06/06/2018
La franc-maçonnerie, les tentacules du sionisme
Introduction du livre « Histoire secrète de la franc-maçonnerie » par Oleg Platonov, écrit sur la base des documents originaux maçonniques gardés dans les archives secrètes maçonniques, qui ne faisaient pas l'objet de publication.
Les secrets maçonniques russes ont été gardés si soigneusement que si la Seconde guerre mondiale n’était pas arrivée, nous n’aurions probablement rien appris jusqu'à présent. Les archives des loges maçonniques russes (qui étaient filiales des loges de l'Occident) et des diverses organisations et des agences de renseignements secrètes furent saisies par Hitler pendant l'occupation de l'Europe. Et après notre victoire elles se trouvèrent dans les mains de l'Armée rouge. En tant que trophée, on les emporta à Moscou où on les gardait dans le strict secret jusqu'en 1991, en utilisant principalement comme matière auxiliaire pour le KGB.
Des dizaines, des centaines de milliers de dossiers depuis le milieu du XVIIIe siècle à 1939 contenaient les procès-verbaux des réunions des loges maçonniques, des documents, circulaires et règlements, les rapports financiers et la correspondance, qui ont permis de parler avec certitude du caractère criminel, conspirateur de cette organisation secrète dont l’objectif principal et d'atteindre l'influence politique et la domination des forces obscures dans les coulisses.
À la différence de la franc-maçonnerie occidentale qui jouait principalement un rôle de lobby politique et idéologique en coulisse, la maçonnerie russe avait ses caractéristiques. Avec tous les traits du lobby, la franc-maçonnerie russe, à force de sa dépendance des ordres maçonniques étrangers, était un centre des personnes privées de leur conscience nationale, et souvent, de ceux qui étaient tout simplement de l'orientation anti-russe. Pour beaucoup d'entre eux, la franc-maçonnerie était une forme de la russophobie - de la haine envers le peuple russe, ses traditions, coutumes et idéaux - et de la violation des intérêts nationaux de la Russie. Dans la franc-maçonnerie, l’intelligentsia russe aliénait le peuple, partait de lui dans la clandestinité, inventant de différentes combinaisons du « remaniement » de la Russie sur le modèle occidentale.
La principale chose, bien sûr, réside dans le fait que la franc-maçonnerie russe, à partir du XVIIIe siècle, n’était qu’une filiale des ordres maçonniques de l’Europe occidentale et s'acquittait soigneusement de toutes les directives de leurs dirigeants.
Même dans ces brefs moments où elle reçut une relative autonomie, la vie intérieure de la franc-maçonnerie russe était entièrement contrôlée par les centres étrangers. La correspondance des francs-maçons russes avec leurs dirigeants étrangers, ainsi que des rapports sur le travail accompli, le témoignent amplement. Les francs-maçons russes recevaient de l'étranger des instructions et circulaires qui indiquaient aux frères russes une position à occuper.
Le prestige des supérieurs maçonniques étrangers était très élevé parmi les francs-maçons russes, et en général, beaucoup plus élevé que celui du gouvernement légitime russe. Que de fois dans l’histoire, les franc-maçons de Russie entraient en collusion avec leurs homologues étrangers pour mettre en oeuvre une politique appelée dans leur langue « la grande vérité maçonnique » !
Les frères maçonniques de Russie n'étaient pas confus du fait qu’ils étaient, au fond, agents des gouvernements étrangers et, exécutant des instructions de centres étrangers, portaient atteinte aux intérêts nationaux de la Russie.
L’histoire de la franc-maçonnerie en Russie est une histoire de la conspiration contre la Russie. Les données historiques montrent qu’il n’y a presqu’aucun événement important pour la Russie où les ordres maçonniques n’eussent pas joué un rôle particulier, toujours négatif pour elle. La maçonnerie était la principale forme d'occupation invisible spirituelle de la Russie, une forme de mise en œuvre des impulsions occidentales anti-russes.
Par rapport à la Russie, les activités des ordres maçonniques russes avaient toujours un caractère purement conspirateur, puisque présumaient des actions secrètes non-conformes aux intérêts nationaux de la Russie, contribuaient à son affaiblissement, à la défaite dans les guerres, à la destruction des idéaux nationaux, des traditions et des coutumes.
En fait, le « travail » des ordres maçonniques était mené parallèlement aux activités subversives des services spéciaux étrangers et se confondait souvent avec eux. Il y a beaucoup de cas où des membres de loges maçonniques et les agents des services de renseignements étrangers agissaient en une seule personne. D'ailleurs, les agences de renseignements étrangers ont toujours considéré les francs-maçons comme une réserve de recrutement dans la lutte contre la Russie.
Les francs-maçons, eux, essaient toujours de présenter sa communauté criminelle comme une organisation idéologique. Cependant, aucune idée positive n'existait dans le raisonnement des francs-maçons, sauf la convoitise satanique pour la domination sur les autres.
