Ваш браузер устарел. Рекомендуем обновить его до последней версии.

17/07/2018

 

Enseignement asservissant

Extrait du livre « La kabbale, un complot contre Dieu ». Partie 2

Partie 1

 

Avec la chronologie d’Akiva, apparut une nouvelle doctrine kabbalistique qui dit que l'existence de notre monde visible doit être achevée en six mille ans. La chronologie d’Akiva est bien dans la plage de ce cercle désigné puisque l’année en cours [celle de la parution du livre], dans le cadre du nouveau compte juif, est la 5769e depuis la création du monde.

 

La nouvelle chronologie juive rejeta le calendrier dont les anciens Juifs faisaient usage pendant des siècles comme témoignant la vraie Écriture sainte non faussée. Elle a également rejeté la chronologie de l'historien juif ​​ Flavius Josèphe (37-100 ans après Jésus-Christ). Un demi-siècle avant la « révolution » chronologique d’Akiva, dans ses « Antiquités juives », Flavius Josèphe donne la chronologie basée sur le texte hébreu des Écritures sans distorsion, en accord avec la chronologie chrétienne et généralement acceptée. Cependant, nul sage des générations suivantes ne se permit de contester l'opinion de rabbi Akiva. De nos jours, de nombreuses découvertes scientifiques et les données archéologiques présentent des preuves irréfutables contre la chronologie d’Akiva qui n’a aucun fondement sérieux. Cependant, la chronologie développée par lui devint largement reconnue.

 

Akiva a définitivement déterminé le canon des Écritures : le nouveau texte de la Bible fut canonisé, mais aussi, fut exclu un certain nombre de livres incompatibles aux nouvelles idées sur le Messie et capables de faire la lumière sur les distorsions de l'histoire. En particulier, les livres historiques des Maccabées n’étaient pas inclus parmi les livres sacrés, puisqu’ils parlent de la révolte des Maccabées en 165 av. J.-C. et par conséquent, convainquent clairement de la fausseté de la nouvelle chronologie ; ainsi que les livres de Tobie, Judith, Sagesse de Salomon, Deuxième et Troisième livres d'Esdras, Livre du prophète Baruch, Épître de Jérémie, Sagesse de Jésus, fils de Sirach.

 

Les livres de Sagesse de Jésus, fils de Sirach, et de Sagesse de Salomon, et les livres des Maccabées révèlent le plus complètement la doctrine pré-chrétienne de l'Esprit Saint et de l'immortalité de l'âme. Chapitre 11 du livre de Sagesse de Salomon prophétise explicitement les souffrances du Messie - et ce fut une raison pour Akiva de le retirer du canon des Écritures. Dans le livre du prophète Daniel, Akiva supprima l’histoire de Susanna, qui démontre les mœurs vicieuses des anciens des Juifs, reprises par eux des Chaldéens (Dan. 13,1 - 63). Tous ces textes faisaient partie de la Septante ancienne. Ces livres sacrés ne furent conservés que chez les chrétiens. Dans l'ensemble, la nouvelle Bible contenait une nouvelle collection de livres - non pas 50, comme chez les Juifs anciens, mais 39.

 

Pour « protéger » le peuple juif de l'influence du christianisme, les livres exclus du nouveau canon de l'Écriture sainte, furent déclarés nuisibles à lire, et même attirant des malheurs pour les Juifs qui les apportaient à leur maison (Encyclopédie juive, Akiva).

 

À notre époque, le véritable texte antique des Écritures qui a été utilisé par nos ancêtres, n’est conservé que sous la forme de la traduction des Soixante-douze, nommé la Septante, dans le texte slavon de la Bible. Au IXe siècle, les frères Cyrille et Méthode, originaires de Thessalonique, à la demande du prince Rostislav souverain de la Grande Moravie, premier dans l'histoire État chrétien slave, firent la traduction de la Septante vers la langue slave.

 

Et aussi, les rouleaux de la mer Morte, trouvés en 1948, portent le véritable texte antique des Écritures.

