20/06/2018
Essai sur une île et résultat
Préface. Le 24 mars à la mairie de Moscou, avec le soutien du gouvernement de Moscou (!) eut lieu un congrès des sorcières pour leur légalisation. [1, 2] L’événement se déroulait autour du bureau en forme de cercueil ouvert.
La dépravation en Europe et ailleurs, une fois les autorités ont artificiellement mis en place l’homosexualisme, va être développée davantage sous les slogans jésuites officiels. En Russie, ils vont faire peu à peu le même, avec un certain différé et des mouvements tournants tels que les « stratégies pour les femmes », etc. (Comme sous le tapage du championnat footballistique, ils adoptent le relèvement de l'âge de la retraite, ce qu’ils ont fait en France il y a quelques années.) Ce que la mafia officielle vend comme « les droits de l’homme », « liberté individuelle » et « tolérance », n'est autre que le satanisme étatique. Le résumé d’après le livre, présenté ci-dessous, peut aider à en prendre conscience, car ce qu’ils promeuvent actuellement à l’échelle mondiale, fut testé sur une île isolée.
Il y a environ une centaine d'années, apparut un livre remarquable à demi-documentaire Les satanistes du XXe siècle sur la tentative de construire un temple maçonnique en Martinique dans la ville de Saint-Pierre. Le livre est écrit par l’ épouse d'un des chefs du renseignement militaire de l'Empire russe, la princesse E. A. Chabelskaïa-Bork. Les journaux de l’époque dissimulaient les circonstances de l'éruption du volcan qui détruisit la ville complètement. Or, cette éruption est comparable à celle de Pompéi : selon les estimations, elle a fait de 30 à 100 mille de morts. Le livre montre très clairement les effets de l’expansion de la pieuvre de franc-maçonnerie, créature de B'nai B'rith, et ses véritables objectifs.
***
Jusqu'à présent, toutes les circonstances de la terrible destruction dans l'île de la Martinique en 1902 sont couvertes de mystère impénétrable. Cela fut assuré par ceux qui ne voulaient pas que la divulgation des circonstances éveille aujourd'hui la conscience chrétienne, qu’elle rende pensifs les esprits croyants - et voici que toutes les grandes agences de presse, les principaux journaux de tous les pays et de tous les peuples sont silencieux, et nous saurons seulement ce que nos ennemis auront trouvé pour utile ou, du moins, sûr. Cependant, voici ce que nous avons appris, à titre privé, plusieurs années après les événements incroyables qui étaient annoncés au monde entier déjà le lendemain.
« Un merveilleux lopin de terre, - écrivait en 1902 le journal Kolokol, - petit coin de paradis sans le fléau commun du sud - serpents, scorpions et autres créatures venimeuses, l’île de la Martinique fut passée depuis longtemps entre les mains des pharisiens, disciples du faux prophète Akiba, comme Alger, la ville tout aussi belle. Dans la ville de Saint-Pierre anéantie par Seigneur en colère, les pharisiens et sadducéens exerçaient la domination. Ils construisaient déjà un nouveau « temple de Salomon ». J’ai rencontré une Allemande, dit l'auteur, qui avait vécu 15 ans en Martinique et quitta Saint-Pierre deux jours avant la catastrophe... « Les gens de toutes les classes et conditions se sauvaient, de riches propriétaires terriens jusqu'aux pauvres travailleurs. Tous qui fuyaient n'étaient pas chrétiens croyants. Tous savaient qu'ils ne verraient plus Saint-Pierre, que la capitale des pharisiens où existait ouvertement un temple du satan, où le culte luciférien ou le satanisme était reconnu comme une religion autorisée, était condamnée à mort. Un intolérable sentiment d’angoisse et d'horreur chassait tous, et beaucoup étaient effarés de visions d’une similitude juste incroyable. Il faut appeler l'attention au fait que toute la presse européenne restait obstinément silencieuse ». (Kolokol № 1417)
En 1902, une terrible tragédie éclata sur ce merveilleux morceau de terre. Le volcan Mont Pelé, soudain réveillé, détruisit complètement la ville de Saint-Pierre. Selon les paroles des contemporains, c’était la ville la plus insolite et belle parmi les villes des Antilles. Elle était construite entièrement en pierre. Personne ne pouvait imaginer qu'en quelques minutes, la ville en pierre serait rasée au sol.
