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La philosophie de Bilderberg

Posté le 02/01/2016

Qui nous dirige

Dans le monde renversé, les choses qu’on a faites visibles et tapageuses, passent pour la réalité, alors que la réalité vraie est cachée et dissimulée. On nous fait considérer ce que vraiment détermine notre vie comme quelque chose de marginal et peu important.

 

Le principe de l’Argent Dette

 

Il y a une Banque Centrale et il y a une banque; la Banque Centrale distribue son «argent» (les symboles) aux banques. La banque sert d'intermédiaire entre la banque centrale et nous. La banque prête à l'intérêt ces symboles au client (nous), et nous les utilisont comme moyen d'échange. Le truc est dans le facteur temps. De notre point de vue, la chose est l'argent, elle est pour payer la vie et sert relativement à court terme. La Banque Centrale ne fait ni donne rien. Mais elle reçoit notre obligation de rembourser le «crédit», le principal et l'intérêt, par notre travail et nos ressources matérielles. La Banque Centrale crée toujours plus de son «argent», pour que nous puissions rembourser l'intérêt, par notre travail.

 

Ainsi, l'Argent Dette représente la servitude légale qui est possible grâce au fait de l'ignorance de l'asservi. À long terme, la Banque Centrale acquiert sous son contrôle l'ensemble des ressources, technologies et moyens à gouverner. Donc, dans la logique de l'Argent Dette l'existence d'un seul et unique centre de direction est inévitable, car il n'y a qu'une Banque Centrale, avec un nombre de ses filiales - anciennes Banques  Nationales.

 

Pour illustrer, l'évolution de la masse monétaire de dollars:

 

La quantité de la monnaie fiduciaireLa quantité de la monnaie fiduciaire

 

La dette américaine à l'échelle logarithmique:

 

La dette publique officielle des États-Unis en 100 ansLa dette publique officielle des États-Unis en 100 ans

 (En 1944 le dollar est devenu la monnaie de réserve mondiale.)


Est-ce rationnel, ce que les graphiques démontrent? Pour une personne normale, non. Pour ceux qui l'avaient fait - bien sûr, car c'est le transfert du contrôle, pur et dur, aux émetteurs de la dette. La Banque Centrale est devenue un Centre du Pouvoir.

 

Le groupe Bilderberg et la philosophie

 

L'histoire de l'argent et des banques supposait de faire de l'argent une chose de plus en plus virtuelle. Alors, si la tromperie est la gestion de la conscience psychologique, voilà l'idée: gérer la conscience de la masse grise de gens. Leur donner des politiques et autres distractions, comme un hochet au bébé. Leur faire vouloir et valoir ce qu'est nécessaire pour le passage aux étapes suivantes du plan. Conduire leur comportement. Pour cela, les affaiblir est désorienter. Manipuler avec la transposition des sens et substituer les notions. Exploiter les émotions. L'esclave idéal n'a pas d'identité, c'est un robot. Donc, supprimer tout ce qui est vrai, authentique, saint - bref, tout ce qui est humain.

 

Bilderberg comme un des organismes représentatifs du système néo-féodal au sein duquel nous nous sommes trouvés est un groupe autant réel que secret. Il a pour but le monde sans les états-nations, avec un gouvernement mondial. Le film raconte l'histoire du groupe top secret qui, pour quelques raisons, réunit dans une collusion harmonique les ministres, les princes, les chefs de grandes banques, les chefs des médias, les chefs militaires et les chefs des corporations technologiques. Ces gens contrôlent la plupart des richesses du monde. «La presse fait un déluge aux cérémonies du prix Oscar, mais ne porte aucun intérêt quand les personnes les plus influentes du monde se réunissent», dit un des participants du film. Ce sont eux qui accordent les suffrages aux invités destinés aux fonctions publiques. Le grand public fait donc son choix parmi les candidats déjà présélectionnés.

 

Depuis 2010 le groupe a son site officiel où il se présente comme «groupe flexible et informel». La liste de participants est publiée chaque année. J'ai vu une fois la liste de 2013, il y en avait pas mal de noms français.

 

Un autre participant du film raconte que la philosohopie de Bilderberg repose sur trois principes maçonniques.  Le premier est le nominalisme, qui dit qu'il n'y a pas de vérité, chacun a sa vérité et elle est évolutive, aujourd'hui l'une, demain l'autre. Le deuxième est le naturalisme, qui dit qu'il n'y a pas de religion révélée. Le troisième est la primauté de l'homme: l'homme est au centre de toute chose - tandis que dans le catolicisme, Dieu est centre de toute chose, l'homme est créature de Dieu.

 

Cependant, les membres de Bilberberg, aussi bien que leurs engagés et recrutés, sont trompés à leur tour. Tels des trompeurs trompés. Si, par exemple, un banquier a accumulé une partie majeure de l'or, il promeut le standard or, avantageux pour lui. De même, les banquiers propriétaires de la Fed, étant au  sommet de la pyramide, imposent les pseudo-valeurs de l'acquisition de richesses et du pouvoir, pour retenir la cohérence de leur structure en service. Mais cela ne rend jamais heureux quiconque, le contentement d'acquisitions ne fait pas de bonheur. Un grand vainqueur se voit vaincu par soi. L'homme est créateur en soi, il est heureux quand il donne et se donne, il est dans son élément de s'ouvrir pour les autres, ça fait la raison d'être et la façon d'exister.

 

Il est à ajouter que dans son opération Boeing MH17 la bande s'est montrée assez idiote.

 

Les Bilderberg, lisez «Le nœud de vipères» de François Mauriac, c'est pour vous.

 

 

Amicalement

Olga de TdR