 

Le nom Septante (lat. Septuaginta) vient de l'événement dont rapporte Flavius Josèphe, ainsi que le message d'Aristée, dignitaire de Ptolémée Philadelphe, le roi grec de l’Égypte. Le roi Ptolémée II Philadelphe (règne 285-246 av. J.-C.) demanda le grand prêtre Eléazar d'envoyer en Egypte les anciens d'Israël inspirés par Dieu afin de traduire les livres sacrés juifs vers le grec. Pour cela, le roi a libéré 120 000 prisonniers juifs et envoyé des dons magnifiques à Jérusalem. Le grand-prêtre du roi a répondu à la demande et envoyé à l'Egypte 72 interprètes - de six de chaque tribu. Les traducteurs ont travaillé sur l'île de Pharos attenant à la baie d'Alexandrie. La traduction résultante fut lue à haute voix devant l'assemblée des Juifs alexandrins et reconnue une copie exacte du texte hébreu.

 

La Septante fut reconnue comme la véritable Écriture sainte dans la communauté des Juifs parlant grec et des prosélytes juifs en dehors de la Palestine ; on l'utilisait en Syrie, en Mésopotamie et en Asie Mineure. Les Juifs alexandrins et les catéchistes palestiniens admiraient la beauté de la Septante, en appelant la langue grecque digne de la traduction de la Torah (Encyclopédie juive, Traductions de la Bible). Les lectures hebdomadaires de l'Écriture sainte dans la langue grecque, traduite par les Soixante-douze, se passaient dans toutes les synagogues d'Alexandrie. En l'honneur de la traduction, les Juifs alexandrins ont institué une fête spéciale, organisée chaque année le huitième jour du mois thebet, et il en était ainsi jusqu’au début même de la nouvelle ère.

 

Dans un premier temps, la Septante était crédible pareillement parmi les Hébreux comme parmi les chrétiens. Très vite, cependant, vers le milieu du deuxième siècle de l'ère chrétienne, la tradition rabbinique se désolidarisa de la Septante. Par des efforts de rabbi Akiva et ses partisans, parmi le peuple juif l'opinion s'est répandue que la Septante fût incorrecte à cause de « contresens » et que seul le nouveau texte hébreu contînt la vérité. Et le huit thebet, le jour de la célébration de la traduction d'Alexandrie, dès le IIe siècle de notre ère, s'est transformé en une journée de pleurs et de deuil.

 

Les disciples d’Akiva ont fait de grands efforts pour éliminer les textes différents de leur propre édition des Écritures. Tous les manuscrits conformes à la Septante ancienne et le texte hébreu intact de la Bible, ont commencé à être considérés comme faux et ont été retirés de l'utilisation, transférés dans les archives, puis soumis à l'inhumation, et ont disparu sans laisser de traces.

 

Le manuscrit révisé fut choisi comme principal, et sur instruction d’Akiva, les nouvelles copies étaient faites seulement d’après ce manuscrit. Par la suite, aucun livre des Écritures ne pouvait être donnée à la synagogue sous peine de herem (mesure de condamnation suprême dans la communauté juive, prévoyant l'exclusion complète du Juif décrié de la communauté) sans que douze scribes eussent collationné chaque lettre avec des textes d’Akiva.

 

Au sein du plan global d’Akiva, même les Romains ont contribué à atteindre les objectifs aux massorètes. Traditionnellement indifférents à toutes sortes de manifestations religieuses des peuples assujettis à eux, les Romains, probablement soudoyés par de nouveaux sages juifs, brûlaient les manuscrits des Écritures là où ils les trouvaient parmi les Juifs. Il est clair que c’étaient les vieux textes avant l’édition d’Akiva qui étaient brûlés : de cette façon, les adeptes de la nouvelle conception du monde se facilitèrent la tâche de saisir l'intacte parole de Dieu.