Quelle était la cause de la colère de Dieu ? Saint-Pierre devait devenir un centre maçonnique et satanique. Les francs-maçons y triomphaient et érigeaient un nouveau « Temple de Salomon ».
Saint-Pierre était situé dans la partie nord de l'île, au bord de la mer, à 8 km du volcan Pelé, dominant la Martinique à la hauteur de 1397 mètres. Le volcan ou montagne Pelée avait deux cratères remplis d'eau. Extérieurement, ils représentaient deux lacs. La crête entourant le cratère éloigné, avait un évidement en direction de la ville.
En 1851, la grâce de Dieu a miraculeusement arrêté le flux de lave ignivome sur le plateau au-dessus de la falaise. Cette année-là, les gens affolés s'assagirent. La majorité des gens se sont précipités dans les temples. Et il n'y eut pas de victimes ni de dégâts. En l'honneur du salut miraculeux, fut érigée une statue de la Reine des Cieux avec les bras tendus vers la ville.
Cette Madone de montagne est devenue vénérée comme patronne et protectrice de l'île en général et de la ville de Saint-Pierre en particulier. En effet, même les terribles cyclones, qui avaient si souvent dévasté la Martinique dans le passé, devinrent plus rares et modérés, épargnant Saint-Pierre. En raison de cela, l'ensemble de la population était convaincue que la ville de Saint-Pierre va se tenir et prospérer tant que la Madone de montagne la protège et bénit de la hauteur du Mont Pelé. Saint-Pierre fleurissait tranquillement au pied du volcan, et le terrible avertissement, comme c'est souvent le cas, fut vite oublié.
La décision de construire un nouveau temple de Jérusalem fut prise lors de la réunion régulière du Grand Sanhédrin à Berlin, peu de temps après l'incendie à San Francisco qui détruisit le temple construit par les francs-maçons américains - et avec le temple, neuf dixièmes de la ville gigantesque.
Selon les prévisions des kabbalistes, le messie attendu devait être né en 1902. Il fallait avoir un temple pour son avènement au trône. Il fut décidé de choisir la Martinique, la colonie française, pour la construction du temple.
Bientôt à Saint-Pierre, dans la synagogue locale, eut lieu une réunion secrète du grand Beth-Din - le conseil d'Israël. Toutes les trois instances du gouvernement secret du peuple israélien - le grand Sanhédrin, ayant son séjour à Londres, le gardien du trône d'Israël qui a choisi Paris pour sa résidence, les grands-maîtres de la franc-maçonnerie à Rome, - avaient donné des instructions aux représentants du congrès international. La question principale était la pose des fondements du « temple de Salomon » à Saint-Pierre.
