Partie I. Les nouvelles
Les nouvelles coulent à flots. Simultanément, en RF et aux États-Unis, sont introduites les lois sur l’identification biométrique. [1] Le début de l’enseignement électronique à l’école, le refus d’accepter l’argent liquide dans certaines succursales de Sberbank, la réduction du nombre des universités... désormais, un juge peut porter un jugement sans motiver sa décision... [2] Le projet de loi pour assimiler la cohabitation au mariage. Le projet pour attribuer au robot la personnalité juridique... le ministère de l’intelligence artificielle et le ministère de solitude annoncés... les nouvelles les plus fantastiques.
Réalité virtuelle. L’illustration à la nouvelle sur le site d'information
Le parlement de RF propose un ministère de la réalité virtuelle... [3]
La « ministre de santé » a l’intention de former une banque des échantillons biologiques des habitants de la Russie. [4] La ministre déclara que la médecine de RF devrait compenser et surmonter le retard.
Rappel :
Quelle était cette « réforme économique radicale », le pays et son peuple vont savoir au bout de 20 ans, quand au cours des soi-disant « perestroïka » et « réformes », sera légalisé le démantèlement des systèmes économique et politique du pays, et en même temps, le génocide du peuple. Alors et plus tard, on faisait une fausse déclaration sur « un retard » du pays, qui sera rebaptisé ensuite en « stagnation ». V. Drojjine
Ce qui est appelé « l’économie numérique » et « l’internet des objets », signifie le transfert de la conscience publique dans le monde virtuel. C’est que pour une grande partie, la conscience publique s’y trouve déjà, au niveau logiciel, dans la mesure où cette conscience obéit aux médias. Il reste à faire la même chose, mais au niveau matériel.
Selon le dessein de l’iniquité légalisée, cela doit passer tout à fait imperceptible, sans joints. Souvent, on peut voir une personne fière d’avoir un nouveau smartphone parce qu’il est à la mode. Tout à fait comme en Union Soviétique vers sa fin, à la mode était d’avoir un jean et du chewing-gum. Au final, sans qu'on s'en aperçoive, nous avons perdu notre grande Patrie socialiste et sommes devenus une sous-colonie du pays de ce genre de pantalon. Personne ne songe d’où vient la mode comme façon de penser, et pourtant elle est largement acceptée. Donc, en diffusant la mode, les sionistes ont fait en sorte qu'elle ait occupé la place de la religion. En même temps, ils pervertirent l’Église à l’aide de leurs propres dirigeants fantoches.
Le truquage que font les médias correspond parfaitement à la scène « les escrocs dupent un gars de la campagne à la gare d’une grande ville ». Des mots inventés, fictifs, assurent toujours le succès. Les journaux renommés, connus, qui existent depuis longtemps, donnent l'impression d'avoir emprunté les noms russes pour signer les articles d’un annuaire téléphonique, puisque les articles semblent être copiés, par exemple, de New York Times. Les mots « savants », des sigles incongrus y sont employés libéralement pour présenter les affaires et les projets impensables comme une nouvelle normalité.
Cette fois, les escrocs à la gare veulent voler l’âme et l’esprit du gars. Tout doit passer insensiblement : les gens vont et viennent dans le métro où on voit partout les caméras et détecteurs de métaux et ils semblent trouver tout cela normal. Mais en fait, cette vue du métro est hideuse.
Là, voici une question brûlante : pourquoi les gens ne voient rien, pourquoi ils croient le mensonge ? Qui sont ceux qui prennent ces nouvelles à tout sérieux ? Comment peut-on ne rien savoir, ne pas voir la tromperie gigantesque ? Et comment peut-on refuser la logique dont on est doué, ne pas vouloir la vérité et préférer le mensonge qui règne. Hélas, ce sont de simples bonnes personnes, qui travaillent, regardent la télévision... et sont habituées à l’idée qu’elles soient descendants de singes.
La vision spirituelle vous fait percevoir directement, dans tous ces articles des journaux, la géhenne qui s’ouvre et son souffle fétide. À ceux qui voient - pourquoi donc s’accrocher à la machine diabolique, à ses personnages et à leurs mots inventés ? En tout cas, les personnes publiques ne peuvent pas dire la vérité. Un professeur à l’université vous raconte « la géopolitique » et la « cinquième colonne », deux choses inexistantes, sinon il cesse d’être professeur, comme ce fut pour V. Drojjine.
Il est inutile de mener une discussion avec l’enfer et essayer un compromis. On peut se rappeler comme un exemple les termes politiques des années 70, « la détente » et « la coexistence pacifique »... au bout d'une quinzaine d'années, l’Union Soviétique a cessé d’exister. Quant aux personnages, ce sont des pièces de la machine qui exécute un programme, adaptées à jouer un rôle dans le show pour le public.
