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06/10/2017

 

Les fils de la Loge

 Une fille de la Loge. En 2008, Merkel reçut la Médaille d'Or de la logeUne fille de la Loge. En 2008, Merkel reçut la Médaille d'Or de la loge

 

Mikhaïl Poltoranine, qui était ministre de la presse et de l'information sous Eltsine, dans son livre « Le pouvoir en équivalent TNT. L'héritage du tsar Boris » soutient que des personnes qui sont au premier plan de la vie politique, surveillent la Russie, avec l'autorisation de la Loge B'nai B'rith (Fils de l’Alliance). Cependant, en réalité, on dirige ces personnes via un réseau mondial.

 

On rend de futurs politiques dépendants, on collecte le matériel les compromettant, on les promet des perspectives de carrière, les avantages à vie pour leurs familles, et on les enrôle. On les instruit dans des endroits comme Institut international pour l'analyse des systèmes appliqués (IIASA). Et on les supervise. Les dirigeants dépendants effectuent des instructions des financiers occidentaux membres de la loge. Tout le reste n’est qu'un théâtre au public, estime M. Poltoranine, ex-ministre de la Russie et chef de la commission d'enquête des archives du Parti communiste de l'Union Soviétique (PCUS).

 

D’après Poltoranine, très bien renseigné, il se trouve que tout ce que nous voyons n’est qu’une imitation - les élections législatives et présidentielles, la confrontation avec les États-Unis sur la défense antimissile, parce que les dirigeants du pays sont créatures de la Loge ; leurs enfants, épouses, domestiques, maîtresses vivent à l'Ouest (en particulier, pour servir d’otage). Les politiques ne sont pas en mesure, à leur gré, agir contre leurs « mentors » des États-Unis et l'Occident, donc, c’est une simple performance qui vise à détourner l’attention des peuples des réalités modernes comme la pauvreté, le sous-développement, etc., et à recevoir des super-profits des commandes militaires.

 

L'ancien secrétaire d'État américain Henry Kissinger, le milliardaire George Schwartz (connu sous le nom Soros) et plusieurs autres personnalités non-publiques sont considérés comme superviseurs des centres de personnel.

 

Kissinger a visité Poutine des dizaines de fois avant des événements importants. Pour la première fois, ils se sont rencontrés en 1991. La biographie de Poutine « À la première personne » dit : « Kissinger était l'un des rares, qui au début des années 1990, s'est intéressé à V. V. Poutine. Quand il est arrivé à Saint-Pétersbourg pour rencontrer Sobtchak, ce fut Poutine qui l'accueillit à l'aéroport... »

 

Kissinger a promis le début du « nouvel ordre mondial » sous Bush ( il a dit, « le problème principal de ce président est que sous lui, nouvel ordre mondial commencera... et ce ne sera que le début »), et puis le 9/11 est arrivé... Or, Bush désigna Kissinger pour gérer l'enquête sur les attentats du 11 septembre.

 

Déjà après la sortie de ce livre, le fils de Poltoranine, qui occupait le poste de secrétaire de presse au Service fédéral des migrations, fut licencié. Il est allégué que son fils avait dit à la corporation de télévision et radio britannique BBC que « c’est, au fond, la survie de la race blanche qui est en jeu, et en Russie cette question est tangible ». Le porte-parole du Service fédéral des migrations ajouta qu’il ne comprend pas la politique d'immigration des pays d'Europe occidentale, qui, à son avis, encouragent l'immigration en provenance d'Asie et de l'Afrique du Nord. « En Russie, il devrait en être autrement. Ici, il est nécessaire d'établir des relations de sorte que le mélange de sang aille dans le bon mode », - a dit K. Poltoranine.

 

Le chef de l'ONU en personne salua le licenciement du fils de Poltoranine. « Le Secrétaire Général de l’ONU Ban Ki-moon remercia les autorités russes pour le licenciement du porte-parole du Service fédéral des migrations (FMS) Konstantin Poltoranine ». Le porte-parole du FMS, déjà ancien, a dit que ses paroles ont été « retirées de leur contexte » et qu’il n'était jamais d’extrême droite.