L'idéologie de la franc-maçonnerie est l'idéologie de se poser en élus, ce qui implique la domination sur l'humanité. Le but de la franc-maçonnerie est la mise en place d'un ordre mondial où le rôle dominant leur appartient. Dans la littérature maçonnique, cela est symboliquement présenté comme la construction du temple par les francs maçons. Ils considèrent comme leur père Adoniram, à qui Salomon a confié la construction du temple. Adoniram « avait à effectuer le paiement au grand nombre de travailleurs qu'il ne pouvait pas connaître tous ». Le système maçonnique promet une récompense à chaque constructeur du temple en fonction de sa contribution. Avec cette promesse de récompense, commence réellement la doctrine maçonnique qui peint en détail la rétribution de chacun.
« Pour ne pas payer un apprenti à l'égal des compagnons, et ceux-ci à l'égal des maîtres, il dut convenir avec chacun d'entre eux sur certains mots, connaissances et touchers pour distinguer chacun en particulier ».
Afin d'établir le nouvel ordre mondial, les autorités maçonniques ont formé un gouvernement mondial secret qui existait à différents moments dans différentes formes, mais toujours sous le contrôle des dirigeants judaïques. Dans le XVIII - XX siècles ce gouvernement se déplaçait constamment entre l’Angleterre et l’Allemagne des Rothschild, et de là, en France, pour prendre pied aux États-Unis au XX siècle. Aujourd'hui, les organes de travail de ce gouvernement sont : l'organisme directeur de la loge maçonnique juive mondiale B'nai B'rith, le Conseil des relations étrangères, la Commission Trilatérale, le groupe Bilderberg, la Banque mondiale et d'autres organismes.
L'église russe a toujours réprouvé la franc-maçonnerie, la considérant, à juste titre, une manifestation de satanisme. Si aux niveaux inférieurs de la consécration, il y avait parfois des gens religieux, les francs-maçons des degrés plus élevés étaient athées militants et ennemis de l'église. La destruction de l'église était considérée comme l'une des principales tâches de la franc-maçonnerie en tant qu'organisation idéologique.
En 1881, le maçon belge Fleury écrivit : « À bas le Crucifié... Son royaume est fini ! On n'a pas besoin de Dieu ». Un autre maçon de haut rang dit en 1912 : « Jusqu'à ce que nous éliminons l'église, nous ne serons pas en mesure de travailler de façon productive et de construire quelque chose de durable ». « Il y a une guerre - lui faisait écho un autre maçon en 1913 - que nous devons continuer jusqu'à la victoire ou la mort. C'est la guerre contre les ennemis éternels de la maçonnerie : tous les dogmes, toutes les églises. »
« Souvenons-nous - répétaient après lui les autres francs-maçons - que le christianisme et la franc-maçonnerie sont absolument incompatibles, et appartenir à l’un d’eux signifie rompre avec l’autre. » Chez les francs-maçons, le triangle avec l'œil du diable substitue la croix, et la loge substitue le temple de Dieu. « Nous, les francs-maçons, - disait un maître de la loge Lessing - appartenons à l’espèce de Lucifer. »
La franc-maçonnerie refusait tout ce qui représente la vie nationale de la société, tout le système de vie lié aux notions de la Patrie, l'Orthodoxie. Les franc-maçons s’écartaient des traditions russes de religion, d’état, de l’ordre et essayaient de les remplacer par des abstractions cosmopolites. Ils cherchaient non seulement à détruire l'église russe et l'état russe, mais aussi à reconstruire spirituellement le peuple russe pour le faire cosmopolite. « Le travail interne sur l'affinement de la pierre sauvage de l’âme russe », selon l'avis de G. V. Vernadski, était « au centre de tous les travaux maçonniques et contribua à la création du type qui reçut la valeur dans la noblesse russe pour longtemps ».
Les francs-maçons russes aimaient parler de la lutte contre le mal dans le monde et en soi-même, de l'ascension d'une échelle mystérieuse, ou d'une chaîne reliant le monde de la terre et de la pourriture au monde de l'esprit. Cet escalier a de nombreuses échelles, la chaîne a de nombreux liens, mais le principal est la connaissance de soi, la pénitence, l’arrangement du temple intérieur, l’illumination élevée, chez certains, l'extase, et chez d’autres, la grande contemplation silencieuse. Toutefois, en pratique réelle, la participation au travail maçonnique était un service conscient aux forces obscures de satanisme.
