17/12/2016
Document
Le code du Juif en URSS
Les instructions pour les Juifs en URSS, plus tard le document a reçu ce titre
Publié à Tel-Aviv en 1958
Les Juifs! Aimez-vous, aider les uns les autres. Il faut s’entraider même si vous vous haïssez!
Notre force est dans l'unité, elle garantie notre succès, notre salut et prospérité. De nombreux peuples ont trouvé la mort en dispersion parce qu'ils ne disposaient pas d'un programme d'action clair et un sens du coude. Mais nous, grâce au sens du collectivisme, nous avons traversé des âges et des nations, nous avons survécu, multipliés et raffermis.
L'unité c'est le but, et en même temps, un moyen pour atteindre le but. Tel est le sens, voilà ce que l'on doit aspirer. Tout le reste en dérive et va venir tout seul.
Entraidez-vous, n'ayez pas peur de passer pour nationalistes, n'ayez pas peur du protectionnisme - c'est notre outil principal. Notre nationalisme est international et donc éternel. Il est ouvert aux Juifs de toutes les nationalités, toutes les religions, toutes les parties. Le vrai internationalisme est celui qui est lié par le sang au judaïsme, tout le reste est une provocation et tromperie. Attirez largement des personnes proches par le sang, ce ne sont qu'eux qui vous assureront la biosphère souhaitée.
Formez vos cadres nationaux. Les cadres, c'est le saint des saints. Les cadres décident de tout. Les cadre d'aujourd'hui, c'est notre avenir. Chaque laboratoire, chaque chaire, chaque institut doivent devenir une forge de nos cadres nationaux.
Préparez la jeunesse juive à prendre le relais des générations. Que chaque génération fasse face à notre défense en profondeur. Chaque fois que l'ancienne génération quitte la scène, la cohorte encore plus puissante préparée à l'avance des jeunes Juifs raffermis doit prendre la relève. Pour ce faire, il faut avancer nos jeunes aux postes dirigeants le plus rapidement possible, en prouvant leur maturité et leur génie. Si même ce n'est pas vrai, ils mûriront en place. Qui est au pouvoir, a raison. Nous devons donner à nos enfants plus que nous avons reçu de leurs pères et ceux-ci, à leur tour, transmettront aux descendants ce qu'ils avaient reçu après l'avoir gardé et multiplié. Dans la succession des générations consiste notre force, notre stabilité, notre immortalité.
Le monde est cruel, il n'y a pas de place pour la philanthropie. Chaque peuple est architecte de son propre bonheur. Ce n'est pas à nous de prendre soin des cadres nationaux russes. S'ils ne pensent pas à eux-mêmes, pourquoi devrions-nous penser à eux? Ne tenez pas pour un modèle les Arabes et les Russes et qui vivent d'une manière contemplative, en espérant au hasard. N'attendez pas de bienfaits de la nature - notre tâche est de les prendre.
Créez vos propres équipes et par ces équipes, refoulez les non-Juifs. Rappelez-vous: tous les postes lucratifs, influents, hautement rémunérés font notre revenu national. Rappelez-vous que tout non-Juif qui est monté à notre niveau, puisse occuper une position qui pourrait appartenir à chacun de nous. Nous créons des équipes pour que les goys ne nous empêchent pas de vivre à notre manière. Que les goys tentent de créer leurs propres groupes, il est peu probable qu'ils réussissent, ils vont se quereller avant d'avoir le temps de faire quelque chose et nous allons les aider en cela.
Les Russes ne sont pas capables de penser profondément, d'analyser et de faire des généralisations profondes. Ils sont comme des porcs qui vivent museau enfoui dans le sol, ne sachant pas qu'il y ait le ciel.
Ils perçoivent tous les phénomènes trop en surface, trop concrètement, ils ne peuvent pas voir les faits dans leur séquence, dans leurs relations, ils ne sont pas capables de penser, de faire abstraction et de généraliser. Pour eux, tous les cas ne sont que les cas, pour si souvent qu'ils ne surviennent.
