parler. Certaines personnes ont un don naturel de guérison. Jésus, n'était-il pas l'un d'entre eux ? »


Mais selon cette logique, il apparaît que tout psychique qui fait des miracles, peut être assimilé à Dieu et, sur la base de ces miracles, peut se déclarer Dieu. Mais c'est le schéma des actions de l'antéchrist. Sa venue sera accompagnée de miracles. « Car il s'élèvera de faux Christs et de faux prophètes; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, si possible, même les élus. » (Matt. 24, 24-25).


Mettre l'accent sur l'humanité du Christ avec la dérogation de Sa divinité implique la même illusion avec laquelle les adhérents de l’arianisme avaient autrefois cherché à « rendre le christianisme plus accessible aux païens ».

 

Cette formule de domination de l’humain sur le divin est contraire aux principes chrétiens. Dans le cadre de cette formule, ce n'est pas Dieu qui prend l'image de l’homme pour sauver l'humanité par Son exemple et Son sacrifice, mais un homme peut se déclarer dieu, ce que l'antéchrist  fera le moment venu.

 

Mais la même formule sous-tend le dogme du pape. Il est considéré comme le vicaire de Dieu sur la terre. Mais si une personne peut être le vicaire de Dieu sur la terre, alors une autre peut le devenir aussi. Ainsi, la possibilité de la transformation de l'humain en divin est introduite dans la conscience des gens. Le dogme du pape est donc la matrice de l'antéchrist et la préparation de sa venue.

 

Une chose étonnante se produit : le rapprochement, voire la fusion du judaïsme moderne et du catholicisme moderne. Le judaïsme moderne, créé par les Khazars, est formé sur la base de l’abandon du Christ dans le cadre d'interprétations subjectives de l'Ancien Testament. Le catholicisme moderne est formé sur la base de l'abandon du Christ dans le cadre d'interprétations subjectives du Nouveau Testament.

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Les sources de la grâce divine et de la foi s'épuisent, et le poison mortel du naturalisme se répand dans les veines de l'Église.

Mgr Marcel Lefevre

 

La préface du livre de Mgr Lefebvre « Ils L'ont découronné » dit que dans certaines paroisses catholiques, il n'est pas conseillé aux parents de placer le crucifix dans la chambre d’enfant pour éviter de traumatiser les enfants. Il est proposé de le remplacer par « l’image du chien, symbole de loyauté », et devenus adultes, ils retrouveraient cette image dans le catéchisme qui ne leur dira pas un mot sur le Christ crucifié.

 

Contourner la souffrance contredit directement le christianisme, l'exemple que le Christ nous a montré dans sa vie terrestre. La fermeté dans la foi, la lutte contre le mal implique inévitablement le sacrifice et la souffrance. Par eux, nous gagnons la possibilité du salut : « Mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé. » (Matt. 24:13). Éviter la souffrance signifie essentiellement abandonner la foi et la protection de la foi.

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Le nouveau catholicisme parle de Dieu comme esprit, source de vie et n'utilise pas le mot Père. Le rejet du mot Père doit être compris comme un rejet du concept de Trinité. Les saints pères ont écrit que le concept d'hypostase Père dans le christianisme est supérieur au concept de Dieu, car le Père est inclus dans le concept de Trinité, donc par Lui, ce concept peut être ouvert et compris. Le concept de Dieu peut être utilisé au pluriel. En réponse aux accusations des Juifs, Jésus dit, citant les paroles du psaume 81, verset 6 : « N'est-il pas écrit dans votre loi: J'ai dit: Vous êtes des dieux? » (Jean 10:34).

 

Et voici la citation complète du psaume : « J'ai dit : vous êtes des dieux, et vous êtes tous les fils du Très-Haut ». C'est-à-dire qu’il y a un seul Père Tout-puissant. Cela explique que le concept de Père est supérieur au concept de Dieu. Le rejet du concept de Père est aussi le rejet du concept connexe de Patrie. C’est la transition de la conscience patriotique à celle cosmopolite, condition nécessaire pour abandonner l’état national et construire le kaganat mondial.