Parmi les symboles qui révèlent la terrible essence de la franc-maçonnerie, l'image de Satan est la plus précise et déterminante. Dans un secret profond et sombre, il est allé sur la Terre Russe pour détruire ses sanctuaires et valeurs spirituelles, piller ses richesses et asservir son peuple. La grande puissance millénaire qui occupait une sixième du monde, qui vivait de son travail et existait tout à fait indépendamment du reste du monde, était non seulement un morceau savoureux pour les parasites internationaux, mais aussi un profond reproche à leur politique d'exploitation basée sur le pillage et l'asservissement colonial des autres peuples.
Au XVIIIe siècle, furent entièrement cristallisées les valeurs fondamentales de la civilisation occidentale établie sur les idéaux maçonniques de suprématie des élus et des droits spéciaux pour gérer « la majorité ignorante » de l'humanité, nés, à leur tour, du judaïsme, de la torah et des enseignements kabbalistiques. À la fin du XVIIIe siècle, la communauté des pays appartenant à la civilisation occidentale, réalisa un pillage à grande échelle des dizaines de millions de personnes en Asie, en Amérique, en Afrique et aux dépens de la souffrance de ces personnes, assura la vie prospère pour de nombreux habitants de l'Europe occidentale.
Dans de telles circonstances, l'unification des bourgeois occidentaux dans des loges maçonniques secrètes assurait un soutien organisationnel et idéologique du système de parasitisme et de l'exploitation des autres peuples par les pays occidentaux. L’enveloppe mystique et rituelle externe servait d'écran pour cacher, de fait, un parti politique secret du monde occidental qui proclamait son exclusivité et son droit d'exploiter le reste de l'humanité.
Non sans raison les francs-maçons eux-mêmes se déclarent souvent les successeurs de l'ancien ordre du Temple de Salomon (templiers). Il convient de rappeler que ce fut un ordre de brigand, renommé pour ses pillages et assassinats crapuleux à l'époque des croisades. Ayant rejeté tous les préceptes chrétiens, les templiers se sentaient au-dessus d'autres, jugeaient possible d'exercer la sorcellerie et diverses manipulations mystiques qui au Moyen Age étaient considérées comme les relations avec le diable. En conséquence, de nombreux crimes de l'ordre du Temple de Salomon furent exposés, ses dirigeants furent exécutés, et beaucoup d'entre templiers ont payé de prison.
Bien sûr, les loges maçonniques, en son essence, servaient d'écran à des activités encore plus secrètes des sectes profondément cachées de supériorité raciale juive, dont la relance dans la seconde moitié du XVIIIe siècle était associée, en particulier, aux activités des banquiers Rothschild.
Au cœur du côté rituel, symbolique de la maçonnerie, était la croyance juive, la création de conditions exceptionnellement bonnes pour son existence au détriment de tous les autres (goys). Les subtilités des formules juives kabbalistiques ne présentaient pas un acheminement vers la compréhension de l’Esprit Saint, mais au contraire, la course vers les formes de vie impliquant la jouissance des plaisirs terrestres et la recherche de richesse à tout prix, au détriment des autres. Les vertus chrétiennes étaient ostensiblement rejetées. Ainsi, en 1936 dans l'une des loges du Grand Orient de France, fut fait un rapport : « Est-il juste de rendre le bien pour le mal ? » Et la réponse fut donnée : injuste. Il faut rendre le mal pour le mal. Or, pour un franc-maçon, le mal est tout ce qui est contraire à ses intérêts. D’où la lutte contre toute l'humanité. En général, c’est le principe judaïque « œil pour œil, dent pour dent », multiplié par l'égoïsme d’un athée militant.
Cependant, le côté rituel n'était pratiquement pas lié aux tâches politiques et économiques des organisations maçonniques. Dans le XVIIIe siècle, les mêmes loges passaient d'un système à l'autre. Le même maçon pouvait être membre de la loge du rite écossais et en même temps rosicrucien ou martiniste.
Comme l’avait admis le maçon connu Papus, dans la franc-maçonnerie, « chaque rituel correspond toujours à une nécessité politique ou philosophique ». Et quand ce n’était pas nécessaire, les maçons abandonnaient tout rituel, exposant leur nature purement politique. Car la philosophie de la franc-maçonnerie est la justification de la politique de l'égoïsme de groupe. Cela s’est révélé d'une manière caractéristique au cours de la première révolution anti-russe des années 1905-1907.
En fait, le rituel maçonnique était un écran de fumée pour les non-initiés. Une sorte de tentative de faire croire que le rite extérieurement joli et complexe était suivi d'une activité éminente. En réalité, cette joliesse scénique était la seule chose positive (si on peut l’appeler ainsi) dans la maçonnerie.
La méthodologie des affaires secrètes de la franc-maçonnerie se révèle si l’on regarde de près son système d’initiations qui, dans divers ordres maçonniques, exprime un modèle commun de discipline et obéissance absolue.