 

Le fait que beaucoup de Juifs ont commencé à se tourner vers le christianisme, posa des soucis aux dirigeants juifs qui avaient rejeté Christ. C’est pour cette raison que le sanhédrin pharisien a mis de hâte à publier un recueil de connaissances secrètes, le Talmud - pour séparer les Juifs des autres nations. On attribue au Talmud une autorité « divine » de sorte que son exécution est plus importante que de la loi de Moïse admise par les chrétiens.

 

Par son système d'interprétation, Akiva introduisit la kabbale au Talmud, et la kabbale devint l'âme du Talmud. Maintenant, via le Talmud, les kabbalistes ont pu ouvertement diffuser les idées de leurs secrets enseignements chaldéens parmi tous les Juifs ; et à l’aide de la détection du « sens caché » des Écritures par allégorie, symbolique, interprétation, transcription, leur imposer la vision du monde païenne et anti-chrétienne.

 

Les Juifs devaient obéir aux nouvelles lois créées par les sages juifs et enregistrées dans le Talmud, sous peine de damnation ou même de mort. Le Talmud devint un mur qui sépara les Juifs du reste du monde. En utilisant le Talmud, les dirigeants juifs atteignirent un double objectif : d'une part, le Talmud supplanta la Bible chez des Juifs, pour qu'un Juif croyant ne puisse pas apprendre des Écritures que toutes les prophéties furent accomplies sur Jésus et il ne fallait pas attendre un autre Messie. Deuxièmement, le pouvoir des rabbins s'affermit, clôturant les Juifs dans un étroit cercle national, enseignant la haine des autres nations et surtout des chrétiens.

 

Les mesures décisives contre les chrétiens furent décrétées pour la première fois par le sanhédrin à Livna. Pour arrêter toute communication entre les Juifs et les chrétiens et donc empêcher la conversion au christianisme, les Juifs étaient interdits d'accepter même du pain, de la viande ou du vin des chrétiens. Dans la prière quotidienne des Juifs, fut introduite une formule de malédiction contre les chrétiens. Les prières de malédiction étaient lues encore sous le rabbi Gamaliel (fin Ie - début IIe siècle) lors d'une réunion de l'académie de Yavné. L’Encyclopédie juive dit que ces prières étaient initialement dirigées « contre les traîtres à la religion nationale », ce qui faisait référence aux Juifs chrétiens » (EJ, Schemoneh Esreh).

 

Il était tenu de lire les prières de malédictions trois fois par jour : le matin, quand on se lève, dans l'après-midi et le soir. À la fin des prières, dans les synagogues, on lance aussi l’anathème contre les chrétiens ; on appelle toutes les détresses sur eux, similaires à ceux dont le Seigneur frappa jadis l'Egypte. Saint Justin le Philosophe, le martyr chrétien du IIe siècle, mentionne ces prières dans un débat avec le Juif Griffon. Saint Épiphane, évêque de Chypre pendant 55 ans (IV siècle), glorifié par l'Église orthodoxe, mentionne également les prières de malédictions. Saint Épiphane, d'origine juive, ayant été non-chrétien au passé, connaissait bien un tel rituel de prière.

 

Le sanhédrin envoya ces décisions aux communautés pour information et application. Les prières contre les chrétiens sont prononcées quotidiennement de nos jours encore, mais dans les nouveaux livres de prières juifs, beaucoup de paroles-malédictions sont absentes. Ils ne se trouvent que dans les éditions précédentes, mais les rabbins les connaissent par cœur. Pour illustrer, voici le texte de certaines prières : « Ô Dieu, prive les chrétiens de l'espoir du bonheur, laisse-les s'éteindre en un clin d'œil ; qu’ils périssent tous jusqu'au dernier » ; « Que Dieu trouble les pensées et les conseils de nos ennemis les chrétiens, par la guerre, la famine, la pestilence et toutes sortes de peines sévères. »

 

Par la suite, ces prières ont été introduites dans des rituels de l'église du satan. Au cours des messes noires et liturgies d’Astarté, il est proclamé : « Maudit soit Adonaï et son Christ, béni soit Lucifer, le bon dieu » - et sont prononcés à haute voix des sacrilèges et le blasphème contre le Christ, Sauveur du monde. (N. E. Markov. Les guerres des forces obscures. Moscou, 2002)

 

Les rabbins ont commencé à exiger des Juifs fidèles qu’ils méprisent les Livres sacrés des chrétiens, se moquent de leurs sanctuaires, maudissent Jésus-Christ appelé dans les sources talmudiques comme Jésus de Nazareth.

