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06/02/2019

Les constructeurs des révolutions

 

Préface. À propos de ce livre

 

Description sommaire de l’éditeur.  Dans le cycle de ses œuvres « La Golgotha ​​de la Russie », dans le livre « Les conquérants », l'auteur révèle les véritables causes de la tragédie de la Russie au XXe siècle, après son envahissement et occupation en 1917. Il évoque les origines de la dégradation morale de l'élite dirigeante de la Russie dès le début du XVIIIe siècle et les sources secrètes de la conspiration du sionisme mondial et de la judéo-maçonnerie contre notre pays ; le génocide total du peuple russe et le premier pillage global de la Russie par les siono-bolcheviks, les mécanismes de ce pillage et la participation de la collectivité juive internationale à ce crime. Les véritables bourreaux de notre peuple sont montrés dans le cadre de leurs affaires sanglantes qui ont coûté la vie à près de 18 millions de personnes pendant la seule période de 1918-1923. 

 

Voici un livre historique de valeur. Le livre « La Golgotha de la Russie. Les conquérants »  a été écrit à la fin des années 1990. Son auteur Yuri Kozenkov est mort en 2007 à l'âge de 64 ans « dans d'étranges circonstances ». Il a écrit plusieurs autres livres après celui-ci.

À l’époque, au tournant du millénaire, l’auteur n’était pas libre de quelques illusions politiques. Mais c’est l’histoire véridique de la révolution de 1917 que je ne connaissais pas avant. Le manuel d’histoire à l’école racontait une pure fiction, comme je le comprends maintenant. Or, tout ce qui concernait la « Grande révolution d’octobre » et Lénine, était toujours un pilier inébranlable. (Inutile de dire que les manuels d’histoire sont aussi mensongers partout dans le monde, seulement les mensonges sont adaptés à chaque pays.)

Lénine... un révolutionnaire qui vivait à l’étranger de 1900 à 1917 et qui a été surpris d’apprendre des journaux à Zurich que le tsar avait abdiqué et le gouvernement provisoire avait accédé au pouvoir en février 1917, et qui fut ensuite transporté en Russie avec son groupe sioniste via l’Allemagne. D’après les informations citées dans ce livre, Lénine a été né de la la mère juive, et on voit maintenant qu’autrement, il n’y aurait pas de fameux triple profile - Lénine ensemble avec les Juifs rabbiniques Marx et Engels, qui constituait un emblème du parti communiste.

J’ai trouvé récemment ce livre sur internet, le nom de l’auteur m’était inconnu, et j’ai vu à quel point nous étions ou sommes entièrement dans la tromperie. Ce livre prouve que la « Grande révolution d’octobre » était une opération de prise du pouvoir par les Juifs sionistes. Et c’était fait de la même manière à la fin du siècle. En gros, on organise une épaisse fumée politique, et parmi le désordre général, le pouvoir passe à une figure désignée et son groupe : Lénine dans le premier cas, Eltsine dans le deuxième. Dans les deux cas, les dites procédures démocratiques étaient bafouées. Après avoir lu ce livre, j’ai pris conscience que le pays fut purement et simplement conquis par les Juifs sionistes sous le couvert des slogans politiques. Après, ils ont commencé le génocide.

Parmi l'ample bibliographie, l’auteur a usé des publications dans les périodiques des années 1988-1990, lorsqu’il était prévu de changer de régime et il était permis de publier de mauvaises choses liées au régime communiste.

Le livre est très volumineux, 460 pages. La majeure partie est consacrée à l’histoire de notre pays depuis Pierre I et jusqu’à Staline, et surtout à l’histoire avant la révolution sioniste bolcheviste et à l’horrible histoire après la révolution. Mais au commencement, l’auteur a brièvement décrit les événements des siècles précédents en Europe et en Amérique du Nord. Un fragment est traduit ici.

 

***

 

Au XVIIe siècle, à compter de la révolution anglaise de 1648, commencerait la conquête du monde par les maçono-juifs. Avant ces événements était la révolution néerlandaise de 1630, déclenchée par les sionistes pour riposter à l’Espagne, d’où les Juifs ont été expulsés en 1492. Leur heure est venue. L'Europe était couverte de sang. Seule l'Allemagne perdit plus de 60 % de sa population. Ce carnage entre les protestants et les catholiques, en conséquence des hérésies réformistes juives, fut une préparation pour la mise en œuvre du plan général de conquête de l'Europe.

