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25/06/2019

 

Barabbas élu

 

Extraits de certains ouvrages pour compléter la vision de la révolution de 1789 (et après) en France, et le commentaire

 

L’historien Vadim Koginov (1930-2001), dans son livre Russie, le XX siècle, a écrit sur les victimes de la révolution en France :

 

Pendant un quart de siècle avant le début de la Restauration en 1814, la Révolution française dévora, selon diverses estimations, 3,5 à 4,5 millions de vies humaines. Le chiffre peut paraître pas si énorme si  l’on oublie que la population de la France était alors 6 à 7 fois inférieure à celle de la Russie à l’époque de sa révolution (et par conséquent, la mort de 4 millions de Français correspondait à celle de 25-30 millions d’habitants de la Russie) et qu’il n'y avait pas de moyens d'extermination à la fin du XVIIIe siècle que le « progrès » a créé au XXe siècle...

 

Selon le célèbre spécialiste dans le domaine de la démographie historique B. Urlanis, « cette perte était si importante que la nation française n'a pas pu pas s'en remettre, elle causa le ralentissement de la croissance démographique en France au cours des décennies suivantes ». En effet, au moment de la révolution, la population de la France était de 25 millions, de la Grande-Bretagne - 11 millions, de l'Allemagne - 24 millions ; et à la fin du XIXe siècle, respectivement : 38 millions, 37 millions et 56 millions ; c'est-à-dire que la population de l'Allemagne augmenta de plus de deux fois, de la Grande-Bretagne - même de plus de trois fois, et de la France - seulement de 50 %...

 

Dans les paragraphes précédents, V. Koginov cita l’ouvrage fondamental de Thomas Carlyle daté de 1837, qui raconte des atrocités monstrueuses dont je ne suis pas en mesure de reproduire la description.

 

Oskar Jäger (1830-1910), historien allemand, est l’auteur du livre Histoire mondiale. Le chapitre Grande terreur démontre une ressemblance frappante avec la terreur commise après la révolution de 1917 en Russie.

 

La persécution des suspects, de vrais aristocrates - inexistants, selon les révolutionnaires - recommença. On pourrait appeler le 5 septembre 1793 le début de la terreur systématique ou organisée. La députation des conseils de communautés présentait à la Convention une demande de terreur. Une armée révolutionnaire de 6 000 hommes, et 1 200 hommes d'artillerie, un tribunal bien payé et un échafaud - tout cela, se déplaçant à travers la France, devait éradiquer les conspirateurs contre la révolution. La loi contre les suspects apparut le 17 septembre ; il suffit de citer le troisième paragraphe selon lequel quiconque n'a pas reçu de certificat de loyauté civique était reconnu comme suspect.

 

Vient ensuite le chapitre Abolition du christianisme qui dit :

 

Le 13 novembre 1793, le clergé a reçu l'ordre de renoncer au christianisme. L'évêque constitutionnel de Paris Gobel a déjà publiquement abjuré dans son diocèse. Deux églises ont été dévastées le 21 novembre, les vases sacrés furent chargés sur les ânes et emmenés à la Convention. Inutile de dire que beaucoup de bijoux ont disparu sous des prétextes si pratiques pour le pillage le plus éhonté. Les cloches des églises ne sonnaient plus, et dès lors, le commissaire de la commune accompagnait les corps des morts au cimetière.

 

Chapitre Départements :

Lyon a été condamné par décret le 12 octobre à la destruction. Son nom même a été détruit et les maisons survivantes ont été nommées Ville affranchie. Sur la prairie près d’Angers, 2 700 victimes furent mitraillées. Il n’y avait pas de mots dans la langue française pour des horreurs sans précédent et elle s'enrichissait de nouvelles expressions : mitraillades, fusillades, noyades.


Une large ceinture de flammes entoure toute la Vendée : les villages et les réserve de céréales disparaissent en flammes. Pas étonnant qu’au printemps 1794, dans de nombreux endroits, on forçait les gens à travailler dans les champs sous peine de mort. Les meurtres étaient accompagnés de tant de crimes que l’Europe s’est indignée de ces gens de sang qui, selon la remarque judicieuse de Macaulay, ont commis en six mois plus de vilaines choses que tous les rois - les Mérovingiens, les Carolingiens, les Capétiens en six siècles ! ... La grande majorité de la population se soumettait, avec des malédictions, à la domination sauvage du parti relativement petit.

