«Tout est faux» est une phrase-clé du personnage principal du film britannique Le miroir noir (Black mirror) décrivant notre présent au figuré ou notre proche avenir littéralement. Cependant, le film propose une vue optimiste de l'avenir, on leur a lassé leur âme quand même. Tandis que dans la vie réelle, on veut élaborer des gens-cyborgs commandés d'un ordinateur commun.
Le monde gît dans le mensonge. Le milieu informationnel qui nous entoure (médias, films, livres, «ouvrages») représente une machine du mensonge, avec la fausse opposition et fausse alternative majoritairement. (Je pourrais brièvement traduire l'interview, citée comme un spécimen, ainsi: Rotschild et Cie a transféré l'industrie et l'or du monde entier chez lui en Chine et veut établir une monnaie unique.)
Il faut particulièrement mentionner Soljenitsyne, ce grand menteur spécial pour l’Occident et aussi pour la Russie après 1991.
Quelqu'un a dit, «votez-vous la droite ou la gauche, c'est comme vous allez aux toilettes à droite ou à gauche dans un avion, il tient sa direction». J'ajoute, tout l'ensemble d'information polyphonique assure que vous soyez à bord, car le chef d'orchestre est le même qui dirige l’argent. À l'ère du sionisme triomphant, ridicules sont les discussions des avantages d'un tel ou tel autre personnage politique; ils sont tous comédiens à gages qui jouent leurs rôles prédéfinis, le spectacle ayant pour but de détourner notre attention vers «des choses tout à fait insignifiantes à nous». Les dirigeants qui agissaient ou voulaient agir indépendamment, comme Staline, Kennedy, Saddam Hussein, Gaddafi, les leaders africains, furent tués. John F. Kennedy, tué en 1963, fut quatrième des présidents américains tués pour avoir tenté de mettre l'argent sous la direction des représentants du peuple - après Abraham Lincoln (1865), James Garfield (1881), William McKinley (1901). [1]
Parmi les grands mensonges fondamentaux est le mythe de surpopulation. Les articles annoncent l’épuisement des nappe d’eaux souterraines, «comme le reporte NASA, sur la base du «changement de la gravitation» - qui veut croire?
Paradise Stolen - The Myth of Overpopulation
On peut noter les méthodes les plus abondantes de la tromperie: proposer la discussion des fausses alternatives en vue de masquer l’essentiel; vendre une opinion voulue pour des petits ou grands fragments de la vérité («dites la vérité, beaucoup de vérité, mais ne dites pas toute la vérité»); créer artificiellement des problèmes pour appliquer des mesures voulues.
L’exemple classique de la dernière méthode représente la Grande Dépression. Aujourd’hui il est évident qu'on a fait la Grande Dépression, à l’aide du gonflage et après la piqûre de la bulle de masse monétaire, pour s’emparer de l’or des citoyens américains par la loi de 1933. Au temps de la crise profonde, les gens achetaient l’or. Le décret de 1933 a obligé les Américains à vendre l’or à un «prix officiel» artificiellement sous-évalué. Et ça pour faire le dollar la monnaie dirigeante, la monnaie de réserve «aussi bonne que l’or» à Bretton-Wood en 1944, et ça pour détacher le dollar de l’or en 1971. Et avant, on a fait la panique de 1907 pour fonder la Réserve fédérale privée.
En Russie, le pillage des années 1990 fut appelé «la privatisation». En passant, un récit «amusant» hollandais montre comment un avoir public attribué devient un avoir banalisé sans dire beaucoup de mots.
Toute chose a deux objectifs. Le premier but est factice, ostentatoire ; il fait les gens accepter la chose ; le deuxième, vrai but, va contribuer aux objectifs de l’établissement du nouveau système. [2]
Quand le public proteste contre les nouveautés enchaînant, on le «court-circuit». Après les protestes publics contre la carte électronique universelle en Russie, on a fait mieux : on a introduit un registre unique des citoyens, géré par le ministère des finances, avec un numéro d’identification personnel pour chacun et toutes les informations sur le citoyen. Pour qu’un citoyen ne possède plus de documents, mais quelqu’un possède son dossier complet.
On peut toujours dire des mots, jongler avec des mots, s’exercer à la sophistique - une fois devenu officiel, ça passe pour la vérité. Les mots rusés en prêtent assistance. Selon le dictionnaire, le mot «tolérance» signifie: 1. Respect des manières de penser, d’agir d’autrui, même si on ne les partage pas. Pourtant, les dirigeants ont mis en valeur une autre signification: 2. Liberté limitée au regard d’une règle, d’une norme. Liberté au regard des normes morales, d’abord limitée, puis allant jusqu’à l’inversion de ces normes, selon le principe des fenêtres d’Overton. Pour quels motifs ont-ils besoin de notre tolérance du péché?
Le dictionnaire ajoute: Maison de tolérance : établissement de prostitution qui était toléré par la loi.
C’est pourquoi il convient de mettre en relief la troisième signification: 3. Aptitude d’un organisme à supporter les effets d’un agent extérieur. C’est-à-dire, aptitude à resister à la contagion.
La «tolérance» de la perversité est assurée par l’émergence des groupes qui «luttent pour les droits». Des groupes faux, artificiellement produits, tout comme des groupes terroristes. L’arme des guerres modernes est la fabrication de l’opinion publique, cette arme a joué un rôle énorme dans la destruction de l’URSS.
Déjà les «Protocoles des sages de Sion», écrits il y a cent ans, et que beaucoup ne prennent pas au sérieux, disaient : «Alors, tout le monde, fatigué du chaos, va demander un gouvernement mondial». Monsieur Nicholas Rockefeller, dans la relation de Aaron Russo (ici un fragment en anglais) les suit, disant qu’il n’y a pas d’ennemi réel dans la guerre contre le terrorisme, c’est une guerre sans fin et sans issue, une farce pour faire tout ce qu’on veut avec les Américains. Il dit que «l’élite» veuille un gouvernement mondial et réalise ceci par secteurs, dont le secteur européen avec la monnaie européenne unique. C’est monsieur Rockefeller en personne qui nous fait connaître la destination finale de l’avion mentionné ci-dessus: le gouvernement mondial unique et l’implantation d’un chip à radiofréquence à chacun, le contrôle total. «Pourquoi vous vous inquiétez d’eux? - dit-il. - Pensez à vous, à votre famille. Eux, ils sont de petites gens, des serviteurs».
Amicalement
Olga de TdR
1 Elena Ponomareva, La loi d’airain de l'oligarchie, ou Qui gouverne vraiment l'Amérique
2 Récit de la conférence sur le nouveau système mondial, donnée par Dr. Richard Day, professeur de pédiatrie à l'école de médecine «Mount Sinai» à New York, ancien chef de la section de médecine à la Fédération américaine de la planification familiale, financée par les Rockefeller, au cours de la réunion de la Communauté des pédiatres de Pittsburg le 20 mars 1969.