 

Toutes les initiatives de l'Espagne sur le continent et au-delà étaient bloquées par les sionistes dans tous les pays avec l'aide des diasporas juives. Ils ne ménageaient pas l'argent. À partir de ce moment, l’Espagne quitta les premiers échelons la politique européenne. C'était au tour de l'Angleterre. En effet, elle aussi avait chassé les Juifs du pays en 1290.

 

L'idéologie vétérotestamentaire, prêchée par des philosophes-maçons et financée par les sionistes, alimentait progressivement les pousses des bouleversements à venir en Angleterre. La lutte pour la liberté religieuse et politique est née de la Réforme. Les dits « Indépendants » ne voulaient plus prendre les croyances religieuses des mains de la couronne et de l'église. Les Indépendants dirigés par Cromwell ont défini la tâche dans le cadre des dogmes talmudiques destructeurs des sionistes : la conquête de la liberté de conscience moyennant la « réorganisation » de l'État. Les sionistes ont choisi Cromwell comme marionnette pour mettre en œuvre leurs plans. Le capital du grand rabbin d’Amsterdam, Manassé Ben Israël, a servi à financer les bouleversements, en échange de retour des Juifs.

 

Mais c'était une condition déclarée. En fait, Manassé ben Israël, étant arrivé à Londres pour l’accord, exigea une obéissance ouverte à la Loi juive, puisqu'un grand nombre de Juifs n’ont pas quitté l’Angleterre après leur expulsion, mais « s’y sont égarés ». La correspondance de Cromwell, qui était gardée dans l'une des synagogues néerlandaises de Mülheim et fut publiée en 1921, révéla de nombreux secrets de cette époque.

 

Les instructions de la Hollande, datées du 16 juin 1647, prescrivent l'assassinat du roi Charles I Stewart, devenu prisonnier des soldats cromwelliens. En 1649, le roi serait exécuté. Avant, Cromwell ferait un massacre brutal des prêtres à Droghed - l'unique cas de ce genre dans toute l’histoire de l’Angleterre. En 1656, il serait décidé de renvoyer les Juifs en Angleterre. Mais déjà en 1660, la république de Cromwell céderait la place à la monarchie et la dynastie des Stewart serait restaurée. Cependant, Jacques II ne deviendrait, outre sa volonté, qu'un monarque constitutionnel, ce qui entraînerait ensuite la chute de la dynastie.

 

C'est au cours de ces années que l'Angleterre a commencé à se transformer en un bastion du capital international exploité dans l'intérêt de la diaspora juive internationale. Ils ne s'y calmèrent point, ils étaient impatients de renverser la dynastie catholique des Stewart et de la remplacer par la clique néerlandaise des princes d’Orange. La révolution suivante de 1688, dirigée par Guillaume III d’Orange, a été financée par le Juif de La Haye, Isaac Lopez Suasso, qui versa deux millions de couronnes, une énorme somme à l'époque. L'affaire fut faite. Ceux dont il fallait acheter, furent achetés. John Churchill, le commandant de l'armée du roi Jacques II Stewart, envoyé pour combattre les Hollandais, rejoignit leur camp.

 

Le renversement de Jacques II a ouvert aux franc-maçons la voie pour la création en Angleterre du centre de la franc-maçonnerie internationale et sa transformation en un bastion du capital sioniste. Le 24 juin 1717 en Angleterre, l’élaboration organisationnelle de l'état-major siono-maçonnique mondial pour l’activité subversive contre l'humanité fut accomplie. L'assemblée générale de quatre loges maçonniques les fusionna, la Grande Loge d'Angleterre apparut et le Grand Maître fut élu.

 

Ce fut un événement exceptionnel pour la franc-maçonnerie, car le moment où la mafia maçonnique a ouvertement émergé de la clandestinité, marque le début de la franc-maçonnerie sous sa forme moderne. Pour désinformer le public, la franc-maçonnerie considère cette date comme sa naissance. Cependant, on sait que Pierre I a été initié aux maçons à Londres dès 1698, lors de son voyage en Angleterre, soit 20 ans avant cet événement - sans oublier les faits marquants de leurs activités au cours des siècles, devenus connus dans le monde entier surtout ces derniers temps.