Notre idéologie est opposée en principe à l'idéologie des goys. Ils disent: «Mieux vaut assez que trop». Nous disons: «Mieux vaut plus et mieux». Ils disent: «Il est préférable d'être pauvre, mais en bonne santé, plutôt que riche et malade». Nous disons: «Il vaut mieux être riche et en santé que pauvre et malade». Ils disent: «Donner, c'est aussi beau que recevoir», nous disons: «Donner, c'est peut-être bien, mais recevoir, c'est utile encore».
Ils disent: «Agis selon la loi, c'est ton devoir». Nous disons: «Agis contrairement à la loi, et je vais te récompenser». Ils disent: «Vaincre ou mourir». Notre devise: «Victoire pour la vie, mais la vie pour la victoire». (Qu'est-ce la victoire, s'il n'y ait pas de la vie? Il faut prendre le temps pour l'amertume de la défaite - tout viendra à celui qui sait attendre.)
Tout ce qu'ils savent et peuvent, nous savons et pouvons. Ce que nous sommes capables de savoir et sentir - il ne faut pas qu'ils le sachent et sentent. Tout ce qu'ils ont, c'est leur limite. Tout ce que nous avons - ce sont nos moyens pour atteindre plus. Tout ce qu'ils possèdent aujourd'hui est le nôtre dans leur utilisation temporaire. Leur prendre ce que dieu nous a légué, voici notre objectif.
Les Russes sont obstinés, mais ils n'ont pas assez de persévérance pour parvenir au but. Ils sont paresseux, donc toujours pressés. Ils tentent de résoudre tous les problèmes à la fois. Ils sacrifient peu pour une grande tâche de victoire décisive. Mais une telle victoire ou ne vient pas, ou en gagnant, ils sont laissés avec rien. Nous adhérons à une stratégie de petites victoires, sans être contre les grandes. Une petite victoire est une victoire aussi!
Les Russes ne savent pas diriger, ainsi que d'obéir. Ils sont génétiquement saboteurs. Les Russes sont jaloux, ils haïssent leurs confrères quand ceux-ci se portent en avant de la masse grise. Donnez-leur l'occasion de déchirer ces candidats - ils seront heureux de les déchirer. Soyez toujours les arbitres, prenez toujours la pose de pacificateur, protégez les «malheureux», contre lesquels la foule se gendarme, mais juste assez pour passer pour une personne gentille et impartiale. Un peu d'endurance, et vous prendrez la place de celui qui vient d'être écharpé. Quand deux Russes se battent, un Juif gagne. Acharnez les Russes les uns contre les autres, excitez et chauffez la jalousie entre eux. Faites cela toujours sous le voile de bienveillance, discrètement et subtilement. Qu'ils se battent entre eux, mais vous, devenez toujours arbitre.
Les Russes ne savent pas vivre et ne savent pas se fixer des objectifs. Nous leur fixons des objectifs éphémères, eux, ils essaient de les résoudre.
Les Russes ne savent pas demander, considérant cela comme une humiliation, quoiqu'ils sont déjà humiliés et pauvres. Nous disons: «Chaque humiliation est bien si elle confère un avantage». Pour atteindre l'objectif, on peut s'humilier, il est possible de s'humilier avec dignité. Aucune chose n'est immorale si elle contribue au renforcement et à la prospérité de notre peuple. Le but sanctifie les moyens.
Les Russes sont stupides et grossiers. Ils appellent leur bêtise et la brutalité - honnêteté, intégrité et principes. Ils appellent l'incapacité d'adapter et de modifier leur comportement en fonction de la situation, le manque de souplesse d'esprit - «être soi-même», «la fermeté de principes». Les goys sont stupides et vulgaires tellement qu'ils ne savent pas mentir. Ils appellent leur primitivité et stupidité, une fois de plus - intégrité et honnêteté, bien qu'ils soient mensongers et malhonnêtes par nature. Dans les anciens temps, ils dénommaient leur primitivité - la barbarie, au Moyen Age - chevalerie, plus tard - noblesse. En raison de nuls principes, ils commettaient le suicide. Qu'ils continuent à le faire!
Ils sont limités dans leurs possibilités et donc, mettent une limite à tout. Nous, nous disons: «Les possibilités humaines sont infinies, car il se comporte selon les circonstances!»
