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25/02/2017

 

Un voyage à la lune

 

Il y a quarante-quatre ans, le 21 juillet 1969, la nouvelle bouleversante a survolé le monde entier: pour la première fois dans l'histoire, l'homme a mis le pied sur la surface lunaire. Cet homme fut l'astronaute américain Neil Armstrong, 20 minutes plus tard, il a été rejoint par l'astronaute Edwin Aldrin. En Union Soviétique, en toute honnêteté, cet événement a mis beaucoup non tant en enchantement que dans la confusion et surprise. Accoutumés à la pensée fière que le programme spatial soviétique était en avant de toute la planète, par souci d'objectivité, rendant hommage à la réalisation américaine, les travailleurs soviétiques ordinaires, loin des problèmes de l'espace, occupés aux soucis terrestres, toujours dans le coin de leur subconscient se posaient la question - comment pourrait-il se produire?

 

Mais ils n'étaient pas seuls à se poser cette question. Elle agitait les esprits de ceux qui suivaient le développement spatial de l'URSS et des États-Unis de près. L'absence d'une réponse claire éveillait des soupçons de la réalité du vol des Américains à la Lune. Personne au monde n'a pas eu de tels soupçons par rapport aux réalisations soviétiques dans l'espace (le vol du premier spoutnik, le vol de Gagarine, le vol des stations sans pilote à la lune, la sortie de Leonov dans l'espace), mais la réalité du vol des Américains à la Lune éveillait des soupçons. Et ces soupçons sont apparus déjà ce jour lointain, le 21 juillet 1969, le jour de la démonstration au monde entier du débarquement des astronautes américains sur la Lune.

 

C’était lié non seulement au fait que dans les cadres du direct, le drapeau américain ondoyait comme du flux d'air, qui ne peut pas exister sur la Lune sans atmosphère, non seulement du fait que les ombres de l’astronaute et du module lunaire divergeaient comme de la source ponctuelle artificielle de la lumière. Le doute se glissait en raison du fait qu’au moment du vol, les Américains n'avaient pas de base scientifique et technique suffisante et d'expérience pratique pour un tel vol.  Imaginez qu'un homme qui n'a jamais engagé dans le sport, est venu au championnat du monde, par exemple, en athlétisme, et a remporté le titre de champion du monde sur la course. Toute personne, même éloignée du sport, dira sans aucun doute que cela ne peut pas être atteint sans de longs entraînements. Et il se fait que les Américains l’ont réussi.

 

L'histoire des vols  des Américains vers la Lune contient tant d'absurdité, tant d'incohérences apparentes, qu'il est impossible à une personne pensante, qui ne se prosterne pas devant l'Amérique, de ne pas raisonner au sujet de la falsification de ces vols. Chaque année, de nouveaux faits confirmant la falsification se découvrent. La liste la plus complète est donnée dans les livres de Y. I. Moukhine «L'escroquerie lunaire des États-Unis» (2006) et «L'escroquerie lunaire: les Américains, ils ont été où?» (2009). Quatre ans se sont écoulés et il est temps de penser à Yuri Ignatyevitch à compléter la liste.

 

Chaque étape de l'exploration de l'espace par l'Union Soviétique était une suite logique des réalisations précédentes. Premier survol de la Lune et premières images de sa face arrière, premier satellite lunaire à l’orbite circumlunaire (selenocentrique), premier survol sans pilote de la Lune avec le retour de l'appareil à la Terre,  première prise de sol en douceur sur la Lune et premières images du paysage lunaire, premier lunakhod piloté depuis la Terre. On voit la séquence stricte et régulière dans l'étude de la Lune. Chaque étape subséquente provenait de l'expérience de la précédente.

 

Au moment de la démonstration du débarquement des astronautes américains sur la Lune, les stations automatiques interplanétaires (SAI) soviétiques «Luna» y œuvraient à plein régime, depuis 1959. Autour de la Lune tournait quatre satellites artificiels (Luna-10, 11, 12 et 14). Les stations Luna-4 - Luna-8, lancées en 1963-1965, mettaient au point les systèmes de la prise de sol en douceur, de l'astro-orientation et du contrôle des dispositifs de correction de la trajectoire de vol. À la suite de l'opération de ces deux stations, ont été effectuées deux prises de sol en douceur sur la surface de la Lune (Luna-9 et Luna-13). Rien d'approchant n'a été atteint vers ce moment par la technique spatiale américaine. 