Seul un tzadik âgé de 107 ans, un vieux talmudiste qui passa cent ans complets aux études des lois et de la science secrète des hassids - la Kabbale, mit en doute le succès de l'affaire... Il rappela les tentatives précédentes pour reconstruire le temple de Salomon, soldées par un échec, et dit :
« Je sais que la situation des Juifs est améliorée. Le travail secret mais infatigable de la franc-maçonnerie a fait son affaire. La révolution française, organisée par lui, a donné les droits égaux aux Juifs en France, comme la révolution américaine nous a donné l'égalité en Amérique. Tourner cette égalité en suprématie réelle ne fut pas difficile à l'esprit juif, et aux XVIIIe et XIXe siècles, les victoires juives sont devenues si évidentes que nos anciens les ont reconnues comme une indication claire de la miséricorde de Dieu et ont décidé de construire notre temple à nouveau. Mais les tentatives ont échoué... Si toutefois le temps est venu pour Israël d'émerger comme un seigneur sur tous les peuples, un souverain redoutable soulevant le fléau au-dessus des esclaves-étrangers, alors pourquoi se cacher sur l'île lointaine ? Ne serait-il pas plus digne de célébrer la victoire à Jérusalem et d'y renouveler le temple de Sion ? »
Malgré tout, la pose solennelle de la première pierre du temple maçonnique s’est tenue. Pour la première fois après la destruction de l’ordre des templiers, se firent entendre, ouvertement et publiquement prononcées, les formules de consécration du futur bâtiment au « grand architecte de l'univers » - le nom dont la foule ignorante, aussi bien que les francs-maçons des premiers degrés d’initiation, comprenaient comme le vrai Dieu, tandis que les initiés des hauts degrés y entendaient le sinistre seigneur des ténèbres et du mal - Lucifer.
Dans la lointaine colonie française, au milieu de l'administration républicaine, presque totalement favorable à la franc-maçonnerie, il n'avait rien à craindre. D'innombrables bannières reluisantes portaient des slogans de loges maçonniques et des symboles mystérieux dont le vrai sens n’était clair qu'aux initiés... Les figures symboliques sur les bannières maçonniques qui paraissent si simples aux non-initiés, sont cependant d’une valeur terrible pour les initiés. Peu à peu, les francs-maçons accoutument les chrétiens à la contemplation de leurs symboles que personne ne remarque plus.
Après la cérémonie officielle de la pose des fondements du temple maçonnique, où pouvaient assister, sans y voir rien de mal, les autorités et la presse, de nuit, dans la salle souterraine du bâtiment principal du futur édifice, se déroulait une scène épouvantable de la dédicace de ce bâtiment à satan. Ce temple souterrain représentait un spectacle horrible. Chaque détail ici était un abominable sacrilège, chaque ornement, une profanation répugnante de la foi chrétienne... Hélas, ces turpitudes existaient non seulement en Martinique, mais existent encore dans de nombreux endroits. Et non seulement dans des endroits reculés et peu connus, mais aussi dans les centres de la civilisation en Amérique, dans les capitales européennes - Paris, Londres !
En France, l'existence des temples de satan a été depuis longtemps prouvée par des protocoles de la police qui a bien des fois traqué ces cachettes de la débauche, du crime et du sacrilèges dans les galeries sans fin des dites « catacombes » qui forment un vaste réseau partout sous Paris. Des dizaines de fois, les enquêteurs judiciaires français, britanniques et américains étaient à deux pas du dévoilement de toute la vérité. Mais chaque fois, l’influence secrète des francs-maçons omnipotents intervenait vite, et l'enquête était cessé.
Dans le temple souterrain de Saint-Pierre, furent rassemblés plusieurs dizaines des plus illustres prédicateurs du satanisme, habilement déguisés par les professions les plus anodines.
Dans ce temple de satan, le triangle maçonnique dirigé vers le bas, qui se répète dans toutes les « chapelles » secrètes des templiers reconnus coupables de « magie noire et de l'idolâtrie », soulignait l'unité des « francs maçons », successeurs des templiers, avec des admirateurs ouverts du mal - les lucifériens et satanistes.
Le rideau jaune s’ouvrait très rarement. Même les initiés des degrés les plus élevés n’ont pas tous vu la figure mystérieuse de Baphomet, cachée derrière le rideau, sous le couvert de qui les templiers adoraient satan. La masse des francs-maçons des degrés plus bas, qui ignoraient l'unité de la franc-maçonnerie avec le satanisme, n’étaient même pas au courant de ce qui se cachait derrière le rideau mystérieux. Avec une terreur craintive, ils entendaient les prophéties qui en étaient issues dans les cas particulièrement importants.
