Elle apparaît trois fois dans les Psaumes : « sur la terre des vivants », et aussi « dans la lumière, ou la félicité, des vivants » (ἐν φωτὶ ζώντων) et « dans le pays des vivants ». Et « la terre droite » : Ton Esprit bon me guidera vers la terre droite, dans le psaume 142. Où est la terre des vivants ? Apparemment, elle se trouve là-haut, puisque notre Terre semble être une sorte de manège automatisé au pied des montagnes.
Et comme les gens ont été privés de la vraie parole du Créateur, ils ne savent plus leur position et leur situation. Car leurs adversaires dirent :
« Les humains ont cru en « successeurs des apôtres » qui ont instauré l’organe Église, et ils n’ont rien remarqué quand nous avons changé leur religion et remplacé les icônes par les portraits des grands hommes ; maintenant, Galilée ne signifie plus pour eux la province où vivait le Fils, mais est l’un des noms sur lesquels nous avons bâti une nouvelle religion appelée l’éducation. Et si, à l’époque du web, ils sont curieux de voir ce qu'est la Bible, ils ne trouveront que l’une de nos versions, tout comme une partie de la maison de Jacob lit les écrits des massorètes sous le nom de la Bible. Et s’ils visitent un site biblique, ils trouveront un éventail d’acronymes à trois lettres qui désignent les traductions, où LXX n’est que l’une d’entre eux. Ils cliquent sur la première, qui est KJV, la traduction des ouvrages massorétiques en anglais. Et s’ils atteignent quand même la traduction des Septante en grec ancien, nous avons trafiqué le texte par endroits. Il existe la traduction en slavon d’église, mais qui s'intéresse au slavon ? La langue n’est pas très claire, et la traduction du grec peut être inexacte. Qui jamais ait songé à comparer les textes en grec et en slavon ? Et nous sommes donc invincibles. »
Par exemple, dans le texte en grec ancien, livre d’Ésaïe, chapitre 9, ils n’ont laissé que le premier de sept noms du Fils, qui sont les suivants : Messager du grand dessein, Merveilleux, Ordonnateur, Dieu fort, Seigneur, Prince de la paix, Père du siècle futur.
Et le chapitre 30, notamment à partir du verset 19 et jusqu’au dernier, où se trouvent les paroles adressées à Jérusalem – regardez le texte des LXX, et puis voyez ce que les massorètes ont écrit et les traducteurs KJV (King James Version) ont traduit.
Et quand la religion « éducation » fut établie, avec les mots sacrés-scientifiques, qui aurait osé poser une question : les noms des grands hommes qui sont à la base, peut-être sont-ils venus des grands menteurs ?
Le rôle de l’organe Église est montré dans le film Les forts d’esprit (1967) [1]. Le film inspiré de faits réels parle de l’éclaireur soviétique N. I. Kouznetsov, qui agissait ensemble avec une troupe organisée de partisans située dans les bois. Un officier de la Wehrmacht lui a montré un camion « sanitaire », avec les croix rouges sur les côtés, dont le tuyau d'échappement débouchait à l'intérieur de la caisse. L’officier a dit à son collègue, qui était Kouznetsov déguisé, que c’était à la fois « la transportation et la liquidation », et que les gens dans la caisse du camion étaient déjà morts. Cette analogie peut sembler trop cruelle, mais le résultat prouve que la vie a été enlevée et emmenée dans un cercueil peint.
La Terre est un lieu de mélange, d’un mélange trompeur. Au moins, l’Église russe a conservé la Bible en slavon, c'est précieux, vu les dommages causés au texte en grec ancien. Et l’évêque Théophane a écrit, en son temps, l’article « À propos de notre devoir de nous tenir à la traduction des Septante ».
Et le film La jeune fille sans adresse (1957) [2] représente le rôle de l’Église comme un bureaucrate et son bureau. Une amie a invité la jeune fille comme coursier dans le bureau où elle était une employée. Elle expliquait : notre bureau reçoit les papiers du bureau supérieur, les réécrit et les transmet au bureau inférieur. Et comme nous le voyons, ce « réécrire » avait trop souvent un sens maléfique. Le bureaucrate fainéant restait chez lui quand le téléphone sonna et on l’a averti de la visite d’un patron, et il s’est précipité vers le bureau en laissant les robinets ouverts dans la salle de bain, et il y eut une inondation dans l’appartement.
La précision et la cohérence parfaite entre les éléments qui lient les films de l’ensemble font penser que les films ont été conçus ou programmés en même temps. En plus, les films montrent parfois les petits détails de ce qui eut lieu plus tard, cela veut dire que les détails ont été programmés. Par qui ? Apparemment, par ceux qui sont désignés dans ce film, et pas seulement, comme les installateurs ou les monteurs qui travaillent en hauteur. Le mot « monteur » vaut également pour le cinéma... Et ensuite, chaque projet a été placé pour la réalisation au point défini du trajet terrestre que nous appelons le temps. Et je me demandais, comment serait-il possible de les réaliser, vu qu’un film est fait par un grand collectif ? On peut supposer que certains participants savaient beaucoup ou presque tout, et d’autres, peu ou presque rien, dans la mesure de la compréhension.
La Bible parle de l'adoration des idoles. Et les idoles qu’ils adoraient, qui représentaient-elles ? Ils faisaient le sacrifice à toute l’armée du ciel (πάσῃ τῇ στρατιᾷ τοῦ οὐρανοῦ), comme cela est dit dans 2 Chroniques, 33, ainsi que dans le livre du prophète Jérémie, y compris le chapitre 44 (gr. 51), où il faut évidemment remplacer τῇ βασιλίσσῃ par τῇ στρατιᾷ.
19 :13 καὶ οἱ οἶκοι Ιερουσαλημ καὶ οἱ οἶκοι βασιλέων Ιουδα ἔσονται καθὼς ὁ τόπος ὁ διαπίπτων τῶν ἀκαθαρσιῶν ἐν πάσαις ταῖς οἰκίαις, ἐν αἷς ἐθυμίασαν ἐπὶ τῶν δωμάτων αὐτῶν πάσῃ τῇ στρατιᾷ τοῦ οὐρανοῦ καὶ ἔσπεισαν σπονδὰς θεοῖς ἀλλοτρίοις.
Et les maisons de Jérusalem et les maisons des rois judéens seront comme un lieu de chute des souillures dans toutes les maisons où ils brûlaient l’encens sur les toitures à toute l’armée du ciel et faisaient des libations aux dieux étrangers.
L’armée du ciel, est-ce des moyens de commande ? Mais tout n’est pas automatique.
Pourquoi se détournaient-ils du Seigneur des forces ? Sans doute les « démons » leur semblaient plus proches et accessibles et les impressionnaient par leur influence mystérieuse.
La Terre est un modèle, ou une moule, dans laquelle l’homme nouveau doit être formé dans un milieu défavorable, étranger. Les adversaires, imposteurs eux-mêmes, ont fait de l’être humain un fanfaron. Et que reste-t-il des fanfaronnades à la sortie de la taverne Terre ?