 

La tâche des engins spatiaux américains «Ranger», créés spécialement pour l'étude de la Lune, consistait justement en prise de vue télévisée de sa surface. Il ne s'agissait guere de la mise au point de systèmes pour assurer une prise de sol en douceur sur la Lune, que faisaient dans la même période les SAI soviétiques Luna.

 

En 1966, les Américains ont commencé à étudier la Lune dans le cadre du programme «Apollon». Curieusement, mais dans ce programme non plus, d'après NASA, l'essai du système de prise de sol en douceur sur la Lune, vital pour les astronautes, n'était pas prévu. Le vol de Apollo 1 en février 1966 suivait simplement une trajectoire balistique. Ensuite, il y eut encore quelques vols circumterrestres de Apollo afin de tester l'appareil. Apollo 8 en mode habité a été mis en orbite de satellite de la Lune. Après avoir fait 10 tours autour de lui, il est retourné à la Terre. Apollo 9 a été lancé en orbite terrestre et a réalisé sur elle un vol de neuf jours. Apollo 10, habité par trois astronautes, fut lancé en orbite de satellite de la Lune, où deux astronautes se sont déplacés dans le module lunaire et se sont séparés de l'unité principale. Le vol du module lunaire a duré 8 heures, puis, après avoir séparé l'étage de descente, il s'est arrimé à l'unité principale. Après le vol de huit jours, Apollo 10 est revenu sur Terre. C'était le seul vol où le module lunaire a été essayé. En cela, selon les Américains eux-mêmes, seulement ses capacités d'arrimage et de désarrimage avec l'unité principale ont été testées. Les possibilités de la prise de sol en douceur et du décollage de la surface lunaire, les plus importantes pour la vie des astronautes, n'ont pas été testées.

 

L'envoi des astronautes à la Lune avec ce niveau de préparation technique, c'est comme pendant la guerre, envoyer les troupes au combat sans investigations préliminaires, condamnant ces troupes à périr. L'impossibilité apparente d'une telle aventure inouïe a donné lieu à des soupçons de la fraude du vol à la Lune par les Américains. Les motifs pour ce soupçon étaient plus que suffisants.

 

Si l'on prend le côté de la réalité du débarquement des astronautes américains sur la surface lunaire, on devrait reconnaître la création du module lunaire un phénomène unique - dans l'histoire du développement non seulement de la technologie spatiale, mais de la technologie en général. Le développement de la technologie se déroule sur la base du progrès, de sorte que chaque mécanisme créé par l'intelligence humaine, a ses prédécesseurs. Mais le module lunaire américain n'avait pas de prédécesseurs dont la pratique de l'utilisation pourrait permettre le créer aux concepteurs de la NASA. L'étude de construction de tout mécanisme, même le plus simple, est impossible sans connaître les conditions auxquelles ce mécanisme fonctionnerait dans son ensemble, et chaque partie séparément. En fonction des vols des engins spatiaux américains qui précédaient le vol de Apollo 11, les concepteurs de la NASA ne pourraient pas disposer de données d'entrée suffisantes pour le calcul de la conception du module lunaire. Il se trouve que le module lunaire a été conçu uniquement par intuition et génie des concepteurs de la NASA. Mais un module lunaire n'est pas une brouette de jardin, c'est un complexe multifonctionnel sophistiqué.

 

Aucun ingénieur d'études, même le plus brillant, n'accepterait pas de mettre en oeuvre un mécanisme conçu par lui sans des tests approfondis. Surtout s'il s'agit de la vie humaine. Et sur la base des vols des Américains à la Lune, il apparaît que les créateurs du module lunaire étaient si sûrs de ses performances qu'ils n'ont pas jugé nécessaire de procéder à un test exhaustif.