Pour les abjects adeptes de la magie noire, le sang humain innocent est nécessaire, et les maussades kabbalistes, qui avaient échangé la pure loi de Moïse contre les méchantes « lois » du Talmud, ont hérité la terrible superstition des idolâtres primitifs, gardant cet enseignement jusqu’à notre époque. Cependant, dans les cas où il est dangereux de commettre les meurtres, ils sont remplacés par une simple « messe noire », le rituel où étaient organisées, au lieu de sacrifice sanglant humain, la profanation des symboles sacrés et les cérémonies sacrilèges, avec les « victimes » qui ne donnaient que leur honneur féminin, parfois même volontairement.
Dans d'autres cas, furent commis des sacrilèges odieux et la profanation du saint sacrement, si les scélérats avaient réussi à le voler. Les francs-maçons nourrissent la haine la plus farouche, la plus implacable envers toutes les religions en général, et au christianisme en particulier.
Les journaux et les magazines, qui étaient tous dans leurs mains, prêchaient ouvertement la nécessité de déclencher une guerre sans merci contre la « superstition pernicieuse », comme ils appelaient la foi en Dieu. Les soirées « philosophiques et morales » (impies et immorales) organisées par les francs-maçons, avaient un grand succès. Les jeunes se précipitaient aux conférences des « célèbres » prédicateurs de négation et d'incroyance, qui se terminaient par la danse. Le lycée féminin maçonnique avait un double jeu d'élèves. Presque tous les établissements d'enseignement pour les garçons ont passé définitivement au pouvoir de la franc-maçonnerie. Le clergé était activement et avec succès supplanté de partout. Dans les hôpitaux, les « sœurs de charité » furent remplacées par le personnel engagé. Dans la prison pour femmes, on a expulsé les religieuses modestes qui servaient les pauvres femmes qui tombent en prison, et qui avaient sauvé beaucoup de ces brebis égarées.
En bref, dans la colonie, se passait le même qu'en France métropolitaine (mais là, à beaucoup plus grande échelle). Comment savoir quelles scènes terribles auraient pu voir de belles fines colonnes entourant la « cour du sacrifice », si le Seigneur, de Sa main puissante, n’avait pas détruit les constructeurs ensemble avec la construction...
Trois ans s'écoulèrent. En apparence, rien n'a changé dans la belle Martinique et dans la luxueuse ville de Saint-Pierre. L'air était doux, l’océan bleuissait autour de l'île heureuse, les étoiles scintillaient dans le ciel transparent au-dessus du pays béni de Dieu.
Pour les visiteurs occasionnels qui venaient en Martinique sur l'un des luxueux navires à passagers « Veloce », Saint-Pierre restait une ville chrétienne. Les églises catholiques existaient encore et ouvraient leurs portes pour le service divin. Mais il suffisait de passer deux ou trois mois à Saint-Pierre et d'apprendre un peu plus près le comportement et les attitudes de ses habitants pour voir que le christianisme reste une simple enseigne, un déguisement qui cachait le vide spirituel. Chacun inventait une religion à son goût. Chaque secte trouvait des disciples et construisait ses temples et chapelles. Et ils avaient tous les mêmes droits, la même « protection des lois ».
La loi autorisant le mariage des chrétiens avec les personnes juives et païennes, passée au parlement de Paris, fit son affaire de destruction. La famille se détruisait avec une étonnante rapidité, le foyer n’existait presque plus... toutes ces croyances disparates restaient en paix et harmonie seulement en raison de l'indifférence générale à toute religion... Les athées, les non-croyants dans l'existence même de Dieu, étaient les plus nombreux, puisque croire en quelque chose d'autre que le plaisir, est devenu ennuyeux et sans intérêt. Le besoin inextinguible de la foi qui vivait, malgré tout, dans l'âme humaine, les gens dévoyés essayaient de le satisfaire avec les sciences dites « occultes », qui promettaient de percer les mystères de la vie après la mort et les fondements de l'univers, mais en fait, n'ouvraient que les « mystères » de la dépravation, de la criminalité et de l’opposition à Dieu.