 

Avec l'or des sionistes et les organisateurs expérimentés, la franc-maçonnerie se répandit rapidement en Europe et en Amérique. Ils avaient un large éventail de tâches : des actions politiques et militaires, l'espionnage, de même que la puissante propagande des hérésies anti-chrétiennes : « tolérance », « pluralisme », « liberté d'opinion », etc., en donnant à ces notions le sens de la tolérance à toute vilenie, au mensonge, à la cruauté et la fraude, à la traîtrise et au diktat. De cette manière, les fondements autocratiques et la structure étatique dans les pays européens ont été subvertis de l’intérieur, de même que les fondements chrétiens de la moralité et de la conscience humaine.

 

Déjà en décembre 1743, 16 maîtres parisiens ont élu leur Grand Maître inamovible : le prince Louis Bourbon, comte de Clermont. À cette époque, la Grande Loge Anglaise de France est née - une branche de la loge anglaise. Depuis 1773, elle prit le nom « Grand Orient de France ». Bientôt, le nombre de loges maçonniques en France a dépassé 700 ; la plupart de leurs dizaines de milliers de membres ne comprenaient pas qui ils servaient et à quoi, puisque les loges étaient dirigées de l'extérieur de la France, et les véritables objectifs étaient soigneusement cachés. Mais c’était la France qui devait devenir une nouvelle arène des bouleversements sociaux en Europe, des renversements sanglants des monarchies régnantes.

 

Le rôle le plus actif dans ce domaine a été joué par l'ordre maçonnique des Illuminati, fondé en 1776 par le bavarois Adam Weishaupt. L'objectif principal de l'ordre était de mettre en œuvre la révolution mondiale. L’une des méthodes consistait à entourer les puissants de ce monde par une légion d’infatigables qui guidaient l'activité de ces puissants selon le dessein de l’Ordre. Comme le disait Mirabeau, un leader de la Révolution française : « Les Illuminati ont copié l’ordre des jésuites, mais avec des objectifs totalement opposés ». Weishaupt instruisait : « Liez les mains à tous ceux qui résistent, détruisez, étranglez le mal à la racine. Écrasez tous ceux qui vous n'avez pas réussi à convaincre ». Son but était la destruction complète de l'Église et de la religion en tant que telle, de la famille, de la moralité, de la propriété, de l'État. En fait, de ce qui sera détruit plus tard en Russie.

 

Les finances du génie diabolique juif Rothschild assuraient ces destructeurs. En 1780, Rothschild avait déjà établi le contrôle complet sur les banques anglaises. C'est à ce moment qu’il fera sa déclaration cynique : « Je me fiche de savoir qui dirige les politiques de l’État. Donnez-moi la possibilité de gérer le système monétaire et je gérerai la politique. »

 

Les congrès internationaux des francs-maçons à Wilhelmsbad et à Francfort en 1782 et 1786 décidèrent du destin de Louis XVI et de Gustav III de Suède, qui étaient tous les deux les opposants convaincus de la franc-maçonnerie. Comme on le sait de l’histoire, Louis XVI et Marie-Antoinette furent exécutés à l’échafaud par la racaille révolutionnaire, et le roi de Suède fut tué par balle à la cour par le franc-maçon le comte Ankastrem. Le monarque autrichien, qui essayait d'entraver la révolution française, fut empoisonné avec un bonbon qu'une dame masquée lui a donné au bal.

 

William Pitt, alors premier ministre de l'Angleterre, a ouvertement cité le montant qu'il avait reçu « pour la révolution » en France : 24 millions de livres sterling. Et le lord Mansfield, intervenant à la Chambre, déclara que « l'argent reçu pour exciter la révolution en France fut un bon investissement ». Les francs-maçons, généreusement financés par les sionistes, ont lancé des préparatifs intensifs en vue du renversement de la monarchie en France. Ils commençaient par « organiser les rues » pour les émeutes. Ils fondaient d'innombrables comités et les blocs populaires, saisissaient les églises et les utilisaient pour leurs clubs, et prononçaient d'autels des discours d'incitation démagogiques et blasphématoires.

 

Or, la fameuse prise de la Bastille le 14 juillet 1789 est ridiculement devenue un prototype de « l’assaut » du Palais d’Hiver en Russie en 1917. Cela est compréhensible : ces révolutions ont eu la même sage-femme. Sur les huit mille habitants de Paris, seulement 800 personnes ont participé à la prise de la Bastille, payées de 12 francs par jour. Les marins baltes en Russie en 1917 ont reçu dix roubles chacun. Sans assaut, lorsque le pont-levis a été abaissé, une foule dirigée par le franc-maçon Moreton de Chabrillan et d'autres, s'est introduite en prison, tuant quatre officiers et la majorité des soldats handicapés. Les victimes de la « sanglante » tyrannie de Louis XVI se sont avérées des sept personnes à la Bastille ! Tous criminels.