 

Le 17 novembre 1970 la station soviétique Luna-17 a transporté à la surface de la Lune le  laboratoire scientifique mobile Lunokhod-1, qui a permis d'étudier la surface lunaire non seulement à l'emplacement de la prise de sol de l'appareil de descente, mais sur le terrain beaucoup plus élargi. Lunokhod-1 est devenu une étape qualitativement nouvelle dans l'étude de la Lune. L'approche fondamentale à l'étude de la Lune dans le programme lunaire soviétique consistait à utiliser les machines. Nonobstant le niveau de la technologie spatiale bien plus élevé que celui des États-Unis, les dirigeants soviétiques des programmes spatiaux le jugeaient, probablement, pas suffisant tout de même pour le vol de l'homme à la Lune. Par conséquent, la création d'un laboratoire scientifique automatique mobile était une étape nécessaire et logiquement pondérée pour une étude plus approfondie de la voisine céleste.

 

Les Américains ont répondu au nouveau succès technique de la technologie spatiale soviétique  dans le style cow-boy -  ils ont équipé avec du chic leurs astronautes, pour les vols de Apollo 15, 16 et 17, des lunakhods «Rover». La question se pose, comment il était possible d'expédier un Rover à la surface de la Lune? Dans l'article «To be or not to be» (le journal Svoïmi imenami, N14, 2013) son auteur B. Grinyov donne des preuves convaincantes de l'impossibilité technique d'une telle transportation. Les Yankees entreprenants ont introduit le Rover dans le scénario des vols lunaires d'autant hardiment, précipitamment et de façon dilettante, qu'ils avaient présenté avant le reportage télévisé sur le voyage  de Neil Armstrong sur la Lune. Mais ils n'ont pas tout prévu en filmant le Rover avancer sur la surface de la Lune. Ils étaient probablement trop pressés de surprendre le monde.

 

Chacun pouvait regarder une moto se déplacer sur un sol meuble. La roue motrice arrière de la moto, se repoussant en mouvement du sol, soulève une partie de celui-ci au-dessus de la surface, en donnant aux particules soulevées l'énergie cinétique du mouvement dont la valeur dépend du poids de la moto et sa vitesse. C'est-à-dire, elle sera le même sur la Terre et sur la Lune. Sur la Terre, l'énergie cinétique des particules de sol soulevées (en termes de création du vide) est dépensée pour surpasser la force d'attraction terrestre, et sur la Lune - la force d'attraction lunaire, dont la valeur est six fois moins que sur la Terre. Il en résulte que la hauteur de la traîne des particules du sol soulevées par les roues du Rover de la surface lunaire devrait être six fois supérieure à celle sur la Terre. Sur les vues présentées par les Yankees entreprenants nous voyons la traîne de la hauteur habituelle à nous terriens. Les astronautes américains, dans la chaleur de la séance de pose devant les caméras, font sur Rover des virages serrés capables de monter les particules libres de sol lunaire par au moins à la hauteur d'une maison de trois étages. Mais ce n'est pas le cas sur les images. Il est impossible de créer la force d'attraction lunaire dans les conditions terrestres.

 

Le mot de Gagarine a survolé le monde, étant devenu célèbre: «C'est parti!» L'exclamation irréfléchie échappée de la poitrine comprend tout un tas de sentiments qui ont pris Gagarine au moment de la séparation de la fusée porteuse de la rampe de lancement. C'est une énorme tension émotionnelle avant la rencontre avec l'espace inconnu, c'est également le sens de base du danger, parce que l'homme n'est pas un automate. Ce sont aussi les sentiments de fierté, de patriotisme, et apparemment bien d'autre, intimes. Tout ce que Gagarine disait plus tard depuis l'espace, était préparé d'avance. Tous ces messages au parti, au peuple, au gouvernement, ont été oubliés. Mais le célèbre «C'est parti!» de Gagarine  restera à jamais dans l'histoire de l'humanité - comme une carte de visite du premier vol habité dans l'espace.

