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14/02/2019

 

Les constructeurs des révolutions (partie 2)

Partie 1

 

Les herbes n’ont pas encore couvert les champs de bataille en Europe après les guerres napoléoniennes, lorsque la franc-maçonnerie mondiale et le sionisme préparaient déjà un nouveau massacre pour les peuples d'Europe. Le clan sioniste des Rothschild, qui ont financé et financent presque toutes les guerres, révolutions, émeutes, insurrections et troubles, jouait un rôle particulièrement funeste dans la mafia internationale de ces vautours. Qui sont-ils donc, d'où sont-ils sortis au malheur des nations ? Mayer Amschel Rothschild, fondateur d'une dynastie singulière et sinistre de magnats de la finance, est né en 1743 à Francfort-sur-le-Main. Une grande famille de cinq fils a permis de créer un puissant empire financier. Le fils aîné Amschel travaillait avec son père à Francfort, Salomon fut envoyé à Vienne, Nathan - à Londres, Karl - à Naples et James - à Paris. C'étaient non seulement les capitales des pays les plus grands et des plus riches de l'Europe, mais aussi les centres financiers et commerciaux avec une immense diaspora juive.

 

En très peu de temps, avec le soutien actif des sionistes et des francs-maçons, et avec les capitaux de leur père Mayer, ils ont commencé à jouer un rôle décisif non seulement dans le domaine financier de l'Europe, mais aussi dans le domaine politique. L’une des caractéristiques de cette famille était la capacité de rester dans l'ombre des aventures qu'ils machinaient. L’histoire de l’accumulation initiale du capital par cette famille est gardée avec soin, elle est probablement mieux protégée que les réserves d’or des États-Unis à Fort Knox. Selon certaines données, on peut supposer que Mayer a débuté par le commerce de vieilles pièces de monnaie et a bientôt atteint la prospérité. Et puis comme cela arrive souvent, le hasard a aidé. Une fois, il a été visité par le prince Guillaume. Rothschild utilisa habilement un faible du prince pour la numismatique et gagna sa confiance en visitant le palais et en lui offrant les pièces de monnaie les plus anciennes à bas prix. C'était une tactique astucieuse pour se rapprocher du prince et de gagner sa confiance et ses bonnes grâces.

 

En 1806, lorsque les troupes de Napoléon pénètrent en Allemagne, ce fut le vieux Rothschild à qui Guillaume confia des importants documents, des archives, des objets de valeur et 3 millions de dollars. Ces richesses allaient constituer la principale fortune des Rothschild. Les dettes des autres États et des rois à Guillaume étaient énormes. Donc, Mayer envoya ses fils dans tous les pays pour recouvrer ces dettes. En vertu du contrat avec Guillaume, une partie des dettes recouvrées est allée aux Rothschild. Depuis 1810, la famille Rothschild n’est plus engagée dans l’achat et la revente de marchandises. Ils achètent et vendent de l'argent et de l'or.

 

Déjà en 1920-1930, décidant d'aller complètement dans l'ombre, pour que leur nom n'attire pas l'attention et pour embrouiller encore plus les traces de leurs transactions, fraudes et spéculations, la famille Rothschild décida de placer son capital dans la plupart des banques et entreprises du monde entier. Aujourd'hui [vers l'an 2000], personne n'est en mesure de déterminer pleinement la richesse de cette dynastie, mais de nombreux financiers dans le monde estiment que cette famille, via ses divers agents, détient environ 75 % de la richesse de l'Europe et de presque toute l'Amérique.

 

Le succès des Rothschild était dû au fait d’être hautement informés dans les domaines politique et économique. Pas étonnant, puisque les loges maçonniques et la diaspora juive enrobaient toute l’Europe. Ainsi, par exemple, Mayer Rothschild fut le premier à apprendre la nouvelle de la victoire à Waterloo et, avec une habile manœuvre, amassa une fortune colossale. Ce n'est pas pour rien que le philosophe Heine ait déclaré : « L'argent est le dieu de notre époque, et les fils de Rothschild et Rothschild lui-même sont ses prophètes ». À la fin des guerres napoléoniennes, Londres devient une capitale financière du monde, où affluent l'argent et l'or. Les fonds et les avoirs des banques londoniennes à cette époque s'élevaient déjà à 120 millions de lires, et par exemple les fonds des banques de New York - seulement 40 millions, de Paris - 13 millions et de l'Allemagne - 8 millions. L'étoile maçonnique à cinq branches de Salomon devient le symbole des cinq fils du millionnaire Rothschild.

