27/03/2017
Le rideau de fer européen
Il y a un an et demi, les serviteurs européens du gouvernement mondial ont changé les termes de visa pour ceux qui viennent visiter l'Europe depuis la Fédération de Russie: pour recevoir le visa Schengen, il faut maintenant fournir vos empreintes digitales (dactyloscopie) et une photo numérique.
Si vous voulez aller dans le sens inverse, la même chose fut adoptée un an avant. C'est naturel, car depuis 1991, la Russie est devenue une nouvelle propriété des émetteurs de la monnaie mondiale. Certains hauts fonctionnaires américains l'appellent ouvertement, en bons garçons, «un poste d'essence déguisé en État».
Selon l'internet, auparavant, il nous fallait le faire pour visiter le Royaume-uni et les États-Unis, les deux anciens sièges des Rotschild et Cie. La Chine, leur nouveau siège, y participe également. Les États-Unis ont introduit cette mesure après le 11 septembre 2001. Apparemment, le gouvernement mondial organise les attentats en vue d’organiser, sous ce prétexte, la prison mondiale.
Mais dans ce cas-là, les raisons de sécurité n'étaient même pas mentionnées, seulement des choses ridicules comme «éviter les erreurs».
Les données biométriques affluent dans le Système d'information de Visa. Le système VIS (Visa Information System) fait partie du SIS (Schengen Information System).
Ce qui suit est extrait des Questions les plus fréquentes sur le VIS.
Le système VIS n'est pas mis en vigueur le même jour dans tous les bureaux consulaires des pays Schengen dans le monde entier. Le VIS est introduit progressivement, région par région, de la manière déterminée par la Commission sur la base des trois critères définis par le Règlement du VIS: la présence du risque d'immigration illégale, les menaces à la sécurité intérieure de l'état de l'accord de Schengen, et la capacité de recueillir des données biométriques de tous les endroits de la région.
En novembre 2009, la Commission a adopté une décision sur la définition des trois premières régions pour la mise en œuvre du VIS aux bureaux consulaires. Le 11 octobre 2011 le VIS a été mis d'abord en place dans tous les bureaux consulaires des pays Schengen en Afrique du Nord, le 10 mai 2012 - dans le Moyen-Orient, puis, le 2 octobre 2012 - dans la région du Golfe.
Le 24 avril 2012, la Commission a adopté une décision sur la définition du deuxième groupe régional pour la mise en œuvre du VIS: l'Afrique centrale et occidentale (entrée en vigueur en mars 2013) ; Afrique orientale et australe (juin 2013); Amérique du Sud (septembre 2013); Asie centrale, Asie du Sud-Est et le territoire palestinien occupé (novembre 2013).
Le 30 septembre 2013, la Commission a adopté une décision définissant la séquence de la mise en oeuvre du VIS dans le reste du monde: Amérique centrale, Amérique du Nord, les Caraïbes, l'Australie, les Balkans occidentaux et en Turquie, dans les pays de l'Est voisins, la Russie, la Chine, le Japon et dans les pays voisins, l'Inde / Pakistan et dans les pays voisins, les Etats européens «nains», le Royaume-Uni / l'Irlande et d'autres États membres de l'UE.
Vu les attentats en Europe de ces dernières années, le système ne semble pas être très utile pour la sécurité.
Il en ressort que, sans savoir pourquoi, les gens du monde entier mettent leurs données biométriques à la disposition de «on ne sait qui» mondial.
À propos
«Déjà presque dans le tiers des colonies et des prisons de la Russie, on détermine l’identité des détenus et du personnel par les empreintes digitales et la rétine de l'œil. Dans les aires d'opération des colonies-établissements on utilise des systèmes portatifs de vérification d'identité». [1]
Dans certaines unités militaires les soldats reçoivent le repas dans les cantines par empreinte digitale. [2]
Dans les commentaires au sujet des données biométriques pour le visa, on rencontre des plaisanteries sur la «rectoscopie» et chose pareilles. Pour le moment, ce sont des blagues. Bien avant que la dactyloscopie n'ait pas encore été introduite, le formulaire de demande de visa Schengen contenait un drôle d'item: «Avez-vous présenté une empreinte digitale?» Maintenant il est bien clair que c'était la préparation psychologique.
Nous assistons à la marche vers le camp de concentration numérique global, quand on transforme l'homme en un objet biologique transparent, contrôlé et guidé.
Olga (TdR)