 

Et les vols américains à la Lune, ont-ils une carte de visite pareille? «Oui!» - vont crier à pleins poumons les partisans des vols américains à la Lune. Ils rappelleront avec enthousiasme que Neil Armstrong, après avoir mis le pied sur la surface lunaire, a prononcé la phrase historique: «Un petit pas de l'homme - un grand pas de l'humanité». M'interrogeant sur la grandiloquence de l'expression, je voudrais répondre par la célèbre exclamation du réalisateur soviétique Stanislavsky: «N'en crois pas!» Oui, je ne le crois pas!! Phrase trop pompeuse et pour cela elle n'est pas conforme à l'heure. Le plus probable que c'est un produit domiciliaire exprimé dans les conditions confortables. L'homme qui met le pied sur la surface lunaire doit sentir l'excitation, l'explosion émotionnelle aussi grande qu'il est impossible de lui venir à l'esprit parler pompeusement. Au moins, à l'instant initial. Le comportement de Neil Armstrong est affecté au point d'éveiller des soupçons de son origine lunaire. Ce comportement pourrait inventer seulement les spécialistes de Hollywood, versés dans le travail gâché avec des personnages artificiels, des sentiments artificiels dans des situations artificielles, rien d'approchant de la vie réelle.

 

Durant deux ans et demi, les Américains excitaient le monde par leurs vols à la Lune. Au cours de cette période, ils ont six fois foudroyé les terriens par les alunissages  effectués sans accroc. Les Yankees ruminant le popcorn se pâmaient d'aise. Mais je pense qu'il y avait des gens qui n'étaient pas émerveillés, mais plutôt étonnés de la série de vols américains à la Lune. Tous les six vols américains avaient une caractéristique très étrange. Si dans chacun des vols subséquents des SAI soviétiques à la Lune leurs tâches devenaient plus compliquées, ou de nouvelles tâches étaient fixées, les vols habités américains se ressemblaient comme des jumeaux. Ils arrivaient, piétinaient, posaient devant une caméra de télévision, recueillaient les roches lunaires et partaient. Et ainsi six fois. La question se pose, pourquoi réaliser six vols pratiquement identiques? Le coût d'un seul vol était d'environ un milliard de dollars et demi. À titre de comparaison: dans le cadre du programme lunaire soviétique, qui a coûté environ quatre milliards de roubles soviétiques, 24 vols des SAI à la Lune ont été effectués. Le coût moyen par vol s'établit à 166 millions de roubles, soit presque un ordre de grandeur moins cher.

 

Je me souviens que de ces années, il y avait des rumeurs que les Américains viennent souvent à la Lune, n'y bâtissent-ils pas une station permanente? L'impression était que les Américains perfectionnent les phases de vol vers la Lune, allant presque la résidentialiser. Les gens raisonnaient, faisaient toutes sortes de spéculations sur ce qui se passerait dans l'avenir, mais la réalité s’est avérée inattendue et étourdissante - il n'y eut rien. Après le vol de Apollo 17 en décembre 1972, les voyages lunaires sont arrêtés et n'ont pas repris voici plus de quarante ans. La cessation des vols à la lune a encore plus renforcé le doute qu'ils avaient lieu.

 

Si on se fonde sur la réalité des vols américains à la Lune, alors ils ont créé (du premier coup!) la conception étonnamment réussie du module lunaire, qui leur a permis de mener à bien six fois la prise de sol en douceur sur la surface lunaire, et à son étage de remontée, de démarrer avec succès de la surface lunaire et s'arrimer à l'unité principale de l'engin spatial Apollo. Une expérience riche de tels vols devrait être accumulée, ce qui aurait certainement abouti au développement du matériel et de la technologie des vols à la Lune. Mais aucun développement n'a pas eu lieu! On ne peut expliquer cette bizarrerie que par une seule chose - il n'y eut aucune expérience de vols à la Lune.

 

En 1967 les États-Unis on claironné au monde entier, à toute puissance de leurs médias, la production de la fusée la plus puissante au monde Saturn 5, qui plus tard aurait assuré avec brio (leur version) les vols des vaisseaux spatiaux Apollo vers la Lune. Selon les données américaines, sa puissance était sept fois plus élevée de celle du véhicule de lancement le plus puissant soviétique de l'époque. Pourquoi, après la terminaison du programme Apollo, ce miracle de la technologie n'a pas trouvé son usage pratique ultérieure? Et le plus important, pourquoi après, c'étaient des fusées soviétiques, et non pas américaines, qui sont devenues les plus puissantes?