 

Après que la famille Rothschild s'établit à la tête des banques européennes, il n’y eut pas un seul emprunt d'état, pas un seul emprunt de plusieurs millions de dollars, pas un seul grand projet international où l'un des Rothschild n'eût pas gagné. Même l'encyclopédie juive ne cache pas le fait que toutes les guerres napoléoniennes ont été financées par la famille Rothschild. James Rothschild, le plus jeune des frères, qui « hérita » la France, a pris part au couronnement et au renversement de tous les rois de France après Napoléon. Il a financé les Bourbons lors de la guerre d'Espagne de 1820, et en 1830, il renversa Charles X pour amener son ami Louis-Philippe au trône de France. James Rothschild devient immédiatement son conseiller économique et financier, et les frères obtiennent le monopole des prêts du gouvernement. L'argent fait la politique et la politique fait l'argent.

 

Cette famille a également préparé la révolution de 1848 en France, avec le soutien des jésuites en Allemagne. Les bouleversements sanglants de cette révolution ont balayé l'Europe. La Russie fut la seule, hormis bien sûr l’Angleterre, à avoir échappé à ces chocs grâce au ferme gouvernement de Nicolas I. Le fils illégitime de Nathan Rothschild, Napoléon III, est mis sur le trône français. Les loges maçonniques exécutent sans objection les ordres de cette sinistre famille. Le capital est tout. C'est pour ça que Pierre Proudhon, socialiste français, anarchiste théoricien, s’est plaint après la révolution de 1848 : « Nous n’avons obtenu que d'autres Juifs, ils sont restés au pouvoir, eux qui possédaient un capital... »

 

Pourtant, la vérité finit toujours par émerger. Leurs intrigues et leur rôle infâme dans tous les événements sanglants deviennent connus dans toute l'Europe, mais personne ne peut les arrêter.

 

L'incendie des bouleversements européens de 1848 a été soigneusement planifié et coordonné. En même temps, des révolutions ont éclaté en Espagne, au Portugal, en Italie, en France, dans tous les États allemands, en Autriche et en Hongrie ! Les actions si synchronisées dans des États éloignés les uns des autres, sur le continent entier, à l’époque où il n’existait aucun moyen international de communication, de transport et d’information, indiquaient clairement la présence de la direction centrale. Le futur premier ministre britannique Disraeli, un politicien assez informé, écrivait en 1846, deux ans avant ces événements : « Cette puissante révolution, en préparation à présent en Allemagne, se développe complètement sous la conduite de Juifs ».

 

Dans la seconde moitié du XIXe siècle, le capital sioniste et la franc-maçonnerie fixent un nouvel objectif : détruire, vers la fin du siècle, l'alliance militaro-dynastique de la Russie, l'Autriche et l'Allemagne (la Prusse) - l'alliance victorieuse de la lutte contre Napoléon. L’objectif principal était cependant de réorganiser les États européens à leur façon par suite des révolutions et des guerres. Pour commencer, ils ont décidé d'unir l'Italie sous la dynastie maçonnique de Savoie, et l'Allemagne - sous la dynastie maçonnique des Hohenzollern prussiens.

 

En Italie, le comte di Cavour, l'un des principaux francs-maçons d'Europe, devint une figure principale. En Allemagne, c’était Bismarck qui jouait le rôle principal, appuyé par son plus proche conseiller, le banquier juif Bleichreder, troisième personne de la hiérarchie maçonnique mondiale. La deuxième personne en franc-maçonnerie était Giuseppe Mazzini - le « directeur exécutif » de la franc-maçonnerie mondiale, qui était derrière di Cavour et toutes les machinations liées à l’Italie.