 

L'une des principales tâches de l'Oligarchie mondiale est de faire main basse sur les ressources stratégiques mondiales et de créer artificiellement autant que possible de zones d'instabilité, y compris au moyen d'une nouvelle crise mondiale. Grâce à ses propres sociétés de médias, ils dictent, par le biais de notation, la politique de diffusion à la télévision, la forçant à servir Mammon. Pour des subventions, les mercenaires des nombreuses fondations, dispersées à travers la planète (telles que fondations Carnegie, Soros et d'autres), préparent pour l’état-major de la Ligue des listes d'ennemis idéologiques du Système global, condamnés au « supplice morale ».

 

M. Poltoranine : « Quant à Gaïdar, lui-même et tous ses copains du bloc économique du gouvernement de la Russie - Tchoubaïs, Aven, Shokhine, Yassine, Netchaïev et d'autres [acteurs de la perestroïka et des années 90], ont été formés, à la fin des années 80, à l’Institut international pour l'analyse des systèmes appliqués. Cette institution est un élément clé dans le système de la B'nai B'rith : on prépare les cadres supérieurs des pays soumis au contrôle de l'Ordre. Tout cela est détaillé dans mon livre. Gaïdar et sa compagnie ont apparu dans l’entourage de B. Eltsine juste avant l'effondrement de l'URSS, ils furent nommés pour diriger le bloc économique du gouvernement. Ils essayaient toujours de rester en dehors des autres ministres, ils avaient leur propre accès à Eltsine, tenaient sans cesse des conciliabules avec quelques Américains. On a vu que tous les jours, ces personnages gagnaient en force, devenant plus audacieux, accroissaient leurs intrusions dans les affaires des autres ministères et départements ».

 

- Comment se passait la mise en œuvre du plan, qui, selon vous, fut largement développé par notre élite et par les gens de Gaïdar formés à l’IIASA ?

 

On a commencé avec la destruction de notre économie de haute technologie. Saviez-vous qu'en 1972, nous étions presque en premier en production de micro-électronique : l'URSS a dépassé le Japon et rejoignait les États-Unis. Vous souvenez peut-être que quasi la première montre électronique fut présentée au secrétaire d'État américain Kissinger lors de sa visite en URSS. Les premiers fours à micro-ondes ont apparu chez nous ; on vendait les téléviseurs, un million par an, aux Français et aux Anglais, on avait des ordinateurs. Et soudain, en 1974, on a considérablement réduit le financement consacré au développement de la haute technologie, alors que les Américains, au contraire, ont jeté beaucoup d'argent dans cette industrie.

 

Et nous nous mîmes en dépense pour le transfert des cours d'eau du nord vers les régions du sud, puis le percement de divers tunnels dans le Nord, puis nous avons commencé à explorer les champs de pétrole et de gaz, poser des tuyaux à l'étranger pour vendre du pétrole. Autrement dit, nous avons jeté les bases de l'économie actuelle des produits de base. Et puis, quand cette affaire fut faite, il a fallu un homme qui aurait lancé l'effondrement du pays. Andropov mit en avant Mikhaïl Gorbatchev. Ils étaient de même contrée, région de Stavropol, ils s'étaient rencontrés fréquemment.

 

- Les pupilles de l’IIASA ont appris comment enterrer adroitement le grand pays ?

 

Oui, ils y en étaient enseignés. Elvira Nabioullina a étudié avec Gavriil Popov, il lui a tout donné. Ils sont tous de même farine.

 

- Dans son livre « Le pouvoir en équivalent TNT. L'héritage du tsar Boris » vous parlez de la B'nai B'rith et « l’Oligarchie mondiale ». L’institut dont nous parlons, est-il associé à ces groupes ?