La franc-maçonnerie triomphait. Non seulement elle ne se cachait pas, mais soulignait pleinement son influence, prenant possession de tous les secteurs de la vie publique. On ne cachait plus l'unité de la franc-maçonnerie avec la judéité... D'ailleurs, il était difficile de le cacher, car en France, en Angleterre, en Autriche, en Allemagne et en Amérique - partout où pénétraient les « francs maçons » - les principales « loges » étaient bondées de Juifs.
Même pour les non-initiés, devenait clair l’union de la Kabbale talmudique avec la franc-maçonnerie, qui d’ailleurs, a ouvertement reconnu cette communauté avec le « grand livre » de la sagesse judéo-chaldéenne.
Mais dans une certaine mesure, restait caché le but ultime des enseignements maçonniques qui conduisaient inévitablement au satanisme... Les initiés des degrés élevés le dissimulaient encore, comprenant que la grande majorité des francs-maçons ordinaires considérait encore la secte infernale comme une alliance philosophique et charitable avec des fins très morales et humaines. Cette masse de « frères » des degrés inférieurs, trompés et bernés, aurait certainement reculée avec horreur, une fois appris les véritables objectifs des « francs maçons ». Et comme cette masse constituait l'armée principale de la franc-maçonnerie et les chefs secrets en avait besoin, leur foi naïve était encore épargnée.
Cependant, la pleine révélation était déjà en préparation. Parmi les décrets « préparatifs » de la franc-maçonnerie était l'interdiction de mentionner, dans le rituel de consécration, « l’architecte suprême » de la nature, ce nom dont les chrétiens crédules comprenaient comme le Seigneur Dieu...
Cette interprétation permettait même aux croyants sincères de rejoindre les rangs de la franc-maçonnerie - on leur cachait la réelle apostasie qu’ils commettaient. L’abolition du nom de « l’architecte suprême » prononcé lors du rituel de serment maçonnique, dévoilait l’impiété de la secte diabolique et son antagonisme envers Dieu. Certains gens honnêtes qui ont été attirés dans la franc-maçonnerie par l’omnipotence de la mode et la puissance de la corruption, revinrent à la raison.
Les francs-maçons triomphaient à l'avance, calculant le jour et l'heure où le temple de satan l’emporterait sur les églises du Christ, quand l'humanité dépravée par les travaux préparatoires des corrupteurs juifs, deviendrait un troupeau d’animaux, sans honneur et conscience, sans foi, espérance et amour, et tomberait dans l'esclavage aux Juifs, l’esclavage décidé, définitif et reconnu par tous.
En Martinique, surtout à Saint-Pierre, ce jour « heureux » était presque venu. Là, la franc-maçonnerie triomphait ouvertement sur toute la ligne... Les écoles auprès des monastères, puisqu’il n’y avait pas d’excuse pour les fermer car elles existaient sans le soutien de la ville et de l'état, étaient bafouées par les journaux si fort et habilement que « les gens qui se respectent » n'osaient pas envoyer sa fille dans « l’institut monastique » ou éduquer son fils dans un lycée catholique...
Les francs-maçons prédominaient dans le domaine moral comme dans le domaine économique. Les planteurs « blancs » français faisaient faillite l’un après l'autre et vendaient dans des mains étrangères les plantations anciennes que leurs ancêtres firent naître. Les maisons et propriétés qui restaient en possession de la même famille durant deux cents ans, passaient maintenant dans les mains des usuriers enrichis des « demi-sangs » locaux ou des nouveaux venus prédateurs-Juifs.
Parmi les personnalités publiques, et même les fonctionnaires du gouvernement, on ne trouvait pas une personne indépendante de la franc-maçonnerie. Et d’ailleurs, dans toute la France à l’époque, prédominaient les francs-maçons qui ont usurpé les ministères, le parlement, la presse, la science, l'art. Même l'armée et la marine.