Restez constamment conscients des limites que les goys se fixent, leur pensée est racornie dans ces limites. Ils ne peuvent pas en sortir. Ceci est leur malheur, ceci est notre avantage. Parlez et agissez de façon dont leur morale et les concepts n'admettent pas. Faites ce qui leur semble impossible, incroyable. Ils ne croiront pas à ce que vous soyez capable de paroles et les actes qu'ils ne seraient pas capables de produire.
Parlez et agissez fermement, de manière énergique et agressive, décourageante et ahurissante. Plus de bruit et de clinquant verbale, plus d'incompréhensible et de pseudo-scientifique. Créez des théories, des hypothèses, des tendances, des écoles, des méthodes réelles et irréelles; le plus extravagant le mieux! Que ne vous dérange pas que personne n'en a besoin; que ne vous dérange pas que cela sera oublié demain. Un nouveau jour viendra, des nouvelles idées viendront. La puissance de notre esprit se traduit en cela, ceci est notre affirmation de soi, ceci est notre avantage. Laissez le goys payer nos factures. Qu'ils se cassent la tête à la recherche de grain rationnel dans nos idées, qu'ils cherchent et trouvent ce qui n'y est pas. Demain, nous donnerons un nouvel aliment à leurs cerveaux primitifs.
Peu importe que dites-vous, il importe comment vous le dites. Votre confiance en soi sera perçue comme une conviction, l'ambition - comme sublimité de l'esprit, la manière d'enseigner et corriger - comme supériorité. Tournez leur cerveau, excitez les nerfs! Réprimer la volonté de ceux qui vous oppose. Compromettez les parvenus et braillards, acharnez l'amour-propre de la foule contre les sceptiques. Dans les conversations et les débats utilisez des démarches rhétoriques frôlant l'indécence. Demandez le nom, le lieu de travail, la position et de celui qui doute et objecte. Typiquement, cela les choque et intimide, ils lèvent le siège. Demandez des réponses, mais après avoir reçu, rabâchez, sans analyser au fonds: «Ce n'est pas vrai, c'est tout faux!»
Si un gars sage essaye de vous dénoncer, les autres vont le négliger et désapprouver, car en vous dénonçant, il dénonce leur stupidité, ce que la foule ne pardonne pas.
Si un Russe tente de s'exprimer, attirer l'attention, à ce moment, créez plus d'effets sonores, frottez de pieds, levez-vous et marchez, grincez les chaises, riez, parlez, fredonnez quelque chose, toussez et mouchez-vous, interrompez par les discours, conversations, blagues et ainsi de suite. Créez aux Russes une marée de petits inconvénients gênants qu'ils ne réalisent pas d'emblée. Mettez vos affaires sur leurs affaires, marchez sur leurs pieds, respirez dans leur visage, parlez agressivement fort. Qu'ils sentent constamment votre coude de leur côté. Les Russes ne peuvent pas résister à cela de longue. En évitant les scandales, ils se retirent, en vous libérant la place... Faire claquer la porte est un chic spécial pour eux.
Accordez-leur cette occasion! L'impudence polie, voilà notre devise!
Accusez d'antisémitisme ceux qui tentent de vous dévoiler. Collez-leur l'estampille d'antisémites et vous verrez comment le reste des goys sera heureux de reprendre cette version. En fait, tous les Russes sont antisémites, mais une fois que vous collez l'estampille à un d'eux, il devient abandonné, parce que le demeurant nous le sacrifie et l'anéantit par ses propres mains. Et puis nous mettons le stigmate à la prochaine victime.
Ayez les Russes à leur compatissance. Faites semblant d'être pauvres et misérables, suscitez la pitié de soi et la sympathie, propagez des rumeurs sur le peuple victime éternelle, sur la persécution au passé et la discrimination au présent. La tactique du «pauvre Juif» est éprouvée pour des milliers d'années! Les Russes aiment être bienfaiteurs et protecteurs, chaque mendiant cherche à devenir un bienfaiteur, parce que cela l'élève. Plus ils ont de la générosité, moins de possibilité de la réaliser. Prenez d'eux ce qu'ils peuvent donner: d'une mauvaise paie on tire ce qu'on peut!
