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L’idée universelle

Posté le 10/01/2025

 

L’État du Vatican, quand est-il apparu ? Il est apparu en 1929 à la suite des accords de Latran et du concordat, signés par le représentant du pape avec le chef du gouvernement fasciste Mussolini. Les fascistes ont repris comme emblème les fasces, les faisceaux de tiges avec des hachettes coincées dedans, l’attribut du pouvoir royal et ensuite du consulat dans la Rome antique, porté par les licteurs. Fasci di combattimento, les bandes de combat, c’était le nom de l’organisation fondée à Milan en 1919. Mussolini dit, « Le parti fasciste, c'est une armée, ou un ordre », et déclara : « La seule idée universelle qui existe actuellement à Rome, c’est l’idée qui vient du Vatican ».

Le nouvel État a immédiatement déclaré que « Mussolini était un homme envoyé par la providence ». Alors, la providence a pris la forme de Banco di Roma, qui a subvenu, avec d’autres banques, aux frais de la mise en scène de « l'assaut contre Rome », l’arrivée de Mussolini au pouvoir. Les possesseurs de l’institution connue comme Saint-Siège qui acquit d’immenses richesses au cours des siècles, des banques et des géants industriels étroitement apparentés, ce sont eux qui s’étaient exprimés dans Mussolini et Hitler. Ils n’hésitent pas à détruire des dizaines de millions parce qu’ils regardent les gens comme des insectes privés d’organe de la vue qui croient tout nom, titre et slogan. Et ils emploient souvent le mot catholique (καθολικός, universel) comme autonome : un bon catholique (un bon soldat de l’armée ou membre du groupement), Action catholique (nom de l’organisation qui peut varier, par exemple, Action française qui agissait entre les deux guerres mondiales). Leur terme « corporation », pris comme un centre opposé aux masses, est similaire.

Les États pontificaux sont apparus en 756, c’était le don de Pépin le Bref au pape en échange de son soutien. Cet État papal a existé plus de onze siècles et a activement participé aux guerres intestines et aux affaires de l’Europe. En 1870, l’Italie unie fut formée. Le Vatican n’a pas alors voulu un accord avec le roi italien, pour faire un accord en 1929. L’État-major sait ses moments. Et un temps pour exécuter sa victime célèbre, et un temps pour la canoniser.

Le soi-disant « Saint-Siège » est l’état-major de la force adversaire, dont l’arme principale est le mensonge. Son emblème même qu’il expose partout, le crucifix, devrait indiquer son hypocrisie. Cette force est contraire à Dieu et à Sa création. Elle agit comme une multitude de groupes et groupements qui émergent apparemment tous seuls, tandis que c’est son réseau universel qui les organise.

Cela est symboliquement montré dans l’un des films où un dirigeant portait une veste parsemée d’insignes. La veste représente la Corporation dirigée par les possesseurs héréditaires du « Saint-Siège », avec la classe rapprochée, les riches familles, les gouvernements, l’industrie d’information. Et en dessous, les masses populaires qui deviennent de plus en plus asservies.

Pourtant, chacun fait son choix, quelle que soit sa position. Par exemple, E. Primakov, qui était alors premier ministre, a fait son avion faire demi-tour dans l’air, et un bas subterfuge des universels (qui voulaient de la légitimité) a échoué.

Bien que les interactions entre les insignes paraissent souvent chaotiques, le monde est mené vers l’étape finale et vers l’homme qui se proclamera dieu. Déjà au XIV siècle les signors ont éprouvé et ont maîtrisé la manipulation des masses populaires en menant l'insurrection des ciompi. Les grosses banques (de banco, table du changeur), les billets de banque, les crédits bancaires, divers types d'assurance – tout cela apparut et a été éprouvé en Italie au XIV siècle, ce fut un modèle du monde moderne. Les banques comme celle de Médicis prêtaient aux rois et aux ducs européens. Les Médicis étaient pendant longtemps souverains de Florence, sans prendre un titre officiel et en gardant les institutions républicaines.

Le mimétisme est le principal moyen d’agir des universels, être le sien dans n’importe quel groupe ou communauté, être tout partout. Ils sont donc omniprésents. Lors de la recherche pour le mot pontife, apparaît une page « Établissons les ponts » du site de la bibliothèque pour enfants de la ville Ivanovo (à nord-est de Moscou) qui montre les photos des ponts de Paris, de Venise, de Petersbourg, et dit, entre autres choses, que le grand prêtre, pontifex maximus, c’est le constructeur général des ponts et que c’est aujourd’hui le titre du pape.