 

Le numéro un de la scène mondiale maçono-sioniste était l'Américain Albert Pike, « le Grand Maître de l'Ordre et le Grand Prêtre Souverain de la Franc-maçonnerie Mondiale ». Dans la littérature maçonnique, il est encore appelé « le pape noir » ou l’anti-pape, l'antipode du pape. Apparemment, pour son satanisme ouvert, le culte fanatique du luciférisme. Son satanisme est évident même dans une lettre adressée à Mazzini en août 1871. Il écrivit alors que trois guerres mondiales seraient nécessaires pour le triomphe total de la franc-maçonnerie : dans la troisième d’entre elles, le monde musulman serait détruit, après quoi « nous provoquerons un gigantesque bouleversement social dont les horreurs montreront le tort du manque de foi pour tous ; la minorité révolutionnaire sera détruite, et la majorité, déçue par le christianisme et aspirant à un idéal mais sans savoir où il est, recevra de nous la véritable lumière des enseignements de Lucifer qui pourra enfin émerger ouvertement. Ensuite, nous détruirons simultanément le christianisme et l'athéisme ».

 

En 1848, Franz Joseph, âgé de 18 ans, devient empereur autrichien. Et en 1849, Nicolas Ier, fidèle à ses obligations d'allié, écrase la révolution maçonnique en Hongrie, sauvant ainsi le trône et la vie à François-Joseph. Plus tard, ce dernier rendrait une trahison au tsar russe pour ce salut. En attendant, les franc-maçons, furieux de l'échec en Hongrie, forment une coalition pour se venger de Nicholas I. Les francs-maçons : lord Palmerston (le futur premier ministre d'Angleterre), Napoléon III - la marionnette des Rothschild, et le comte di Cavour - le premier ministre du royaume de Sardaigne et depuis 1861, le gouverneur de l'Italie unifiée, s’empressent de former une coalition avec la Turquie et envahissent la Crimée en 1853.

 

La Russie connut, pour la première fois dans son histoire moderne, une défaite et une humiliation graves. La trahison de François-Joseph qui avait avancé l'armée de 100 mille hommes jusqu'aux frontières de la Russie, accrochant les forces russes si nécessaires en Crimée, fut particulièrement frappante.

 

La trahison de l'Autriche était due au fait simple. Bien que le jeune François-Joseph se trouvât au trône, l'Autriche était gouvernée par Bombels qui exécutait toutes les instructions des Rothschild. Sa tâche était d’orchestrer un conflit entre la Russie et l'Autriche par tous les moyens possibles. Elles se sont disputées. Il restait l'Allemagne. Ils ont réussi là également.

 

À la fin de sa vie, Bismarck a enfin compris où ses amis maçonniques l’avaient amené, car la politique dont les franc-maçons l'imposaient, n’était pas dans l’intérêt de l’Allemagne et de son peuple. Il a finalement tenu compte de l’avis de son Kaiser Guillaume I qui a toujours été un ami de la Russie et qui a légué à son petit-fils, le futur empereur allemand Guillaume II et le roi de Prusse : « Accroche-toi à la Russie ! » Mais le petit-fils n’y a pas prêté attention... En 1887, la Russie et l’Allemagne ont signé un traité définissant la sphère d’influence de la Russie dans les Balkans et les droits aux détroits. Cependant, à l'expiration de la période de trois ans du traité, Guillaume II, le nouvel empereur d'Allemagne, suite à la manipulation intense des francs-maçons, ne l'a pas renouvelé et fut complètement passé du côté de l'Autriche.

 

La Russie a été contrainte de conclure une convention défensive avec la France, ce qui a entraîné son entrée non-naturelle dans une triple alliance avec la France et l'Angleterre. Les franc-maçons et les banquiers juifs ont ainsi rempli un objectif fixé pour la fin du XIXe siècle. L'union de la Russie, de l'Allemagne et de l'Autriche fut détruite.

 

 

Source La Golgotha de la Russie. Les conquérants, pages 57 à 63

Traduit par Olga (TdR)

 

Partie 3