 

- Il est toujours connecté avec le « Comité des trois cents » dont la partie exécutive comporte  B'nai B'rith et le groupe Bilderberg. D'ailleurs, le club a pris une décision, soit en 2006, soit en 2008 au Canada, de reloger, des pays de l'Est et de l'Afrique à l'Europe, environ 20 millions de Noirs et de représentants des peuples du Moyen-Orient. Et tout se passe comme il va en ce moment.

 

 - Pourquoi ont-ils besoin de provoquer une nouvelle « grande migration » ?

 

Ils ont besoin de créer le chaos dans le monde. Quand nous vivons ici en Russie depuis la naissance, - au Tatarstan, à Moscou ou à Saint-Pétersbourg, nous comprenons que la Russie est notre patrie. Nous sommes des patriotes, nos racines sont ici, et nous allons défendre la patrie. Et si on disperse, dans tous les États, des millions de personnes qui n’ont pas de racines, qui sont rôdeurs et ne se soucient pas où vivre et avec qui - alors, c’est tout autre chose. Dans ce cas, l'oligarchie peut facilement saigner à blanc la planète entière.

 

- Gorbatchev en son temps, lui aussi, contribuait à ces plans pour créer le chaos mondial ?

 

Gorbatchev fut chargé de commencer les réformes économiques, et il nous a mis, y compris moi, à la datcha de Staline pour écrire le programme de la perestroïka. Il y avait aussi, je me souviens, l’académicien soviétique Abel Aganbeguian et bien d'autres. Gorbatchev a commencé le processus de destruction par libérer complètement les entreprises, à savoir, il leur donnait des matières premières, l'argent, et en même temps promut une loi importante sur la création des coopératives auprès des entreprises soviétiques, des fabriques, des usines. Et voilà que les enfants des supérieurs qui géraient ces entreprises, ont commencé à créer un grand nombre de coopératives, de prendre des matières premières et envoyer à l'étranger. De cette façon, ils ont fait dérailler les prix, ont créé le déficit - et c’est ainsi que tout fut démarré. Mais cela ne suffit pas, il fallait trouver quelqu'un qui aurait mis un terme à l'Union Soviétique. Ce fut Boris Eltsine.

 

En 1990, j'étais à Prague, alors la Tchécoslovaquie. J'étais alors député de l'URSS. À Prague, lors de la conférence de presse avec moi, et on m’a demandé si Eltsine serait élu président du Soviet suprême de la République soviétique socialiste de Russie. Je leur ai donné un pronostic : Eltsine n’a dans sa poche que 23 pour-cent de démocrates au sein du Congrès, tandis que les communistes et les hommes du KGB constituent la partie principale. Donc, en théorie, il ne peut aucunement devenir le président. Mais, si un désordre se produit dans les coulisses, alors à la suite des intrigues secretes, il en devienrdait. Et c'est ce qui est arrivé.

 

Une fois Eltsine fut à la tête du Soviet suprême, il a immédiatement initié l'adoption de la déclaration d'indépendance, ce fut le premier coup. Par la suite, les républiques nationales ont également adopté les déclarations - et tout fut déclenché. Voilà ce qu'il en était, voilà quel est mon attitude à ce jour. Maintenant, je sais toute l'histoire. À l’époque, malheureusement, je ne comprenais pas grand-chose, je suis venu à l’autorité après avoir été rédacteur en chef du journal ; je me suis orienté, consulté de nombreux documents.

 

L’Occident apprécia les efforts de nos réformateurs. Gvichiani est devenu citoyen d'honneur de Houston (Etats-Unis), Gorbatchev - citoyen d'honneur de l'Allemagne. Eltsine est le résultat d'une collusion et les opérations préparées à l'IIASA.

 

- Quand avez-vous commencé à voir clair ? Vous êtes resté quand même longtemps membre de l'équipe d'Eltsine.