Réfractez tous les phénomènes à travers le prisme de nos intérêts, tout phénomène doit nécessairement être considéré en termes de dommages ou avantages qu'il apporte aux Juifs!
Informez les uns des autres à propos de tout ce qui peut nous présenter préjudice ou avantage. L'information, c'est le saint des saints! L'argent, les cadres et l'information sont les trois piliers sur lesquels notre bien-être repose!
Le devoir sacré de chaque Juif est d'informer les autres Juifs de ce que les goys ont l'intention de faire. Aujourd'hui, tu m'as aidé, demain je vais t'aider - en cela est notre force.
Dieu nous a ordonné de posséder le monde - nous le possédons. Notre tâche est de garder le monde dans nos mains. Tenez dans vos mains les moyens de propagande et de l'information: presse, radio, télévision, cinéma. Nous devons continuer à pénétrer dans l'appareil du parti et du gouvernement. Autour de toute question façonnez l'opinion publique conformément à nos intérêts nationaux.
De toute bagatelle, on peut faire un problème, de tout problème - une bagatelle. Aucun processus social ne doit pas être laissé à lui-même. S'il ne nous profite pas, freinez son développement ou canalisez-le contre nos ennemis - les goys. Nous devons être en tête de toute initiative pour la guider dans une bonne direction.
Soyez leaders en tout, efforcez-vous d'être toujours les premiers! Formez en soi un caractère dirigeant chaque heure, chaque minute, même dans les petites choses de la vie quotidienne. Ne cédez rien, essayez de ne pas céder même dans les petites choses, que ce soit une place dans les transports en commun ou la file d'attente au magasin.
Dans tout collectif prenez le pouvoir dans vos mains et gérez-le à notre avantage. La partie administrative et créative du processus de production doit être effectuée par les goys. Laissez les goys fournir la base brute matérielle et technique de notre oeuvre. Qu'ils surveillent la propreté des locaux et protègent les fruits de nos oeuvres. Qu'ils n'occupent pas de positions plus élevées que gardien et nettoyeuse.
On peut, par exception, admettre à la création les goys de l'origine non russe. N'admettez pas les Russes à cela! Ce serait toujours un reproche à nous. Et ne pas ayez peur de passer pour nationalistes: l'illusion de l'internationalisme sera assurée par la présence des personnes d'origine ethnique mixte avec un mélange de sang juif, ou au pire, des représentants des minorités nationales. Si vous avez un poste vacant - ne prenez qu'un Juif.
Si vous ne pouvez pas le faire, liquidez la position. Si vous ne pouvez pas la liquider - prenez un Asiate. S'il n'y a pas, prenez un Polonais, un Ukrainien, ou au pire, un Biélorusse - ceux-ci ont leur compte à régler avec les Russes. Après un certain traitement, ils deviendront vos alliés. Ils sont tous antisémites seulement chez soi. En Russie, être internationalistes est plus avantageux pour eux. De cette façon, ils s'assureront la sphère d'existence nécessaire. Utilisez ce moyen.
Ne détruisez pas les monuments de l'antiquité russes ouvertement, mais ne les restaurez pas. Des années plus tard, ils vont s'effondrer tous seuls. Et les houligans et les «amateurs d'antiquités» les emporteront brique par brique. Faites sembler de ne pas le remarquer, étant occupés avec de gros problèmes économiques. Un peuple sans histoire est comme un enfant sans parents, on peut en façonner ce qui est nécessaire, lui inoculer notre conception du monde, notre façon de penser.
De cette façon, des peuples entiers peuvent être dépersonnalisés; d'abord, ils perdent leur histoire et les traditions, puis nous les modelons à notre image et ressemblance.
Gardez sous contrôle chaque acte des Russes influents et prometteurs. Ne les laissez pas s'isoler et s'unir. Prévenez tout liens courts et directs entre eux, leurs contacts doivent être avec nous et par nous. L'information, c'est l'influence. Ne les permettez pas de discuter des questions quelconques sans nous. Là où sont deux Russes, doit être au moins un Juif - soyez omniprésents!