 

Dans toutes les établissements d'enseignement juifs, tout d'abord, était inoculée la haine du Christ. Comme le note l'Encyclopédie juive de la fin du XIXe siècle, « dans les légendes juives, dans le Talmud et dans les sermons dans les synagogues, il y a une tendance à rabaisser la personne de Jésus-Christ, Lui attribuer la naissance illégitime, la magie, le mensonge et la mort honteuse ».

 

Jusqu'au XVIe siècle, toutes les éditions du Talmud étaient pleines de paroles maléfiques contre le Christ, ce qui provoquait souvent l'indignation parmi les chrétiens comme parmi les Juifs honnêtes et sains d'esprit. Par conséquent, à partir du XVIe siècle, certains endroits pareils furent éliminés des éditions du Talmud par la censure. Les talmudistes se limitèrent de la republication des blasphèmes effacés dans un livre séparé et les inséraient dans les livres qui étaient en leur possession.

 

En 1631, le Synode suprême en Pologne décida de « n’imprimer rien, dans les éditions futures de Mishna ou de Guemara, de ce qui a trait, bon ou mauvais, aux actes de Jésus de Nazareth. Nous commandons pour l'avenir de mettre du papier blanc sur de tels endroits dans le Talmud et lors d'impression, laisser complètement blancs les espaces où il s’agit de Jésus-Christ. Cela laissera comprendre tout rabbin l'existence de l’omission qui devrait être complétée de la tradition orale dans la formation des jeunes ». Et pendant des siècles, ils ont enseigné la calomnie méchante du Christ et de la Vierge Marie, cultivaient parmi le peuple juif l'esprit de haine du vrai Messie.

 

Pour tenir le peuple juif au sein de la vision du monde sans Dieu, créée par les nouveaux sages juifs, le sanhédrin, encore à l’époque de rabbi Akiva, adopta des lois que les Juifs ont été forcés respecter sous peine de malédiction ou même la mort.

 

Akiva lui-même se battait longtemps pour créer un nouveau système de pouvoir spirituel et politique sur le peuple juif. Sous peine de mort, furent interdits tous les contacts avec les infidèles, à savoir les chrétiens.

 

Au cours de la Deuxième guerre des Juifs, Akiva put éviter l'arrestation par les autorités romaines qui le persécutaient et se cachait dans la ville de Lida. Il a secrètement réuni dans le grenier d'une maison un nouveau sanhédrin qui surpassait l'ancien en dureté de l'organisation. Après la mort d’Akiva, ses disciples agissaient non moins vigoureusement que lui. Le président du nouveau sanhédrin, qui était nommé patriarche, porta son pouvoir à un niveau inédit.

 

Presque toute la vie du peuple juif passa sous la gestion du sanhédrin, sous toutes ses formes - religieuse, nationale, politique, mais aussi familiale et ménagère. Le chef du sanhédrin avait le droit, comme un roi, de percevoir les impôts des Juifs, quel que soit un pays qu'ils habitaient. Le sanhédrin possédait le droit de vie et de mort sur tous les Juifs.

 

La puissance du sanhédrin s’appuyait sur la synagogue et les rabbins. Le Talmud devint un code régissant tous les aspects de la vie des Juifs. La synagogue n’était pas tant une organisation religieuse que nationale et publique, une sorte de club qui a remplacé le service divin où les Juifs anciens se tournaient vers Vrai Dieu.

