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22/03/2017

 

Éther ou pas éther

 

«Alors, peut-être, toutes les choses sont issues de l'éther!»  Isaac Newton.

 

«Tout le monde sait» que l'Éther mondial est une absurdité totale, rejetée, avec le phlogistique, par les «scientifiques sérieux», mais pas tout le monde est d'accord. La théorie de Einstein, comme le fondement de la physique relativiste moderne, la retient dans une impasse voici plus de 100 ans.

 

Mais les anciens philosophes grecs, Lord Kelvin et Dmitri Ivanovitch Mendeleïev s'occupaient de l'éther mondial, comme d'autres éminents scientifiques de l'époque et de notre temps. Malgré le fait que ces dernières décennies on ne voit guère ses partisans, grâce aux efforts de la Commission pour la lutte avec la pseudoscience auprès de l'Académie des sciences, créée en 1998 à l'initiative du nobel connu Guinzbourg.

 

Les réalisations remarquables, les inventions et découvertes de Nikola Tesla ont été obtenues sur la base du fait que l'éther mondial représente un milieu physique qui sert de matériau de construction de de toute sorte de substance matérielle, qui détermine l'essence de toutes sortes d'interactions physiques et qui est aussi une source d'énergie illimitée.

 

«Les scientifiques sérieux» ne veulent pas le savoir: «C'est une pseudoscience!», cela veut dire, elle n'existe pas du tout, et au moindre soupçon, ils se ruent en foule sur toute tentative de l'appliquer et sur ses auteurs. Tout a commencé avec l'affirmation de Einstein qu'avec  l'éther, sa théorie est trop compliquée. Cependant, il avait dit que sans éther, sa théorie ne peut pas exister, mais la communauté mondiale des «scientifiques sérieux» ne se rappelle pas cela, comme la théorie de l'éther. Les recherches de l'éther sont de facto interdites, la critique de la théorie d'Einstein est interdite. Il suffit de mentionner le mot «éther» dans un article scientifique pour qu'il soit rejeté par des revues scientifiques.

 

Les partisans de la théorie de l'éther mondial croient que l'univers est un espace continu infini d'éther englobant une gamme infinie de vibrations, grâce auxquelles, dans certains endroits, des raréfactions de fluctuation se produisent, où paraissent de différents types de matière dans la forme habituelle pour nous. Et même les «trous noirs». L'éther mondial est non seulement une source inépuisable d'énergie, mais aussi le dépôt infini de l'information où il y a une place pour la prédétermination du développement de la vie.

 

Grâce aux efforts des plus grands esprits de l'époque, la compréhension de l'éther  a élargi à tel point que le monde savant a commencé à chercher quelque chose de scientifique, mais plus facile, et il s'en tint à la théorie de Einstein, qui est devenue un modèle de base en description de la physique relativiste, quoique moins adéquate. Selon ce modèle, l'Univers est un vide immense, où par endroits, des objets matériels flottent, de la poussière cosmique jusqu'aux trous noirs, que les photons de lumière passent, s'il n'y a rien sur le chemin, avec une vitesse limite qu'aucun objet ne peut dépasser. C'est pourquoi elle est une constante.

 

«Il s'en faut de beaucoup que l'éther soit exclu par la relativité, et de sérieuses raisons peuvent exister pour postuler à nouveau l'existence de l'éther».  Paul Adrien Maurice Dirac.

 

On remarquait depuis longtemps que quelque chose ne va pas avec la théorie de Einstein. Tesla croyait que ses «vagues Tesla» se propageaient dans l'espace à une vitesse supérieure à la vitesse de la lumière dans le vide. Et lorsqu'il s'est avéré que ce vide absolu émet, «du néant», des paires électron-positron, Paul Dirac l'a camouflé avec le terme «le vide quantique». Mais lui aussi,  il n'était pas sûr que c'était juste. Certains apôtres Einstein furent vexés: «Dirac est fou» (Lev Landau). 

 

Einstein lui-même parlait quelquefois de l'incertitude dans sa théorie, et appréciait hautement les travaux de Tesla. Mais néanmoins, il a tiré la langue et n'est pas descendu du piédestal de l'étalon de l'exclusivité nationale.


La théorie générale de la relativité de Einstein sert maintenant à fermer le développement de la science dans ce sens. Peut-être, pour cela il l'a créée. Maintenant c'est la Commission pour la lutte contre la pseudoscience et falsification de la recherche scientifique auprès du Présidium de l'Académie de sciences de Russie qui s'en occupe. Selon sa définition,  «la pseudoscience, ce sont des conceptions de toute sorte, des hypothèses scientifiques et ainsi de suite, qui sont contraires aux faits scientifiques déterminés fermement. La pseudoscience, c'est quelque chose qui est notoirement faux». Mais c'est quoi, ces «faits scientifiques fermement déterminés», et que veut dire «notoirement faux»? C'est cela que cette commission définit, introduisant une stricte censure. Mais d'où reçoit-elle des instructions sur ce qui devrait être interdit? Peut-être, c'est pour cela  l'académicien Guinzbourg a reçu le Nobel? Les efforts intensifs visant à la destruction de l'éducation et de la science en Russie servent le même but.