Si vous ne pouvez pas bloquer et «sécher» des Russes jeunes et prometteurs, rendez-les gérables. Impliquez-les dans vos compagnies, créez un anneau dense du milieu juif autour d'eux, les privez de contacts et de connaissances outre vous. Les forcer à épouser des femmes juives et seulement après cela, ouvrez-les le «feu vert». N'ayez pas peur, leurs enfants seront toujours les nôtres, quel que soit le taureau qui saute, le veau sera le nôtre.
Aidant tels Russes, vous faites une contribution à notre communauté juive. Maintenant, leur salaire est notre revenu national. Pour le bien de leurs enfants, ils vont perdre leurs «droits civils», les sens et l'esprit, en tout cas, ils ne pourront pas être antisémites. La cohabitation avec une femme juive est une façon d'impliquer les Russes talentueux dans notre sphère d'influence et intérêts.
Épousez de belles et saines femmes russes, qu'elles nous apportent progéniture en bonne santé, qu'elles améliorent notre race. Donc, à chaque Russe prometteur - une petite amie ou un ami juif. Si chaque Russe tire avec soi au moins un Juif - nous serons tous arrangés.
Donnez-leur des pots de vin, des cadeaux, faites boire du cognac et de la vodka et encore mieux de l'alcool appartenant à l'État. Pour de bibelots et potion, ils vont vendre tout et leur Russie aussi.
Dernier conseil. Soyez vigilants, l'inquisition espagnole et le fascisme allemand ne doivent pas se répéter. Étouffez dans l'oeuf toute tentative de nous opposer à la société, détruisez les tendances anti-juives tout au début, sous quelque forme qu'elles ne se produisent. Le fascisme n'est pas un phénomène accidentel, il surgit là où nous sous-estimons le désir de la population locale d'être maîtres de leurs terres. Le fascisme se prépare sous la surface chez toutes les nations. Pour notre bonheur, les peuples différents en viennent à des moments différents et sous noms différents.
Achetez, volez et détruisez, ne permettez pas de réimprimer des œuvres qui révèlent notre tactique et stratégie, qui représentent les Juifs à la mauvaise lumière, les peuples de goys ne doivent pas se rappeler et connaître les causes réelles des pogroms et de la persécution. Sur ces questions, ils ne doivent savoir que notre interprétation.
Portez une attention particulière aux récalcitrants, obstinés, qui ne veulent pas courber la tête en face de notre supériorité, ne veulent pas travailler pour nous et s'opposent à notre pratique et politique. Tôt ou tard, ces personnes deviennent antisémites. Ne laissez pas les petits antisémites se développer aux grands pogromistes! Qu'ils se fanent dans l'oeuf avec leur idée têtue de la dignité nationale. Révélez-les, compromettez-les sous prétexte quelconque, en toute occasion, mettez-vous contre eux par tous les moyens disponibles. Alors qu'ils sont seuls, ils ne résistent pas à notre collectivisme, à notre attaque. Aient-ils mille fois raison dans leurs choses négligeables - ils sont coupables tout de même de nous déranger.
Distribuez les rumeurs compromettantes contre ces entêtés, leur créez-la réputation douteuse, et ceux qui les soutiennent, qui les connaissent bien et sont de très bon avis à leur égard, finiront par les redouter. Privez-les de liens et de contacts, privez-les de la possibilité de travailler efficacement, remettez en question la pertinence de leur travail et position, les isolez, incitez la foule contre eux, privez-les des positions influentes dans la société, les provoquez aux conflits. Humiliez-les, ignorez-les, offensez par l'injustice de récompenses et punitions, et quand ils protestent, accusez de désobéissance, à l'insubordination, d'insociabilité et d'agressivité. Invoquez le public et l'administration, les amenez au comité du parti, à la police et si possible, à la cour.
Si vous êtes plus âgé, les accusez d'avoir violé les principes de respect pour les aînés, en cas d'égalité de l'âge, accusez d'avoir violé les principes de fraternité, et nécessairement, des principes d'internationalisme. L'efficacité de ces méthodes est prouvée par de nombreuses générations. Ainsi agissent tous les soi-disant «exploiteurs», motivés par la nécessité de maintenir les peuples dans l'obéissance. Le principal est d'accuser. Qu'ils se justifient. Celui qui se justifie est déjà à moitié coupable!