 

J’ai commencé à voir clair en 1992, au début de mon travail sur la déclassification des documents du PCUS, quand j'ai vu les premiers résultats de la privatisation. On m’appelait de tous côtés, même Nazarbaïev appela avec une question : « Que faites-vous donc ? » Le bloc économique du gouvernement gérait ses affaires dans le secret, et nous, qui n’étions pas inclus dans ce cercle, apprenions typiquement les résultats de l'extérieur. Par exemple, Noursoultan Nazarbaïev m’appelle :           « Pourquoi avez-vous arrêté de prendre des boulettes de fer du combinat d'extraction et d'enrichissement minier Sokolov-Sarbaï et usine de transformation ? Vous déglinguez ainsi votre économie ! » Je commence à l'interroger. Il explique qu'il avait appelé Gaïdar à ce propos, et celui-ci dit : cela ne vous regarde pas, nous voulons bien la déglinguer ! »

 

En gros, le « chaos contrôlé » est organisé pour que le capital « s'enfuie » des plus faibles aux plus forts. À présent aussi, les investisseurs en Grèce, au Portugal et en Espagne ont commencé à transférer leur argent vers l'Allemagne et d'autres grands pays de l'Oligarchie mondiale. Le célèbre théoricien Zbignev Bjezinsky a écrit : « Les diplômés des universités américaines se trouvent dans presque tous les gouvernements sur tous les continents ».

 

Au bout de 16 ans du travail de l’IIASA sur la formation des cadres pour le PCUS (sur la base de la « théorie de     convergence »), fut obtenu le premier résultat tout à fait significatif. Cet événement est passé inaperçu par les médias et le grand public. En décembre 1988, l'ouverture officielle de la Loge de l'Ordre Mondial B'nai B'rith eut lieu à Moscou. Les représentants du Comité central du PCUS, du Conseil des ministres et du KGB assistaient à la cérémonie. Le chef de l'Ordre est venu des États-Unis. Il était heureux de signaler que l'autorité du Kremlin autorisa les membres de son association des autres pays à visiter librement l'Union Soviétique. Il a même partagé quelques plans : à Leningrad, on commence un cours de karaté pour 150 membres prometteurs de B'nai B'rith. Comme nous le savons maintenant, dans le même temps fut lancée une évacuation massive des actifs de l’Union Soviétique vers l'étranger.1

 

Par exemple : comment on conduisait Gorbatchev ?

 

Gorbatchev était « conduit » par les représentants des services secrètes soviétique, Bobkov et d'autres, intéressés par le potentiel d'enrichissement non contrôlé des coffres de la « mère patrie ». Ils connaissaient ses vues, au fond, trotskystes - le cosmopolitisme « révolutionnaire » qui était en fait un déguisement de cosmopolitisme libéral. L'ancien président américain Ronald Reagan écrit dans ses mémoires que, à Reykjavik, il fut stupéfait d’apprendre de Gorbatchev sur le consentement de la partie de l'élite soviétique de l’époque, y compris Gorbatchev lui-même, à l'effondrement de l'URSS, et c’était aussi tôt qu'en 1986 !

 

En 1999, parlant de la tribune de l'une des universités américaines, Gorbatchev déclara : « Le but de ma vie était la destruction du communisme. C’est à cet effet que je l'ai utilisé sa position dans le parti et dans le pays. Lorsque j'ai personnellement pris connaissance de l'Occident, j’ai compris que je ne pouvais pas dévier de l'objectif. Et pour y parvenir, je devais remplacer toute la direction du PCUS et de l’USSR, ainsi que l’administration dans tous les pays socialistes. La voie des pays sociaux-démocrates était mon idéal à cette époque. L'économie planifiée ne permettait pas de réaliser le potentiel dont possédaient les peuples des pays socialistes. J'ai réussi à trouver des compagnons dans la réalisation de ces objectifs. Parmi eux, A. Yakovlev et E. Chevardnadze occupent une place à part ».