 

Nikola Tesla n'acceptait pas la théorie de Einstein, mais il ne la critiquait pas. Dans ses nombreuses inventions et découvertes, il l'ignorait tout simplement, il n'en avait pas besoin. La transformation de Fourier - oui! Il ne cessait de l'utiliser. Et il considérait la constante de Planck comme un autre aspect de la loi fondamentale de la nature, parce qu'il croyait que tout vibre dans l'univers.


Quand Einstein et d'autres essayaient de combiner la gravité et l'électrodynamique, les deux théories étaient des approximations classiques. En d'autres termes, elles étaient invalides.  Richard Feynman.

 

L'idée de la vibration universelle coïncidait avec la conception de vibration et de résonance de John Worrell Keely, qui couvrait toutes les interactions connues de la matière, y compris la gravité. Selon la conception, tout est interconnecté dans la nature, tout oscille et émet «la puissance de transmission», et le changement de la configuration de tout objet matériel agit sur l'ensemble de l'univers par un effet ondulatoire de résonance, la seule question étant l'ampleur de cet impact.

 

Selon Tesla, «plus la substance est dense, plus élevée est  la vitesse de propagation des ondes dans la substance»,  et la densité de l'éther est incomparablement supérieure à la densité de l'air. L'éther, étant neutre électriquement et superfluide, est faiblement lié à la matière, le monde matériel est incorporel pour lui, bien que nous le percevions comme la gravité. Toute la matière de l'Univers est sortie de l'éther lorsqu'il devenait moins dense quelque part. Serrant la matière de tous les côtés, l'éther essaye de la retourner à son état d'origine, mais sa charge électrique interne le résiste. Mais au fil du temps, la matière perdra la charge électrique, sera comprimée par l'éther et retournera en éther.

 

L'idée que l'Univers est sorti de l'éther, est liée d'une certaine manière à la théologie (celle du christianisme et des autres religions monothéistes) et aux vues des anciens philosophes. Le lien entre les concepts de Dieu et de la noosphère se manifeste dans le fait que d'après ces concepts, Dieu a créé le monde du rien absolu ( «nihil»), Dieu est omniprésent et maintient tout en existence. Avant la création, il n'y avait rien en dehors de Dieu, comme le temps et l'espace sont déjà des  formes d'existence du monde. Mais ce néant absolu, dans le raisonnement logique, ne peut pas être pénétré par Dieu, sinon il cesse d'être le néant. Cependant, tout tombe en place si ce néant-nihil absolu est l'éther mondial, jusqu'au moment où quelque chose de tangible surgit dans son infini, marquant par cela même le début du temps et de l'espace.

 

Le modèle du monde d'après Tesla suggère que les oscillations harmoniques de résonance provoquent la baisse de pression du champ d'éther, ce qui fait l'apparition de la matière, depuis des particules élémentaires jusqu'aux galaxies. Ce modèle abat les représentations relativistes de l'Univers de Einstein, plus primitives même par rapport à la théologie. 

 

Les concepts de l'Univers de Tesla et de Einstein sont diamétralement opposés. Selon Einstein, le monde est un vide universel, où dans certains endroits, flottent des amas de matière et voire les trous noirs, inintelligibles mais effrayants,  qui dévorent goulûment la matière, la réduisant impitoyablement au néant. Selon la théorie de l'éther mondiale, l'Univers est un espace sans fin et sans limite, rempli de cette substance superdense et superfluide.


Avec la théorie d'Einstein, Landau a pu écrire un ensemble de formules qui sont compréhensibles seulement pour certains. Avec la théorie de l'éther cosmique, Tesla a fait ses inventions et découvertes. Mais beaucoup de ces inventions restent inaccessibles jusqu'à présent pour les physiciens qui ont appris les manuels de physique du duo Landau-Lifchitz et qui tentent de passer l'éponge sur ces inventions ou les présenter comme une fiction anti-scientifique. Or, à l'avis de Fyodor Mende, un physicien compétent dans la physique des très basses températures, ces livres contiennent des erreurs fondamentales qui sont reproduites dans les ouvrages scientifiques, empêchant ainsi le développement de pans entiers de la connaissance.