 

La tentative de révision des principes de base du christianisme est une « christologie négative venant de la terre. Dieu s'estompe dans l'humanité. C'est une érosion terrible des limites entre la lumière et les ténèbres ». Nous ajoutons qu'il s'agit également d'une tentative de remplacement de la lumière par les ténèbres.

 

En 1975, 10 ans après le concile Vatican II, Lefebvre constata : « Les papes Jean XXIII et Paul VI ont soutenu ces innovations, et les idées libérales ont largement pénétré le conseil ... Vous pouvez voir comment les libéraux s'opposent à notre Seigneur Jésus-Christ et à son Église ».

 

Ces changements antichrétiens dans le dogme catholique sont accompagnés d'un œcuménisme antichrétien. « L’œcuménisme n’est pas la mission de l’Église, - dit Lefèvre. - L’Église ne devrait pas être œcuménique, elle devrait être missionnaire. L'église missionnaire a pour but de faire appel à la vraie foi, tandis que l’œcuménique a pour but de trouver ce qui est vrai dans les illusions et rester à ce niveau. Cela signifie la négation de la vérité de l'Église. Selon l'œcuménisme, l'Église n'a plus d'ennemis. Ceux qui sont dans l'erreur sont des frères. Donc il n'y a plus besoin de combattre le mensonge. On ne dénonce déjà personne et rien, ne rejette pas l’enseignement douteux, ne stigmatise pas les hérétiques avec un fer ardent de déshonneur. On livre les ouailles des brebis du Christ aux loups pillards ». Lefèvre a écrit cela dans son autre livre « Ils L’ont maudit ».

 

Dans ses sermons, Jean-Paul II a appelé à plusieurs reprises à l'œcuménisme, à l'unification de toutes les religions. C'était l'une de ses tâches principales. Il a visité des lieux de culte de nombreuses religions et a prié ensemble avec des représentants de confessions non-chrétiennes. Il a prié dans l'église luthérienne. Il fut le premier pape à avoir visité la synagogue en 1986 et établi des relations diplomatiques entre Israël et le Vatican. Un chroniqueur du Vatican déclara alors : « C’était un événement véritablement historique. La première et unique visite à la vie de l'Église et de la communauté juive depuis l'époque de saint Pierre ».

 

Jean-Paul II a rencontré des sorciers et des chamans et a même participé à leurs rituels dans la forêt togolaise.

 

En 1986, Jean-Paul II fit une prière commune pour la paix en Italie avec les dirigeants de 12 religions, y compris juifs, bouddhistes, unitariens (une secte qui n'accepte pas la Trinité, l'un des principaux dogmes du christianisme), adeptes du zoroastrisme, du shintoïsme, de l'hindouisme, des cultes païens d'Afrique et d'Amérique. Il y avait aussi des protestants et même des orthodoxes. Ils ont tous prié pour la paix avec le Dalaï Lama et ont placé la statue de Bouddha sur l'autel. Le pape Jean-Paul II déclara alors qu'ils priaient tous le même Dieu dans le même but, et que leur énergie spirituelle apporterait un nouveau climat au monde.

 

Le conseil pontifical pour le dialogue interreligieux fut créé sous Jean-Paul II. Le pape comptait que les aspirations communes à la paix effaceraient les différences religieuses. Il a dit que le jour viendrait et qu'il y aurait une foi unie (qui est la foi de l'antéchrist) et que les gens pratiqueraient toutes les religions ensemble. Il prônait une approche selon laquelle toutes les églises, religions, organisations et individus renonceraient aux principes clés de leurs religions au nom de la paix et de la sécurité.

 

Rappelons-nous les paroles de l'apôtre Paul : «Quand les hommes diront: Paix et sûreté! alors une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs de l'enfantement surprennent la femme enceinte, et ils n'échapperont point. » (1Thess. 5:3).