 

Cela signifiait jeter le pays, et en même temps, les autres pays du camp socialiste, dans les griffes des transnationales. « Le mal mondial » de notre temps - l’Oligarchie mondiale, l'emporta, avec la forme de manifestation de sa puissance, le globalisme, qui est le néocolonialisme de notre époque. La principale essence de la mondialisation, l'exploitation de l'homme par l'homme moyennant le principe du monde antique - diviser pour régner. Donc, le « milliard d'or » et les appendices des matières premières.

 

Il y a des raisons de penser qu’on a « aidé » Tchernenko à mourir en 1985, en poussant Gorbatchev au sommet du pouvoir. En 1988, on a fait quitter la scène la vieille garde communiste - Tchebrikov, Gromyko, Solomentsev, Dolguikh, Demitchev, Dobrynine et d’autres.

 

À en croire le livre de M. Poltoranine, on peut dire que toutes les personnes plus ou moins importantes de la politique de Russie (et non seulement) sont créatures de la loge. Bien sûr, on peut dire également que peut-être, Poltoranine lui-même fût un protégé du « gouvernement mondial » - au début des années 90, il était le ministre de la presse et de l'information, proche d'Eltsine ; puisqu'on l’a retiré de l’auge, il a écrit le livre en représailles, mais il n'en reste pas moins.

 

On trouvera ci-après quelques citations de ce livre (p. 122-125).

 

« Qu’est-ce la Loge ? Pour une meilleure compréhension de son rôle, faisons la comparaison avec le PCUS. Toutes les entités régionales du parti obéissaient au centre unique représenté par le Comité central. Dans le monde, il y a beaucoup de loges maçonniques nationales. Et comme pour le Parti communiste, il y a l'autorité centrale qui les domine, « Fils de l'Alliance ». C’est l’Internationale sioniste financière, le cœur et le noyau du monde de la franc-maçonnerie. Souvent, on ne l'appelle pas l'Ordre, mais le Système global, parce qu’un membre de l'ordre peut être franc-maçon ou pas, il peut être Juif, Russe, Anglais, Letton, Ouzbek, Polonais, pourvu qu’il professe des valeurs de l'ordre.

 

La loge fut formée à New-York par des originaires de l'Allemagne. Avec des décennies, elle prit de l’essor, écrasant par son poids les loges maçonniques, et à la fin du XXe siècle, est devint quasi un gouvernement mondial avec un vaste réseau de succursales dans le monde.


Aujourd'hui, personne ne peut devenir chef d’un État capitaliste sans obtenir agrément sur sa candidature des dirigeants de la Loge. Au dire des gens avertis, tout un chacun dans l'administration des États-Unis, de la Grande-Bretagne ou du Canada est membre de la loge. Il est donc clair que les activités des exécutifs du Système global comme la Commission trilatérale, du club Bilderberg et d'autres, sont étroitement liées au fonctionnement des services de renseignements occidentaux et en particulier, la CIA.

 

L’objectif est de faire main basse sur les ressources stratégiques du monde et de créer artificiellement autant que possible de zones d'instabilité, d’où va « s’enfuir » l'argent. Et faire main basse sur la finance mondiale, en particulier, l’argent du trafic de drogue et d’armes.

 

En même temps, les dirigeants de la loge ne manquèrent pas d'assurer la stabilité chez eux, dans les pays où ils vivent avec leurs familles, où sont leurs enfants et petits-enfants, où sont leurs propriétés et villas - principalement aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en France, en Allemagne, au Canada. Afin d'éliminer les révolutions et ne pas donner lieu aux fans de pogromes ou d’incendies criminels, ils ont établi là-bas un niveau de vie élevé, la soi-disant prospérité universelle. De gros salaires et pensions, des allocations et allégements généreux...