 
Les expériences de Tesla sur l'extraction de l'énergie de l'éther cosmique étaient présentés par les apologiste de Einstein comme une preuve qu'il fût un mystificateur. Il le savait et il a laissé la compréhension  des expériences à l'avenir. Ses capacités à gérer de grandes quantités d'énergie étaient si éminentes que «le phénomène de Toungouska», sur toute la ligne, peut  être expliqué seulement par l'hypothèse que c'était Tesla qui l'avait créé depuis la tour Wardenclyffe. «Les scientifiques sérieux» s'en opposent catégoriquement, en indiquant que l'efficacité de cette expérience fût égale, dans ce cas, pas à 100%, mais à 100 000. Ils ne sont pas en mesure passer au-delà de la deuxième loi de la thermodynamique. Mais qui a dit que Tesla ait transmis une telle puissance de la tour? Il a transmis un signal de commande pour extraire un multiple de l'énergie de l'éther mondial.

 

Tesla avait peur que ses inventions, dans les mains de personnes immorales ou des fous, peuvent devenir dangereux même pour la planète dans son ensemble. Maintenant, pour les expliquer, les scientifiques doivent se tourner vers les théories de l'éther mondial à nouveau. Mendeleïev a également essayé de comprendre ce qu'il est. Il a choisi sa place dans son tableau et l'a appelé l'élément X. Cela devrait être un gaz noble ayant la propriété de surperméabilité et pesant beaucoup moins que l'hélium. Par conséquent, il ne peut pas être compressé comme d'autres gaz, il coulerait à travers n'importe quoi. La masse de l'élément X devrait être d'environ 0,000013 de la masse d'hydrogène, ce qui a coïncidé avec les calculs de Lord Kelvin dont le modèle pour déterminer le poids des particules de l'éther Tesla utilisait. Si l'on additionne les masses de l'électron et du positron, la valeur résultante est proche de l'ordre de grandeur à la masse des particules d'éther, déterminée par Kelvin et Mendeleïev. Autrement dit, l'éther est un milieu continu et indivisible auquel le frottement n'est pas inhérent, mais l'inertie est inhérente.

 

D'où vient l'énergie éthérique? D'après Tesla, à la suite de la polarisation des particules de l'éther par des vibrations de résonance. Si la matière éthérique polarisée sature l'espace occupé d'un fort champ électrique, elle devient une substance spéciale - la matière électrique. «Les scientifiques sérieux» considèrent ceci comme la pseudoscience. Voici l'avis de l'un d'eux, publié dans un livre sur Tesla en 2008: «Affirmer que Tesla ait découvert quelque chose, et les autres scientifiques ne s'en doutent pas, c'est aussi stupide que dire qu'une lourde pierre laissée sans support peut rester suspendue dans l'air».

 

Si on accepte la théorie de l'éther mondial, on aurait à renoncer aux nombreuses conclusions de la théorie de Einstein, y compris «l'Univers d'un oeuf», «l’Explosion initiale», et voire «l’Univers oscillant». Le vide quantique disparaitrait quelque part, ainsi que les différents quarks avec leurs excentricités et coloris. Et ces terribles trous noir. Cependant, les trous noirs, peut-être, resteront, mais rien de mal avec eux du point de vue de la physique, parce que le terme va désigner les domaines de l'Univers où la matière  retourne à son état initial, l'éther mondial. La physique théorique cesserait d'être présenté par la photo de Lev Landau près du tableau noir couvert de formules compréhensibles seulement aux génies de la nationalité démocratique. Or, les descriptions mathématiques dans la physique seront claires à tous, car le vrai est simple, élégant et beau, comme tout dans la nature, comme le système des équations de Maxwell.

 

Le conflit entre les partisans de la théorie de Einstein et la théorie de l'éther mondial va bien au-delà du milieu universitaire. La théorie de Einstein empêche le développement de la pensée scientifique basée sur la théorie de l'éther universel, comme la démocratie et le capitalisme empêchent le développement de l'innovation à faible coût en général.

 

Le sang noir de la Terre va la perdre. Les ignorants et les usuriers brûleront les forêts et  enfumeront le ciel. Ils couperont le soleil de toutes les choses vivantes. Tout périra, mais les condamnés continueront à danser et à se livrer aux festins jusqu'à l'agonie.  Michel de Nostredame.

 

Le capitalisme ferait l'impossible pour éviter le développement de l'innovation à faible coût. La technique pour obtenir l'énergie presque gratuite de l'espace d'éther universel est, bien sûr, l'innovation la plus grandiose, basée sur les réalisations scientifiques et techniques et les découvertes de Nikola Tesla. Les barons du pétrole et du gaz ne peuvent pas se permettre d'avoir effondré la totalité de leurs bénéfices. Et les fonctionnaires fidèles ne peuvent pas se permettre d'avoir perdu leurs pots de vin pas moins impressionnants.