Le mot pontifex vient apparemment de pons, pont, et faex, ordures, déchets. Il est lié au rite Sacra Argeorum des temps anciens, quand Rome n’était pas encore une ville. On faisait à la mi-mars le tour de 27 petits terrains sacrés et les désherbait. À la mi-mai, les vestales faisaient la récolte et le battage du blé sacré. On préparait à partir du grain la farine sacrificielle avec du sel. On liait la paille restante en bottes qui ressemblaient aux figures humaines, et ensuite, les pontifes les jetaient du pont Sublicius (pont sur des pilotis) dans le Tibre. C’était une cérémonie de purification. Le pont reliait la commune romaine, située sur la rive gauche, à la rive droite, où commençait un monde étranger, hostile.

La résidence du pape et le mini État s’appellent d’après la colline Vatican. C’était une place sacrée où se trouvait un oracle, vaticinium, et il n’y avait pas de bâtiments. Peu de temps après Christ, les escrocs ont « trouvé la tombe présumée de saint Pierre » sur la colline et ont commencé à ériger les bâtiments. Et les gens ont cru le nouvel oracle, plus prestigieux.

Les clefs inexistantes figurent sur les armoiries du Vatican et du « Saint-Siège », parce que le verset « et Je te donnerai les clefs du Royaume des cieux » semble être ajouté à l’Évangile de Matthieu, ces mots ne paraissent pas authentiques.

Deux traits caractéristiques sont prononcés : la haine du Vatican (et de la clique) envers ceux qui croient en Dieu et la haine envers ceux qui veulent vraiment la justice à l’égard des opprimés et des exploités. Ces types de gens se trouvent souvent parmi les chrétiens, notamment orthodoxes, et dans les organisations des travailleurs, malgré le fait que tous les groupes sont sous le contrôle des universels. Ces gens font la partie otage.

Les faits cités à la fin du livre de P. Alatri « Les origines du fascisme » exposent le Vatican comme l’instigateur de la 1ère guerre mondiale qui commença avec l’agression contre la Serbie orthodoxe. Les documents diplomatiques témoignent que le Vatican approuva sans réserve « l’action sévère de l’Autriche contre la Serbie », en l’appelant bonum certamen (bon combat), et qu’il regrettait maintes fois « que l’Autriche-Hongrie n’a pas encore mis la main sur son voisin dangereux sur le Danube », et qu’il était impossible de « laisser tomber cette forte redoute de la lutte contre l’orthodoxie ».

Quant aux déclarations officielles, elles ne montrent pas l’action de l’État-major, seuls les dévots du pape peuvent étudier ces vains discours jésuitiques. Les circulaires de l’État-major entre les deux guerres mondiales se résument à la formule connue « La paix, c’est la guerre ». Mais leur presse formait l’opinion publique et le sentiment.

L’agression acharnée contre Abyssinie (Éthiopie) eut lieu en 1935. Ce pays est devenu chrétien très tôt, peut-être grâce à la conversion du trésorier de la reine Candace (Actes, 8). Auparavant, l’Abyssinie a subi les guerres italiennes à la fin du XIXe siècle. L’agression était préparée depuis 1933 comme une grande guerre, l’économie italienne fut militarisée, la population appelée sous les armes. La plupart des nouvelles grandes entreprises ont été plantées, financées et contrôlées par quelques grosses banques. La campagne contre ce pays commença sans déclaration de guerre selon l’usage fasciste, et ce fut une extermination sanguinaire du peuple désarmé par un prédateur armé jusqu’aux dents, avec le pillage et l’extermination de la population civile, les violences contre les femmes et la destruction des villages.

Et la « guerre civile en Espagne des années 1936 à 1939 » est une agression typique de la Corporation contre le peuple. Le coup d'état fasciste a été organisé par les universels sous le couvert des différents insignes. Le catholicisme a fait partie du régime fasciste. Les princes de l’Église ont concentré en leurs mains des richesses colossales. Et de nombreux prêtres locaux, les otages, furent les victimes des universels. De nombreux catholiques ordinaires et les communistes se battaient côte à côte contre les agresseurs internationaux.