 

Mais pour maintenir ce niveau de vie, le capitalisme libéral s’est avéré insuffisant. Pas assez de chevaux-vapeur ! Les mêmes États-Unis consomment, depuis longtemps, beaucoup plus qu'ils ne produisent. Or, le PIB est gonflé au moyen des bulles boursières. Les Américains sont devenus une nation de resquilleurs - courtiers, banquiers, spéculateurs financiers, agents immobiliers... Ce fut la première phase de la mondialisation, inventée par les francs-maçons, qui les secourut - le drainage par les multinationales des richesses de l'Afrique, l'Amérique latine et de l'Asie du Sud-est. Pour desserrer le contrôle de l'État sur l'argent « souverain » dans les pays donateur, fut lancée la mondialisation des marchés financiers, ce qui a permis aux capitaux courir librement à travers le monde - fuir la réglementation et la fiscalité.

 

Vers le début des années 80, ce potentiel a fait défaut pour bourrer les poches des dirigeants de la loge et en même temps, fournir des bénéfices à leurs concitoyens. Aux États-Unis et aux autres pays du « milliard d'or », la tension commença à croître. Il leur fallait faire avancer plus loin les pompes d'épuisement de la mondialisation. Mais où ?

 

Il ne restait sur la planète qu'une seule zone que l'Ordre n'a pas encore maîtrisée - l'Union Soviétique, avec ses sphères d'influence en Europe de l'Est, en Asie et au Moyen-Orient. Cela signifiait que cette zone devrait être nettoyée, coupée en morceaux et inondée de chaos pour longtemps. Ainsi, on peut subsister pendant encore quelques décennies. Et puis, sous le couvert de la guerre contre le terrorisme, il faudrait transformer le libéralisme global en fascisme global. Et ensuite, commencer à réguler de force le nombre d'habitants sur Terre.

 

La pieuvre veut étendre ses tentacules sur tout le marché mondial et le gérer. Cette expansion se déroule sous le fort accompagnement de propagande. Une vaste structure de réseau, déguisée sous le nom de Ligue pour lutter contre la diffamation, l’assure. Il serait plus exact de l'appeler le Bureau mondial pour fabriquer la diffamation.

 

Débiliter mentalement les peuples condamnés à être dépouillés, par le biais du système d'éducation spéciale et de médias, falsifier leur histoire, imposer le sentiment de leur culpabilité envers l'humanité, attiser la haine entre des groupes ethniques, soudoyer les politiciens avides et discréditer les opposants - cette liste des manipulations de la Loge est loin d'être complète.

 

Et en même temps, ils cherchent leurs amis fidèles - pour leur utilisation ultérieure dans ce système. Depuis longtemps, le système est occupé de recrutement et formation des personnes concernées, possédant tout un réseau de centres de formation de leur personnel. Les experts du Système global intègrent ces personnes dans les gouvernements des pays riches en ressources avec des objectifs bien définis.

 

On considère comme superviseurs des centres de personnel l'ancien secrétaire d'État américain Henry Kissinger2, le milliardaire George Schwartz (Soros) et Chaul Eisenberg (après lui, David Ruben).

 

On apprend les agents préalablement infiltrés à générer des circuits complexes de flux financiers, pour qu’il soit quasi impossible de comprendre, où les capitaux sont partis et à qui ils appartiennent. On leur donne de bonnes compétences pour transformer un pays industrialisé en une province de matières premières moyennant les mécanismes destructeurs de quasi privatisation, les obligations d'État, les pyramides financières et la stérilisation des accumulations budgétaires dans les soi-disant fonds de stabilisation.

 

Parmi ces centres de personnel, le plus connu est l'Institut international pour l'analyse des systèmes appliqués (IIASA), logé dans un château Laxenburg près de Vienne... »

 

Guerman Berguer

Article original vesti.lv

Traduit par Olga (TdR)

 

1Paragraphe ajouté, du même livre

2 En 2016, Kissinger est devenu académicien de l'Académie des sciences de Russie (avec six autres prix Nobel étrangers). Il   reçut le titre d'académicien « pour l'étude des problèmes mondiaux », selon tass.ru.