 

La prise de la Bastille servit de signal à la rébellion générale, car les rues étaient déjà préparées à cela. Immédiatement, le Centre maçonnique de Paris envoya des instigateurs et des agents dans toute la France, qui semaient la peur et l’anxiété. Ils soulevaient la rébellion par la tromperie impudente. Ainsi, en Bourgogne, la proclamation suivante a été imprimée et collée sous la forme d'un décret : « Par ordre du roi, du 1er août au 1er novembre, il est permis de mettre le feu à tous les châteaux et de faire pendre quiconque dit quelque chose contre ça ». Les rumeurs furent propagées, sur des voleurs qui tuaient des femmes et des enfants, sur l'invasion de la France par les Britanniques, les Allemands, etc. Au bout de 36 heures (!) les franc-maçons ont plongé la France dans le chaos et l’anarchie, grâce à l’énorme nombre de loges maçonniques et l’action concertée. Et le 10 août 1792, la monarchie est tombée. Louis XVI fut emprisonné dans une forteresse et la France devint une république.

 

Commença une période de terreur impitoyable, de l'anéantissement de tous mécontents de la révolution. Le franc-maçon Danton, un idéologue et praticien du terrorisme, déclara qu'il était nécessaire de donner issue à la « colère du peuple ». En tant que ministre de la Justice, il remplit les prisons de prêtres, d'aristocrates et de membres de leurs familles. Les biens des personnes arrêtées étaient immédiatement confisqués, et on sait où ils sont allés. En septembre 1792, des bandes de criminels ont « pénétré » dans les prisons et ont commencé la destruction totale des « traîtres ». Une orgie sanglante a duré trois jours devant les autorités. Au même moment, la guillotine, l’invention du franc-maçon docteur Guillotin, fut présentée pour l'exécution humaine et rapide de leurs ennemis. 

Les véritables objectifs de ce qui se passait étaient inconnus au peuple.

 

Une semaine après « l’assaut » de la Bastille, le franc-maçon marquis Lafayette, le héros des révolutions américaine et française, déclara avec surprise : « La main invisible contrôle le peuple. Plus vous regardez les acteurs et les armes de cette catastrophe, plus vous trouvez de choses secrètes et dissimulées ». Son successeur Robespierre, lui aussi, dit avec surprise à son ami, le jacobin Amar : « Il semble qu'une main cachée nous pousse bien au-delà de ce que nous voulons faire. Chaque jour, le Comité de salut public fait exactement ce qu'il a décidé de ne pas faire la veille ». Et parlant dans le Club des jacobins, il déclara, cette fois publiquement et ouvertement : « Tout le peuple français est contre nous. Notre seul soutien, ce sont les Parisiens ». Mais son collègue Defier répondit : « Ne soyez pas si sûr. S'il était possible d'organiser un vote secret, nous ne serions rien à Paris non plus ».

 

Bientôt, l'anarchie, l'arbitraire et la fatigue du peuple amenèrent Napoléon au pouvoir. Mais il doit son ascension à la franc-maçonnerie et au sionisme. Ils l'ont élevé et ils l'ont renversé, emprisonnant à l’île Sainte-Hélène comme un criminel, où il a été peu à peu empoisonné par leurs valets. Ils soutenaient Napoléon parce qu'il avait répandu en Europe les étincelles de révolution susceptibles de faire tomber les monarchies européennes. Mais dès qu'il a décidé de passer à une autocratie conservatrice fiable, ils l'ont détruit.

 

Qui a donc bénéficié de tous les bouleversements en France et des guerres napoléoniennes en Europe ? Les banquiers juifs et les franc-maçons. Ce sont eux qui ont reçu d’énormes sommes d’argent des livraisons aux pays qui tuaient les uns les autres. Le célèbre Juif français Bernard Lazare, auteur de l’un des ouvrages les plus connus sur l’antisémitisme, a dû admettre : « Il est facile de comprendre qu’après tous les bouleversements provoqués par la révolution, les gens blâmaient les Juifs. Hier, le Juif n'était personne, il n'avait ni droit ni pouvoir - aujourd'hui, il brillait au premier rang. Il était non seulement riche, mais il pouvait aussi diriger le pays ».

 

 

Traduit par Olga (TdR)

 

Partie 2