 

A. I. Popov, docteur en sciences physiques et mathématiques, se posait les mêmes questions. Dans son article «L'engin est tombé en ruine - on commence les vols avec des êtres humains» (le journal Duel, le №52, 2004) il cite des faits surprenants qui jettent un doute sur la réalité de la création par les Américains de la fusée porteuse Saturn 5 possédant la capacité de charge 130 tonnes pour une orbite terrestre basse, avec la transportation à l'orbite lunaire d'un astronef de 45 tonnes de poids.

 

Le programme lunaire américain «Apollon» n'avait ni une base scientifique, technique et pratique obtenue à partir d'études antérieures, ni l'utilisation pratique de ses résultats dans le développement de la technologie spatiale. Peut-être que la fusée miracle Saturn 5 n'ait jamais existé, comme la conception du module lunaire étonnamment réussie, comme des prises de sol en douceur sur la surface lunaire, et l'homme n'a pas encore mis le pied sur elle? Et en réalité, il y avait la construction d'un paysage lunaire unique, d'envergure grandiose, des décors fabuleusement dispendieux, dont la photo montre Y. I. Moukhine dans son livre «L'escroquerie lunaire: les Américains, ils ont été où?». Par ailleurs, les véhicules spatiaux américains Ranger filmaient des paysages lunaires douteusement pour la plupart dans la région de la mer de la Tranquillité dont la surface, selon la couverture de TV NASA le 21 juillet 1969, Neil Armstrong a foulé. On croirait pour la préparation de la scène.

 

Et si les Américains ont été bien sur la Lune? Alors, un non-sens se révèle. Dans la montagne, il arrive de rencontrer sur les falaises abruptes les inscriptions genre «Fyodor a été ici!». Surmonter les difficultés de l'escalade des hauteurs inexpugnables était nécessaire à Fyodor seulement pour se faire valoir dans les yeux des autres, sans aucun intérêt pratique. Il en va de même avec les vols américains à la Lune. Ils y ont volé justement pour jalonner sa présence sur la Lune devant le monde, à l'instar de Fyodor le grimpeur, et puis, en dépit des coûts énormes (25 milliards de dollars), de jeter à la poubelle tous les résultats scientifiques, techniques et  pratiques des opérations. Est-il possible d'y croire? Les Américains savent compter l'argent et ils ne jetteraient pas 25 milliards comme ça. Une question intéressante se pose.

 

À quel effet les Américains ont-ils dépensé une somme aussi énorme? Ils n'ont pas acquis une primauté technique, à en juger d'après le développement de l'astronautique américaine face à l'Union Soviétique. Seulement vingt ans plus tard, par des efforts de Eltsine et puis Poutine, ayant obtenu l'accès à l'ingénierie et la technologie spatiale soviétique, ils ont commencé à liquider leur retard.

 

Alors, quel était le but réel de l'opération américaine «Apollon», à laquelle des sommes énormes ont été jetées? Pour répondre à cette question, il faut se rappeler la situation qui s'est  formée dans le monde dans le domaine de la recherche et la technologie spatiale à l'époque. Le premier satellite artificiel de la Terre - c'est le satellite soviétique. Le premier vol de l'homme dans l'espace - le vol de l'homme soviétique. Le premier survol du côté invisible de la Lune et les photos obtenues - la SAI soviétique. La première sortie dans l'espace - la sortie du cosmonaute soviétique.

 

Le succès vertigineux du programme spatial soviétique a soulevé le prestige de l'Union Soviétique sur la scène internationale, a élargi ses relations économiques internationales. Mais le plus important - de même qu'après la fin de la Seconde guerre mondiale - il a suscité un grand intérêt dans le monde envers l'idéologie communiste. Le monde capitaliste, dirigé par les États-Unis, ne pouvait pas tolérer ceci. L'interdiction du parti communiste était la méthode insuffisante dans de telles circonstances. Des réalisations spatiales étaient nécessaires. Mais il n'y avait  même pas l'odeur de réalisations des États-Unis dans l'espace. C'était un coup douloureux au prestige non seulement des États-Unis, mais à l'ensemble du monde capitaliste, ce qui pourrait, à son tour, conduire aux graves conséquences politiques.