Les plus haut degrés d'initiation remplissent des fonctions purement politiques et sont au cœur des systèmes dirigeantes de tous les pays occidentaux. Ces parties de la franc-maçonnerie définissent les politiques d'état, développent les perspectives mondiales, préparent et promeuvent les cadres supérieurs de vues similaires (qui parfois ne sont pas franc-maçons). Pour ces degrés, le rite n'a aucune importance. Les activités des degrés élevés sont soigneusement cachées aux subordonnés.
Les degrés moyens d'initiation exercent des fonctions politiques, mais sur un niveau plus étroit, régional, et sont plus impliqués dans la formation d'un certain type de personnes et de leur engagement dans la clandestinité maçonnique. Ils agissent toujours sous un strict contrôle et d’après des instructions spécifiques des degrés d'initiation plus élevés. Le rituel pour ces degrés est purement conventionnel et toutes leurs activités sont aussi cachées des subordonnés.
Les degrés supérieurs et moyens maçonniques, à partir du troisième degré, donnaient à leurs titulaires le droit secret à une commission de tout crime et le droit de mentir pour le bien de la cause maçonnique. « L’exemption des vœux », « le pieux mensonge » était un privilège spécial pour la majorité écrasante de la franc-maçonnerie.
Les degrés inférieurs de l’initiation représentaient des formations complexes à plusieurs couches des personnes très divers. C’est une sorte de réservoir de personnel de la maçonnerie, dont une partie est éliminée et l’autre ne monte jamais même aux degrés moyens.
Ce sont souvent des personnes qui, en général, ne peuvent pas être rangées dans les francs-maçons. Des personnes désorientées spirituellement et moralement, égarées par les déclarations pseudo-idéalistes et pseudo-romantiques des ordres maçonniques. Ces personnes prennent souvent pour de l’argent comptant les jeux rituels et y participent volontiers. Mais c’est la partie des francs-maçons de degré inférieur qui est d'une importance pratique particulière pour les ordres maçonniques : elle sert à créer une image positive de cette organisation criminelle, la présentant comme une réunion des excentriques romantiques inoffensives qui rêvent d'améliorer l'humanité.
Souvent, c’est juste un appât pour introduire dans l'ordre des personnages célèbres de la littérature, de l'art, et d'autres. Nous appellerions ces personnes les francs-maçons pour la frime. Ils servent à couvrir involontairement des crimes maçonniques et leurs affaires souterraines qu'ils ignorent absolument. C’était le rôle que réalisaient dans la franc-maçonnerie quelques figures de la culture russe, comme l'architecte Bajenov, le peintre Levitski, l’écrivain Veressaev. Utilisant la disposition d'esprit romantique et sublime de ces personnes, les conspirateurs maçonniques leur promettaient d’ouvrir « l'horizon infini de la perfection de l'âme », l'amélioration de soi. Bien sûr, tout cela était un canular, les arnaqueurs ne pouvaient leur donner rien de positif, mais par contre, ils obtenaient leurs noms glorieux pour leur spéculation. Les francs-maçons n’ont même pas hésité à attribuer à leurs rangs des personnes qui n’étaient pas membres de la maçonnerie ou l’étaient pour une courte période sans aucune participation aux activités maçonniques. Sans aucun fondement, afin de renforcer le prestige de leur organisation, les francs-maçons ont attribué à leurs rangs Pierre Ier et plusieurs de ses compagnons, les poètes Derjavine et Joukovski, et même Nicolas II. [...]
Depuis le XIXe siècle, les organisations maçonniques sont devenues un mouvement politique de masse pour l’aide mutuelle entre les gens immoraux qui divisaient le monde en les leurs et les étrangers. Les leurs sont autorisés à faire n'importe quoi et manipuler les étrangers, les diriger habilement des coulisses. Tout étranger qui ose porter atteinte aux intérêts des leurs, est soumis à une pression invisible, il est permis d’utiliser contre lui toutes les techniques - harcèlement, diffamation, meurtre morale et physique.
L'exemple le plus typique de cellule de base franc-maçonnique, ce sont les clubs dits rotary et lions clubs - les associations de choisis pour l'entraide et le soutien dans un domaine particulier de la vie. L'homme qui est entré dans le cercle d'un certain groupe des « siens », reçoit beaucoup d'avantages et l'assistance quotidienne de la part ses semblables. Certes, les frères exigent de lui un soutien constant, l'implication dans l'activité et l'exécution des ordres venant « d'en haut ».
Source Histoire secrète de la franc-maçonnerie
Traduit par Olga (TdR)
Ndt. Sur internet, sont trouvables les sites des diverses loges franc-maçonniques, par exemple, du Grand Orient de France avec sa devise « liberté, égalité, fraternité », ou de la Grande loge de France avec l’image d’un bureau symbolique. L'inscription sur l'image en haut de la page franc-maconnerie.ca du site de la franc-maçonnerie de la ville de Québec révèle, en toute franchise, l'essence de ceux qui dirigent les peuples : MAFIA.