Si vous avez la possibilité, donnez à leur conduite une base politique, écrivez des délations et des lettres anonymes, accusez-les de comportement antisocial et de sabotage économique. Provoquer-les à la révolte contre l'autorité étatique, puis liquidez-les par l'autorité étatique. Le droit aux privilèges et vie tranquille ne reçoit que celui qui nous suit et va avec nous docilement. Toute personne qui veut suivre son cours indépendant est potentiellement dangereuse et doit être privée de tout soutien et des moyens de subsistance.
Ou notre ordre, ou la désorganisation complète. Là où l'on veuille se dispenser de nous, doit être le chaos! Faites de telle sorte que le désordre continue jusqu'à ce que les goys épuisés, en désespoir, nous demandent de prendre le pouvoir dans nos mains et de leur assurer une vie tranquille.
Les goys doivent travailler sous notre supervision et nous servir. Toute personne qui ne nous sert pas, doit être expulsée. Il n'y a pas d'intérêt public au-delà de nos intérêts! Celui qui n'est pas avec nous, celui-là est contre nous! Œil pour oeil! Dent pour dent! Ainsi Moïse a enseigné, ainsi nos ancêtres ont vécu. Donc, ainsi nous allons vivre. La vengeance est un sentiment sacré, il forme le caractère et raffermit l'homme. Arrachez-vous le sens de la soumission et de l'humilité à l'égard de nos offenseurs. Les slogans chrétiens de la clémence, de l'humilité, de l'abaissement et de l'abnégation, laissez-les aux goys stupides - c'est de cela qu'ils soient dignes.
Parmi les goys, prêchez, implantez les «vertus» chrétiennes, en restant intérieurement inconciliables et fermes. Soyez implacables à nos ennemis! Si vous les pardonnez une offense légère aujourd'hui, demain ils vous infligeront une offense forte. Ne vous habituez pas aux insultes et découragez les autres de vous insulter.
Laissez le goys persuader les uns les autres d'être prudents, modérés et flexibles à notre égard. Qu'ils contiennent notre assaut avec circonspection. Nous devons agir de manière décisive et rapide, en les plaçant toujours devant un fait accompli. Après, laissez-les mener de longues discussions infructueuses, ils n'ont pas d'armes contre nos méthodes. Laissez-les faire une chose par la décision volontaire, le temps qu'ils s'avisent, s'entendent et mettent en vigueur, nous effectuons dix autres affaires plus importantes. Que leur résistance nous sert d'incitation nécessaire, mais pas de frein. Nous avons besoin de leur opposition pour maintenir le moral et la disponibilité, mais pas plus.
Ne lâchez jamais la prise. Plus la résistance des goys est rude, plus nos coûts augmentent, plus considérables doivent être nos revenus et emmagasinage. Notre bénéfice actuel doit rembourser les pertes éventuelles dans les futurs pogromes qui se produisent de temps en temps dans chaque pays. Que les goys paient aujourd'hui pour le sien qu'ils reprendront quelque part.
Nous devons toujours être prêts à nous éloigner de la colère et la haine des goys, aller là où on aille nous accueillir, en escomptant revitaliser l'économie par nos capitaux.
La rotation des pays, en quête de meilleures conditions de vie, fait partie de notre stratégie. Ceci est le symbole du «Juif errant», Agasfer - optimiste intarissable et rôdeur éternel.
Mais nous devons partir, au besoin, non pas en pauvreté et maladie, mais en bonne santé et riches. L'argent, ce sont nos pieds.
Nous déplaçons notre centre de gravité à l'endroit où notre argent, notre capital est déjà transféré.
Raffermis dans les pays de diaspora, après avoir recueilli le tribut, nous nous réunions de temps en temps à la terre de nos ancêtres, afin de renforcer notre esprit, notre force, nos symboles, notre croyance en unité.
Nous nous rassemblons pour nous disperser de nouveau. Et ainsi à travers les âges.
Source La Tradition
Traduit par Olga (TdR)