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Jean-Paul II dans son service de la khazarocratie est allé le plus loin. Le 27 novembre 1983, il a publié une bulle papale légalisant l'adhésion à des sociétés secrètes pour les catholiques. C'est-à-dire qu'en 1983, le canon n°2335, en vigueur depuis 200 ans, qui interdisait aux catholiques d’être membres des loges maçonniques sous peine d'être excommuniés, était retiré du code juridique catholique. Cela signifiait la cessation officielle de la lutte du Vatican avec la franc-maçonnerie et facilitait le maintien des liens entre les prélats et les cercles mafieux. Cette même année, le pape accueillit la Commission trilatérale au complet (environ 200 personnes).

 

Jean-Paul II a également choisi le sinistre symbole utilisé par les satanistes au VIe siècle, qui fut réanimé lors du concile Vatican II. C'était une croix courbée (cassée). Au Moyen Âge, les sorciers l'utilisaient pour effectuer leurs rituels occultes noirs. Elle représentait la « marque de la bête ». Compton écrit : « Jean-Paul II portait cet objet et le montrait aux foules de gens qui ne soupçonnaient même pas que c’était un symbole de l'antéchrist ».

 

Le Vatican était lié depuis longtemps aux Rothschild et à leur argent. Il dépend d'eux et pour cette raison, il est également devenu l'une des principales unités des Illuminati créés par les Rothschild, les chefs de la khazarocratie. Comme l'écrit Coleman, cette alliance du Vatican et des Rothschild a été formée au XIXe siècle. Lorsque le Vatican connut des difficultés financières, les Rothschild lui accordèrent un emprunt de 5 millions d'euros. En gage de gratitude, le pape Grégoire XVI (1831-1846) a décerné à Kalman Rothschild un ordre papal. Ainsi, les Rothschild sont devenus des agents financiers du Vatican qui est devenu à son tour un allié et outil des Rothschild. Grâce au Vatican, les Rothschild ont réussi à étendre leur influence politique et financière aux États-Unis et prendre le contrôle sur ce pays.

 

On peut par conséquent appeler les plans de rapprochement entre l’Église orthodoxe russe et l’Église catholique, dans les termes de Lefebvre, « un projet impie et blasphématoire » qui  place symboliquement « un signe égal entre vérité et erreur » et inclut l’Église orthodoxe russe dans les plans anti-chrétiens mis en œuvre par le Vatican.

 

Et voici le verdict de Lefebvre : « J'affirme résolument que le Concile a opéré un tournant de l'Église vers le monde. On peut donc se demander qui a inspiré cette spiritualité. C'était celui que notre Seigneur Jésus-Christ appelle le prince de ce monde ». En fait, il accusa les dirigeants catholiques de satanisme : ils sont devenus des mercenaires du prince de ce monde.

 

Selon Lefebvre, l’esprit du monde s’est établi dans l'Église : « Je voudrais souligner les causes extérieures de la crise de l'Église, à savoir la mentalité libérale, orientée vers des plaisirs terrestres, qui s'est répandue dans la société. Le concile a tout fait pour pousser la vie du monde dans cette direction ».

 

La figure du pape comme principal mercenaire et chef des mercenaires de l'autorité ecclésiastique acquiert une importance cruciale dans toute cette conspiration en collusion avec le prince de ce monde. <…>

 

L’arme spirituelle est incomparablement plus puissante que l’arme atomique et les moyens de destruction massive les plus modernes, même futurs. L'arme spirituelle détruit l'âme et prive les gens non seulement de leur capacité à résister, mais de l'idée même de résistance aux envahisseurs. La destruction de l'âme entraîne une paralysie complète de la volonté et de la conscience qui est suivie de la destruction physique ou l'autodestruction.

 

 

Source Quand l'autorité n'est pas de Dieu

Traduit par Olga (TdR)