 

Le président John Kennedy a encore plus compliqué la situation des États-Unis, ayant annoncé avec aplomb l'objectif national d'être les premiers sur la Lune. Cet objectif digne de Fyodor le grimpeur, prononcé par le président américain en personne, a créé une situation sans issue dans laquelle le manque était tout simplement inacceptable (la honte encore plus grande devant le monde entier). Mais son accomplissement, avec les moyens techniques qu'ils avaient, était impossible. Par ailleurs, il restait peu de temps. Les SAI soviétiques Luna déjà pratiquaient activement le système de prise de sol en douceur sur la Lune, ce qui créait des conditions réelles pour un vol des cosmonautes soviétiques.

 

Naturellement, les Américains n'avaient rien à faire que commencer à créer un faux colossal d'un séjour astronautes américains sur la Lune. Le projet immense par son organisation et l'équipement technique a servi à un seul but - avec un truquage élémentaire, faire restaurer son prestige politique et cesser la croissance de l'autorité politique mondiale de l'Union Soviétique. Fyodor le grimpeur, pour le prestige, risquait de se rompre les os en escaladant une cime inexpugnable. Les Américains, eux, ont littéralement dessiné la cime.

 

Les programmes soviétiques d'exploration spatiale et les vaisseaux spatiaux avaient les noms «Vostok» [Orient], «Voskhod» [Lever], «Soyouz» [Union], «Saliout» [Salut], «Mir» [Monde/Paix]. Ces noms ont une signification précise, facilement compréhensible. Et quel est le sens du titre du programme lunaire américain? Essayons de comprendre. Selon la mythologie grecque, le dieu Apollon n'avait aucun rapport avec le cosmos. Pourquoi les Américains ont appelé leur programme lunaire de son nom? Que voulaient-ils refléter par ce nom?

 

Est-il juste que l'ancien dieu grec Apollon était mythique, et les alunissages prévus étaient mythiques. Apollon a été vénéré par les anciens Grecs comme un patron des arts. C'est l'art qui fut bien une composante principale dans l'opération lunaire élaborée. Le spectacle a été joué habilement devant le monde stupéfait, le scénario a même inclus la superstition traditionnelle des Américains. Dans cette performance, l'équipage du vaisseau spatial sous le numéro 13 malheureux n'a pas atteint la surface de la Lune en raison d'une défaillance et a été contraint de revenir sur Terre.

 

Aujourd'hui, la fausseté des États-Unis ne fait aucune surprise. Il ont besoin de justifier  l'agression contre la Yougoslavie - et le mensonge du génocide des Albanais par des Serbes  est versé au monde entier, corroboré par de faux documents photographiques. Peu importe que la fraude fut découverte plus tard. L'objectif politique a été atteint. Ils ont conspiré pour saisir le pétrole irakien et éliminer le président irakien Saddam Hussein qui cherchait à échapper au contrôle américain, désireux de poursuivre sa propre politique nationale indépendante - et ils éjectent de fausses déclarations sur le développement secret des armes de destruction massive en Irak. Peu importe que, après l'occupation de l'Irak, la fausseté des revendications américaines est devenue évidente à tout le monde. L'objectif politique a été atteint. Les États-Unis ont non seulement adopté les méthodes de Goebbels, mais les ont développées pour mettre à l'usage comme une arme politique majeure.

 

Mais à cette époque lointaine, les gens loin de la politique ne pouvaient même pas supposer que l'utilisation des méthodes de mensonge et  de falsification pour atteindre leurs objectifs était une norme pour les États-Unis. Par conséquent, tout en voyant des signes clairs de vol lunaire fictif, même des experts versés dans la recherche spatiale ne pouvaient tout simplement pas y croire. Le canular était inconcevablement grand. Mais tant prend le larron qu'on le pend. Tôt ou tard, la tromperie sera révélée. C'est ce qui arrive avec la falsification des vols américains à la Lune. On peut les appeler une opération purement américaine, faite par leurs méthodes traditionnelles de mensonges et de falsification.

 

Evgueny Ivanko, candidat en sciences techniques

 

Source vserusskie.ru/blog   (Le journal Svoïmi imenami, qui est la source originale, s'est avéré fermé, les copies de l'article sont restées dans les blogs.)

Traduit par Olga (TdR)