...L'homme tombe complètement sous le pouvoir des ténèbres lorsqu'il remplace les concepts éternels par des concepts et des forces terrestres et ose leur donner un caractère quasi-divin. Alors il obéit aux mots et devient dépendant d'eux, la phrase la plus sublime se mêle avec les motivations animales de l'homme, et tous les concepts sont confondus - l'esclavage est appelé la liberté, l’avilissant - l’honnête, le vice - la vertu, le diabolique - le divin.

 

Enfin, le livre Les juifs dans la révolution française écrit en 1889 par l’abbé Lemann, très bon livre, utile pour comprendre l'histoire. Le jugement de l’auteur n’était pas toujours exact vu l’horizon limité de l’époque. Aujourd’hui, nous pouvons tout voir en perspective.

 

Deux faits d'une incalculable gravité se juxtaposent au début de la Révolution française: le renvoi du Christ et l'admission des juifs. L'épisode le plus calamiteux de la Passion, source d'ignominies et de désastres pour le  peuple d'Israël, a été la préférence donnée à Barabbas sur Jésus. ...

Au royal fils de David, n'ont-ils pas préféré un voleur; au sceptre, n'ont-ils pas préféré des fausses clefs ?

 
« La Révolution fera le tour du monde », annonce, un jour, Mirabeau.
 
Le genre humain, leur victime ! C'est ce grand meurtre, en effet, qui se préparait et allait commencer en 1789.
 
À l'écart se tenait un personnage assez silencieux d'habitude, qui passait pour appartenir aux sociétés maçonniques et en connaître les secrets. Mais pourquoi donc une constitution écrite ? disaient les membres de la droite; la France en possède une que les  siècles ont faite peu à peu et dont elle se trouve fort bien. L'Angleterre seule a une constitution nettement formulée, répondaient les partisans des idées nouvelles... La conversation continuait sur ce ton, quand le personnage silencieux se leva et prononça d'un ton assuré les paroles suivantes : « Nous n'avons pas besoin de constitution, c'est vrai; mais nous allons en avoir une, et cette constitution fera le tour du monde. Elle ira jusqu’en Russie, jusqu’à Constantinople. »

 

Les juifs ont maintes fois déposé à l'Assemblée la requête pour devenir citoyens. L’enjeu, c'était ni plus ni moins que le monde entier avec tout ce qu’il contient. Et ils l’ont obtenu.

Les meneurs parmi les juifs, dont les principaux étaient Cerfberr, Berr-Isaac-Berr et le  bataillon des juifs parisiens, redoutaient extrêmement l'émancipation graduelle, ses réserves et ses tempéraments. Leur plus important mémoire, adressé le 28 janvier 1790 à l'Assemblée constituante, la réprouve et la combat avec vivacité:

 
« En retardant le moment de la civilisation pour les juifs, vos tempéraments auraient pour objet de leur donner des lois particulières... Mais, nous le disons hautement: plus on ferait de ces règlements particuliers, et plus on fortifierait la ligne de démarcation qui a existé jusqu'à  présent entre les juifs et les chrétiens; tandis que les efforts communs doivent tendre et l'effacer entièrement. »

 

La requête des juifs renferme une formule parfaite qui exprime l’essence même de la révolution, tout en indiquant l’origine du mot civilisation employé si souvent aujourd’hui. La révolution écrasa la civilisation chrétienne et constitua à sa place la civilisation juive, apparemment païenne, mais de plus en plus satanique.

 

La Déclaration des droits de l’homme instaura les droits égaux pour les loups et les brebis, avec toutes les conséquences qui en découlent. Très vite, les loups furent les propriétaires et les bergers des brebis et établirent les lois pour les brebis, la première étant : les loups n’existent pas ; s’ils existent, ce sont les mêmes brebis, seulement les plus pauvres et humiliés ; et ne prononcez point ce mot, sinon vous êtes antianimalier. L’humanité, avec la cervelle mise à l’envers via les « philosophes », fut tournée en bétail humain conformément à l’idéologie talmudique.

 

La révolution juive de 1789, longuement préparée, abrogea la vérité. Ce fut une étape clé dans le projet du satan, lorsque la Matrice a été fondée, le tombeau : ci-gît l’humanité. C’est ainsi que les juifs et le satan, les fils de la rébellion, ont volé le genre humain à Dieu.

 

 

Rédigé par Olga (TdR)

 

 Partie II