L’État-major bénissait les atrocités et les massacres et appelait les meurtriers fascistes « héros chrétiens ». En mars 1940, le pape accueillit les marins fascistes espagnols et les louait comme combattants héroïques pour la foi. En janvier 1941, il a donné l’ordre de recenser les fascistes tués dans la guerre en Espagne en vue de les canoniser. Et en février 1941, le pape accueillit au Vatican cent soldats et vingt officiers de l’armée allemande et exprima sa joie de les voir en visite. Le livre de M. M. Cheïnman « Le Vatican entre les deux guerres mondiales », trouvable en russe sur internet, contient un récit assez complet des événements en Espagne.

Les livres historiques documentaires comportent généralement de nombreux commentaires idéologiques propres à l’époque. S’il était possible à l’époque de voir la veste plutôt que les insignes, l’auteur du livre « Le fascisme italien et sa chute » S. M. Slobodskoï aurait peut-être choisi un autre titre, par exemple, « Le fascisme italien comme une étape ».

En 1941, les universels dirigés par l’État-major ont formé l’État fantoche Croatie. Ce fut un État des supplices et du génocide des Serbes, des Juifs et des Tziganes. Le monastère franciscain du village Chiroki Breg a formé les leaders de ce grand camp de la mort, les fascistes croates appelés ustachis. Cela rappelle l’Espagne, où certains monastères étaient des centres militaires de la Corporation. Les universels-prêtres catholiques ont organisé la tuerie avec les violences et les tortures les plus atroces qu’ils exécutaient aussi eux-mêmes. Quelques articles en russe sur internet donnent les détails à ce sujet : « Les ustachis, le crime sans punition », « Le père Satan et son enfer sur la terre, l’horreur du génocide sanguinaire des Serbes », « Les franciscains étaient organisateurs des ustachis ». Le pape a béni ses officiers, les dirigeants du bain de sang élevé au rang d’un État.

Le premier accord conclu par Hitler fut le concordat avec le Vatican. L’État-major a ainsi légalisé sa main armée. Depuis le milieu des années 1920, selon le livre des correspondants américains R. et E. Packard, existait un séminaire à Rome où on enseignait aux prêtres le russe, l’ukrainien et surtout « comment lutter avec les idées hérétiques que le peuple russe s’est assimilé au cours des vingt-cinq dernières années ». L’armée hitlérienne amenait les prêtres qui agissaient ensuite sur les territoires occupés.

Les partis et les acteurs catholiques ont organisé l’arrivée au pouvoir de Hitler, et les partis catholiques sous différents noms ou les acteurs catholiques ont amené au pouvoir les gouvernements pro-fascistes dans d’autres pays.

La 1ère guerre mondiale a préparé la 2ème guerre mondiale, et les deux guerres mondiales ont permis de commencer à retailler et uniformiser le monde : partout le même type de gouvernance et de tout, et le même type d’hommes.

En Chine et au Japon, l’État-major agissait selon sa pratique établie en mission. Le « catholicisme » était mélangé aux coutumes et aux rites locaux, et voici de nouveaux universels.

La Russie, elle, a reçu le « matérialisme » et le « communisme ». Ces termes étaient toujours utilisés par la Corporation pour effrayer et fomenter la guerre. Et quand le slogan « tout le pouvoir aux soviets ! » s’est répandu en Russie ? Après un jour au début de 1905, connu comme « le dimanche sanglant ». La procession des ouvriers, dirigée par un prêtre, a marché vers le père tsar pour lui demander de meilleures conditions de travail. Et les ouvriers ont été abattus par les troupes du tsar. Sans aucun doute, le prêtre appartenait au réseau universel. En plus, son groupe était légal et secrètement lié à la police, de nombreuses personnes savaient à l'avance de la provocation.

Et après quelques générations qui ont reçu l’éducation universelle mensongère, l’Union Soviétique a été corrompue et a disparu. Il est possible de produire ce genre de miracles quand on est toujours invisible, caché derrière les insignes.

Le Vatican, les grosses banques et les grosses entreprises appartiennent aux mêmes personnes. Quelques « gros » nous ont donné l’éducation qu’ils ont jugée appropriée pour les esclaves, l’éducation du mensonge, et les livres et les médias du mensonge. Et ils nous ont imposé le jeu des insignes, politiques et d’autres.

Les imposteurs ont remplacé Dieu et cela leur a permis d’annuler le nom de Dieu. Ainsi l’Église universelle a acquis ou a acheté le monde pour l’illusion (de illudo, se moquer de, tromper), ou pour les masques.


Amicalement

Olga de TdR