 

Dans cette structure, le rabbin n’était pas un prêtre, mais un organisateur national. Les fonctions principales du rabbin n’étaient pas tant l’office divin que l’organisation des Juifs selon le principe national et religieux. Le rabbin veillait sur le respect de différents règles nationales et religieuses par les Juifs, tenait l'œil sur la pureté raciale, et en cas de dérogation à la loi talmudique, signalait aux autorités supérieures qui appliquaient des mesures punitives au violateur. Comme l'écrivit l'historien juif Kastein, « une autonomie communautaire fut organisée et le pouvoir de l'état fut remplacé par un autre, plus fiable et ferme : un régime dur et impitoyable basé sur l'exécution sans réserve des toutes les prescriptions rituelles ».

 

Le système du pouvoir secret juif exerçant le contrôle total sur la communauté juive et axé sur l’opposition à tous les non-Juifs, s’incarna dans le kahal. Kahal (héb.) - la réunion des anciens des Juifs laïques, une sorte d'administration ; l'ensemble de la communauté juive.

 

La partie supérieure, officielle et légale du kahal ne reflétait point la véritable puissance et l'omnipotence des rabbins qui le dirigeaient et qui recevaient des instructions du sanhédrin. Les kahals maintiennent non seulement l’unité et le lien inextricable entre les Juifs dispersés partout dans le monde, ils maintiennent les Juifs dans la pleine servitude et la peur.

 

Les kahals et les beit-dins (tribunaux juifs) avaient à leur disposition une gamme de sanctions disciplinaires sévères pour forcer les Juifs à la soumission complète et à l'exécution des règles du Talmud. Par exemple, le kahal pouvait expulser les coupables de la communauté juive locale et les exclure de tout Israël. Si en vertu des lois de l'état où se trouvait la communauté juive, le coupable d'un crime contre les lois du Talmud n'était pas soumis à la peine, néanmoins, il était soumis au jugement secret du kahal, y compris la peine de mort, qui était réalisée par des moyens secrets.

 

C’étaient principalement les convertis du judaïsme au christianisme qui étaient soumis à ces peines. Les Juifs qui renonçaient ouvertement à leurs dirigeants, étaient vus à la fois comme des apostats du point de vue religieux et comme les traîtres du point de vue national. La synagogue les punissait par l'excommunication, la plus cruelle de celles jamais imposées par des organisations religieuses.

 

Le penseur juif Uriel Acosta (da Costa) qui critiquait l’idéologie misanthropique du Talmud, fut poursuivi par la malédiction en 1616 et complètement excommunié de la judéité. Acosta avait fait valoir que les lois du Talmud étaient l'œuvre des sages juifs apostats de la vraie foi paternelle, et ne venaient pas de Dieu. Les œuvres d’Uriel Acosta furent brûlées, et lui-même fut soumis à la persécution brutale. Le rabbin Modène, qui maudit Acosta par ordre du sanhédrin, partageait entièrement l'avis d’Acosta, cependant, n'a pas osé l'exprimer à haute voix. Les notes témoignant qu’il l'avait maudit pour ce qu’il croyait lui-même, n'ont été découvertes qu'après la mort de Modène.

 

Les tribus entières et le grand-prêtre même, s'ils résistaient aux paroles du sanhédrin, devaient être punis par la mort. Par ordre du kahal, les cadavres des Juifs qui ne remplissaient pas les ordres du kahal et les règles talmudiques, étaient soumis à des outrages honteux par les équipes funéraires juives - pour « enseigner » les autres.

 

Bien que les enseignements talmudiques et kabbalistiques ont été créés afin d'empêcher le peuple juif de se tourner vers le Christ, ils étaient hostiles, dès le début, même à la religion ancienne d'Israël - la loi de Moïse.

 

Une formule fut introduite dans la vie du peuple juif : peu importe ce que vous croyez et quelles sont vos idées sur Dieu - il est important que vous accomplissiez tous les commandements du Talmud et tous les ordres des rabbins. Selon l'historien juif H. Graetz, « ce n’est pas l'incroyance et l'hérésie qui implique la punition, mais la violation de l'ordre civil ». C'est pourquoi aujourd'hui, non seulement celui qui lit la Bible et croit en Dieu d'Israël est considéré comme un Juif pieux, mais aussi celui qui admet la kabbale, participe à la méditation païenne, croit en transmigration des âmes et remplace Dieu personnel d'Israël par incertain En-Sof chaldéen.