La vérité est en ce que le monde est en possession du propriétaire de son système financier (de l'ensemble des banques centrales). On entend dire « gros capital, gros business, les usuriers », comme si le monde actuel était basé sur quelque chose de matériel. Or, les banques prêtent l’argent qu’elles n’ont pas. Non, le monde actuel est basé sur une pure tromperie qui produit toute possession : plus on est proche du sommet et origine de la tromperie, plus grosse est la possession. Rester attachés à l’argent privé implique l’esclavage parfait. Le passage à « l’économie virtuelle » est la suite, la conséquence directe de la tromperie qui tend à son idéal.
Partie II. L’île habitée
Une remarque d’abord. Le dossier de la firme Sigfox fait valoir : « À Moscou, la circulation automobile et les places des parkings sont désormais contrôlées par cette technologie. Un usage nécessaire pour la prévention des accidents en tout genre ». [5]
Fin décembre 2017, un accident survint à Moscou : un autobus qui se trouvait un long moment immobile sur l’arrêt de bus proche du métro, tout d’un coup, démarra plein gaz, surmonta le trottoir à droite et se dirigea directement dans le passage souterrain à côté. Avant de percuter une paroi, il écrasa une vingtaine de personnes. Le conducteur était tout à fait normal avec expérience du travail de 30 ans. Je ne connais pas d'autre façon d’avoir réalisé ce scénario sauf le téléguidage, mais peut-être vous connaissez.
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Il y a quelques années, les habitants des villes ont vu mettre en place des tours de communication, portant sur eux beaucoup d’appareillage [6,7]
Les questions des habitants sont restées sans réponse intelligible. Le portail de la ville ne donne que les coordonnées des pylônes. Les publications dans les médias officiels en réponse à ces préoccupations rappellent des subterfuges apaisantes. Souvent, les pylônes se trouvent à côté de l’école. Est-ce qu’ils ont trait à « l’éducation électronique » qui vient de commencer ? Sont-ils conçus pour « l’internet des objets » ? Probablement, il y a des antennes-relais pour les réseaux de communication 5G ? Et quoi d'autre ?
Cela éveille dans la mémoire publique le sujet d’un roman connu.
« L’île habitée » est le titre du roman écrit en 1969 par Arcadi et Boris Strougatski, deux frères écrivains, deux Juifs soviétiques. Le roman a été traduit en français. Comme G. Orwell et A. Huxley, les frères Strougatski étaient sans doute au courant des plans pour le futur.
Le héros du roman s'est trouvé sur une planète inconnue. La vie de ses habitants est assez déplorable. En majorité écrasante, les habitants sont dévoués aux dirigeants du pays - les « Pères Inconnus » sages et justes qui, selon la doctrine officielle, ont su arrêter la guerre civile. Mais il y en a d’autres, de méchants « dégénérés » qui s’opposent et essayent de détruire les tours anti-balistiques... c’est l’état voisin qui les a soudoyés. On les reconnaît par les crises de maux de tête, et la Garde Nationale les pourchasse.
Le héros rencontre plusieurs « dégénérés » qui s’avèrent des personnes honnêtes et courageuses, et apprend l’horrible vérité. Les états voisins ne possèdent pas de fusées balistiques... le rayonnement des tours, en fait, exerce constamment un effet hypnotique sur les gens, les obligeant à croire aveuglément la propagande du gouvernement et exécuter les commandes des dirigeants. Deux fois par jour, le rayonnement est amplifié, ce qui provoque chez les gens l'euphorie et l’admiration enthousiaste envers les autorités. Seule une petite partie de la population, les personnes appelées « dégénérés », ne sont pas soumises à l'action du rayonnement hypnotique, mais l'amplification du rayonnement les fait éprouver une douleur terrible.
Pourquoi ce titre du roman ? En raison de la particularité de l'atmosphère et de la réfraction très forte, la surface de la planète semble être concave, et les habitants sont certains de vivre sur la surface intérieure de la sphère, dans le seul monde qui existe.
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Le fait que parout dans le monde, Sodome et Gomorrhe, y compris l’homosexualisme, le changement de sexe et d'autres perversions, sont non seulement légalisées, sous le slogant factice de droits de l’homme, mais agressivement imposées, - ne montre-t-il pas clairement que le monde est dirigé par les disciples et successeurs de ceux qui ont trahi et tué Christ ? Ces menteurs professionnels qui vivent de tromperie. Par leurs fruits que vous les reconnaîtrez...
Les médias annoncent la prochaine privatisation de la Station spatiale internationale et du Système mondial de satellites de navigation. Alors la question se pose, la planète Terre, elle appartient à qui ? Aux peuples qui l’habitent ? Ou aux « Pères Inconnus » qui se sont arrogé le droit de produire de la monnaie pour le monde entier ?
Amicalement
Olga de TdR