 

Pour cette raison, le capitalisme judaïque ne peut pas refuser de l'extermination barbare de l'hydrocarbure et d'autres ressources minérales de la planète, mais en même temps, il a peur qu'ils qu'elles deviennent insuffisantes. Pour en sortir, ils veulent réduire l'humanité à la limite du «milliard doré», mais en fait - à quelques milliers de «l'élite», et peut-être quelques centaines de milliers d'esclaves chipisés. Ils croient que le niveau actuel de la technologie de la civilisation terrestre leur permet de rester assis confortablement sur les cuvettes d'or, jouissant des œuvres de Tchaïkovski et Beethoven, Raphaël et Rembrandt, déjà disponibles en abondance pour eux. Cela est déjà bien visible dans les affaires réelles du gouvernement mondial.

 

Or, l'utilisation de la technologie Tesla permettrait de procurer une quantité illimitée d'énergie pour une population beaucoup plus grande qu'elle ne l'est maintenant. Quel ennui pour eux.

 

«Les scientifiques sérieux» nient l'l’héritage scientifique de Nikola Tesla, parce qu'ils ne le comprennent pas. Puisqu'il était un adversaire du développement de la physique et l'énergie thermonucléaire et de l'utilisation de l'espace pour les expériences physiques et la technologie. Il pensait que l'espace mondial d'éther est unique et infini, c'est pourquoi toute action, même très faible, non-naturelle et incontrôlée (comme un papillon de Isaac Asimov) peut provoquer, de manière résonante, une catastrophe universelle avec un résultat inconnu. Donc, si on suit les croyances de Tesla, avec des tests d'armes thermonucléaires, nous avons simplement eu de la chance.

 

Tesla croyait également, que la mécanique quantique ne répond pas à la question de la structure des unités primaires de la matière, elle n'a donc pas d'avenir, et il n'acceptait pas la théorie de Einstein parce qu'elle ne résout pas le problème l'essence du temps, même refuse de le reconnaître.

 

L'exploration des techniques de Tesla impliquerait la possibilité d'accès à l'océan sans fond de l'énergie propre et pas chère, qui crée une toute nouvelle civilisation omnipotente. Alors, peut-être, les apologistes de Einstein ne veulent tout simplement pas que les choses deviennent simples et claires, si l'électromagnétisme, la gravité et les différents types d'interactions nucléaires soient interconnectés de façon facile à comprendre, et ce public «particulièrement intelligent» perde sa place dans les amphis. On n'aura pas besoin des usuriers, des banquiers et des hommes d'affaires de nationalité démocratique «achète et vends». Ils ne veulent pas que les technologies de pointe qui éliminent la production coûteuse les privaient de leurs profits excédentaires, et les fonctionnaires qui les protègent, de gros «pots de vin». Voilà pourquoi ils défendent avec une rage infinie ce monde fou de démons. Sinon ils ne pourraient pas bourrer la crâne à  «l'électorat» et le corrompre à l'élection. Il n'y aurait pas de place pour le capitalisme où on utilise l'homme comme une pile et puis jette. Ils  ne laisseront pas les technologies coûteuses sans combat, ils ne permettront pas de rendre la vie plus facile et plus libre.

 

Le capitalisme, avec la foule, conserve les découvertes de Tesla au fond du bahut, ou développe, en grand secret, des choses qui peuvent aider à éliminer des millions et des milliards de gens «superflus».

 

«Mais laissons de côté maintenant, qui est plus à blâmer. Le fait est que nous avons à sauver notre terre; que notre terre est déjà en train de mourir pas de l'invasion de vingt langues étrangères, mais de nous-mêmes; et que déjà en dehors de l'administration légale, une autre administration s'est formée, beaucoup plus forte. Les conditions définies se sont établies, tout est évalué et même les prix sont portés à la connaissance générale. Et aucun dirigeant, même s'il était le plus sage des tous les législateurs et dirigeants, n'est en mesure de corriger le mal, s'efforçant de limiter les mauvaises actions des fonctionnaires à l'aide des autres fonctionnaires-surveillants. Tout sera en vain, tant que ne sente chacun de nous qu'il doit révolter contre le mépris de la vérité, de même que dans l'ère du soulèvement des peuples il s'armait contre les ennemis. Comme un Russe, comme votre consanguin, lié avec vous par le sang commun, je m'adresse à vous maintenant. Je fais appel à ceux de vous qui comprennent qu'est-ce la noblesse de la pensée. Je vous invite à se souvenir du devoir auquel l'homme fait face en tout lieu. Je vous invite à considérer de près votre devoir et l'obligation de votre fonction terrestre, parce que ceci apparaît déjà obscur à nous tous, à peine...»  N. V. Gogol. «Les âmes mortes», tome 2. Là, le manuscrit s'est interrompu...

 

V. P. Vorobyev, chercheur de l'institut Kourtchatov

 

Source dusha1.ru, 2009.  L’article est traduit en abrégé.

 

Traduit par Olga (TdR)