Le kabbaliste panthéiste, s’il observe à peu près la loi et répond aux impératifs du kahal, est considéré comme un vrai Juif, tout comme les pieux auteurs talmudiques qui disent combien d'heures par jour Dieu passe dans les affaires des hommes et combien d'heures dans le jeu avec le léviathan et dans l'étude du Talmud, bien que ces auteurs sont, selon leur état religieux, de purs païens. Ces élucubrations ne les excluent pas des fidèles s'ils accomplissent tout ce qui est dû quant à manger de la nourriture, les fêtes, l'ablution, etc. Et en même temps, il n'existe pas de concept unique dans l’Israël moderne sur ce qui est Dieu et ce qui est la vraie foi. On peut croire en n'importe quoi pourvu qu’on exécute la loi talmudique. « Le judaïsme rabbinique apaise la conscience, - dit Juda Halévy, - empêchant l’incertitude, définissant une fois pour toutes ce qui est permis et ce qui est interdit ».

 

Les éminents kabbalistes de notre époque, M. Laïtman et P. Besserman, enseignent que même « les homosexuels, les lesbiennes et d'autres personnes dont l'état matrimonial ou l'orientation sexuelle ne répondent pas aux normes traditionnelles » peuvent être initiés dans les secrets de la kabbale - ce n'est pas la vertu qui importe, mais l'aptitude occulte et la volonté de communiquer avec le satan.

 

Avec la kabbale introduite dans la vie d'Israël, Akiva profana le concept du bien, de la vérité, car l'enseignement de la kabbale reconnaissait « le mal gentil » et « le bien méchant », c’est-à-dire, mettait le diable à la place de Dieu ; le mensonge à la place de la vérité ; la haine à la place de l'amour, la fornication à la place de la chasteté ; le service du diable au lieu de vénération de Dieu.

 

La kabbale d’Akiva devint une source de toute sorte d'hérésies et sectes et de tout occultisme. Ayant apostasié de la loi de Dieu, les adeptes de la kabbale faisaient les gens s'éloigner de la vraie connaissance de Dieu et se donner au royaume des ténèbres. Ils réunissaient la philosophie païenne, la loi de Moïse et l'idéologie chrétienne. Les philosophes occidentaux fusionnaient l'image du Christ, de Moïse, de Platon, d’Aristote, de Zoroastre persan, d'Hermès égyptien, d’Orphée avec la kabbale, la magie et l'astrologie, l'occultisme et la sorcellerie. Le diable détacha la pensée de l'homme de la foi en Créateur et le mit sur le chemin de la fausse science.

 

L'affaiblissement de l'Église chrétienne devint le principal objectif des disciples d’Akiva. Dans cette lutte, ils ont choisi comme une arme les enseignements hérétiques qui détruisaient le christianisme de l'intérieur. Les sociétés secrètes basées sur le mysticisme et les théories kabbalistiques servaient de conducteur des enseignements hérétiques.

 

 

Source La kabbale, un complot contre Dieu

Traduit par Olga (TdR)

 

Liens en plus

En russe

Lettre de Saint Théophane le Reclus au sujet de la traduction de la Bible du texte massorétique

Étude détaillée sur ce thème, avec des tableaux comparatifs de chronologie (extrait du livre « Deux Bibles, deux voies » par Igor Gavriluk)

En français

Ouvrage Les Juifs et le Talmud par Flavien Brenier de Saint-Christo

Traduit vers le russe par le comte D. M. Grabbe, il fut publié en 1928 à Paris par le prince M. Gortchakov qui a qualifié le travail de Brenier d’« ouvrage magnifique ». La maison d’édition de Gortchakov s'appelait À bas le mal.

Je viens de lire, un ouvrage vraiment très bon. Cependant, la wiki-menteuse sioniste donne un article ignoble sur Flavien Brenier. Pour le moment, le mal est au sommet, et par conséquent, à tous les niveaux.