Le mont sacré Meru dans la tradition indienne et tibétaine est le centre de l’univers. C’est un mont d'une hauteur extraordinaire, une belle ville est située à son sommet, où vit le Dieu suprême tout-puissant, qui inspire les chanteurs. Le récit traduit sans doute le mont et la ville Sion, et c’est ce qu’on appelle les cieux, qui s’ouvrent parfois à certains. L’image que le prophète Ézéchiel a vue lui a été montrée à l’intérieur de lui, dans le lieu et au moment indiqués. Dieu peut montrer quelque chose aussi bien que cacher quelque chose, et ce n’est même pas très étonnant si notre planète est comme un manège automatisé.
Le schéma du mont Meru avec le monde entourant est présent dans le livre d’Edwin Bernbaum où il parle de son voyage au Népal et en Inde dans les années 70. Le schéma provient de la tradition tibétaine. Sept rangs de montagnes, divisés par sept mers, entourent le mont central du monde. Par-delà le septième rang, se trouve l’océan circulaire avec quatre continents flottants. Le vent encercle l’océan. Pour quelque raison, deux petits continents accompagnent chaque grand sur cette image.
La Bible évoque les îles (νῆσοι) plusieurs fois. Par exemple, Ésaïe, le début du chapitre 49 : « Écoutez-Moi, les îles, entendez, les peuples. » Les îles, est-ce les continents dans l’océan circulaire ? Ont-ils un lien avec les tourbillons « emboîtés » [1] ? Notre Terre, est-ce l’un des trois ronds sur le schéma ?
La Bible dit que Dieu a dressé la Terre comme une tente, dans Ésaïe, 40 : « Lui Qui maintient le rond de la terre et ceux qui l’habitent en tant que supérieurs, Qui a dressé le ciel comme une voûte et l’a tendu comme une tente à habiter... » (v. 22). Et aussi dans 3e Esdras, chapitre 16.
Comme le dit la tradition, un fleuve céleste tombe sur le sommet du mont Meru, d’où il est canalisé vers les quatre régions en contrebas. Quatre canaux d’éther ? Si le mouvement circulaire de la Terre est dû au tourbillon d’éther ? La Terre est un gyrostat, tout comme une toupie. Et pour le mot « gyrostat », le dictionnaire donne une citation : Lord Kelvin et M. J.-J. Thomson ont montré qu'un tourbillon se comporte comme un corps élastique : il est susceptible de vibrer sous un choc. Il possède une stabilité telle qu'elle va parfois jusqu'à la rigidité, appelée la rigidité gyrostatique (H. Poincaré, Hyp. cosmogon., 1911)
La Terre étant un modèle, il doit y avoir une réplique du mont central. Les sommets de la Terre se trouvent dans l'Himalaya. Le mont Everest est le plus haut, son nom tibétain, Chomolungma, peut être traduit comme « la Mère divine de l’énergie ». Les montagnes de l’Himalaya sont aussi hautes que variées. Le massif se caractérise par les différences les plus importantes de hauteur sur de courtes distances. Les plus hauts sommets du monde se trouvent à côté des gouffres d’une profondeur allant jusqu'à 4,5 kilomètres.
Alors, le roman d’Alexandre Beliaev « Le vendeur d’air » peut indiquer une affaire réelle. Dans le roman, un capitaliste étranger a organisé une entreprise sous les montagnes (l’action se passe en Yakoutie) avec une pompe géante dans un vaste gouffre, utilisant un puissant courant d’air formé par le vent dominant. C’était toute une cité souterraine pour faire les réserves de l’air comprimé. L’usine pompait l’air et vidait l’atmosphère, asphyxiait la planète. Il y avait des canalisations, des tunnels, des transportations, le capitaliste avait des liens avec d’autres capitalistes dans le monde.
S’il existe une telle usine près du mont Everest, là où se trouve le tourbillon-rotor, le pivot ou le pôle, donc, il y a des intéressés dans la fausse représentation du monde, ce sont eux qui possèdent tous les médias et toute l’éducation. Ils utilisent l’énergie de l’éther pour eux-mêmes, comme il est dit dans le Psaume 143, mais non seulement. La production s’est concentrée en Chine, est-ce en rapport avec une source d’énergie dans la région ?
L’un des meilleurs alpinistes, Denis Urubko, qui n’a jamais utilisé l’oxygène en bouteille, a employé dans une interview l’expression « mettre le doigt dans la narine gauche sur le sommet du monde ». L’entretien avec A. Benavides intitulé « interview exclusive » est disponible sur internet en anglais et en russe. Il l’a dit au sens figuré, en parlant des jeunes. Mais le mot rappelle le roman de Beliaev, parce que le gouffre dans le roman était appelé « la narine d’Al-Toïon ». Et la narine gauche, quand on regarde d’où ? Une autre interview, en russe, cite le livre de Denis Urubko « L’absurde de l'Everest » :
Je ne comprends pas comment on pouvait se tromper il y a un siècle et demi, s’engager dans des disputes, calculer... Ici, du côté sud de l’Himalaya, chaque randonneur pouvait voir clairement que cette montagne est la plus haute du monde. Elle était si grandiose que tout doute s'envolait.
On peut donc penser, en réunissant les propos, que le gouffre se trouve sur la gauche quand on regarde du côté sud.
« Le vent s’engouffre dans ma valise... » Le mot « valise » vient du latin médiéval valisia – coffre, malle, tronc.
En 2005, l’hélicoptère piloté par Didier Delsalle a touché le sommet de l’Everest. Le pilote a établi le record le 14 mai et a réitéré le contact le lendemain pour le confirmer. Et un jour avant, lors d’un vol d’essai, le pilote a fait l’hélico atteindre la hauteur de 10 211 mètres au-dessus de la terre et l’a posé sur le versant sud de l’Everest à la hauteur de 7 925 mètres.
Bien que les autorités népalaises aient initialement donné l’autorisation, elles ont ensuite accusé le pilote de vol sans permis, selon l’interview pour le magazine National Geographic, dont les copies en anglais et en russe sont trouvables sur le web.
Didier, pourquoi les autorités népalaises vous ont accusé de violation de leur espace aérien ?
Ce fut une grave incompréhension entre les parties. Le Népal nous a accordé un permis de vol sans limitations spécifiques. Ils ont même écrit sur le permis : « Bonne chance ! » Mais quand je suis revenu, j’ai cru qu’il y eut un changement de toute la direction, c’était un tout autre sentiment. Franchement, je ne sais pas pourquoi.
Dans la version en anglais, la phrase concernant le changement de direction ne figure pas, seulement « It was very disappointing ». Si c’est le cas, quelles fortes raisons ont incité les puissants à renouveler la direction ?
Ma supposition s’appuie sur certaines œuvres de l’ensemble, notamment, sur le roman « Le vendeur d’air ». Pourtant, c’est bien possible, une telle usine peut exister. Et alors, tout cela doit être connu de certains, seulement ceux qui savent ne sont pas très nombreux.
Amicalement
Olga de TdR