Enfin, des crimes monstrueux apparurent dans l'île, inexplicables et mystérieux... La presse blâmait hâtivement de ces atrocités la fameuse « Main noire » qui ait prétendument délocalisé son siège des États-Unis en Martinique. Le cour pénal colonial était surchargé de travail, les enquêteurs étaient épuisés, et la police ne trouvait pas de coupables.
Entre-temps, l'ouverture officielle du nouveau « temple de Salomon » était préparée et devait se tenir le 5 mai dans la matinée. Pourtant, le sacrifice secret et la consécration au satan furent ajournés pour la nuit du 7 au 8 mai qui, selon le calcul des astrologues maçonniques, a été choisi par le destin pour le combat de deux principes : la Lumière et l'obscurité, le Bien et le mal.
Mais vint le moment où la ruine les atteignit. La dextre du Seigneur frappa la ville de péché, comme Sodome et Gomorrhe.
Fin avril - début mai 1902, les gens ont déjà entendu le bruit et ressenti les secousses. La révision du cratère montra qu'il y avait de l'eau bouillante et beaucoup de vapeur en sortait. Puis le bruit et les secousses s'intensifièrent sensiblement. De temps à autre, le Mont Pelé jetait les nuages de cendres.
Le 5 mai dans la matinée, le temple maçonnique fut officiellement ouvert avec un « service religieux » spécial semblable au service solennel dans les synagogues juives. L'ouverture se déroula en présence des autorités et du grand rassemblement du public choisi. Même le clergé chrétien assistait à la cérémonie maçonnique, représenté par un pasteur protestant et deux prélats catholiques de tendance de mode, qui faisaient parade de leur « tolérance ». Tous furent surpris par le luxe et la splendeur de l'immense bâtiment dont les pavillons montaient jusqu’au sommet de la « colline rouge », à la hauteur à un tiers environ de celle de la montagne Pelée.
Les bannières maçonniques portées autour des murs du vaste bâtiment pour parodier les processions religieuses chrétiennes, eurent un grand succès. Les jeunes filles, étudiantes du lycée maçonnique et les élèves de l'Institut neuropsychiatrique de la Martinique, parsemaient de fleurs la route où avançaient des bannières colorées brillantes avec des inscriptions grandiloquents : « droits de l'homme » , « bien commun », « fraternité des nations », « un cœur, un esprit, une langue », avec les mots répétés sans cesse « liberté, égalité, fraternité » ...
L'humanité moderne devint trop habituée à traiter à la légère les questions religieuses, trop désireuse de se vanter de sa « tolérance »... Les agents de la franc-maçonnerie en tirent parti, se cachant sous des centaines de noms différents, mais toujours menant à la même fin, à la mort spirituelle, au satanisme...
Le soir, lors du dîner de gala, le discours maçonnique de la « fraternité de toutes les nations » retentissait à nouveau. On parlait de « l’intelligence supérieure du grand architecte de la nature », prétendument vénéré par toutes les nations, seulement sous des noms différents, du droit sacré de chacun au bonheur et à l'amour, de l'injustice des « préjugés anciens »...
Ainsi étaient habilement inculqués les enseignements des francs-maçons, causant la ruine des âmes, sapant l'amour à la patrie, qui ridiculisent le courage et le patriotisme chez les hommes et la vertu et la modestie chez les femmes - pour ébranler tous les fondements de la famille et de l'éducation et tuer dans l'œuf le respect filial et l'obéissance aux éducateurs, la chasteté et la modestie, la fidélité dans l'amour et dans le mariage et le sens du devoir dans la maternité.
Le même jour du 5 mai fut marqué par la première catastrophe. La boue bouillante s’écoula à travers le lit de la rivière Blanche et inonda l'usine de sucre qui était dans sa ligne, à la plage. Un énorme torrent rouge de 10 mètres de hauteur et 150 mètres de large balaya tout sur son passage et fit 24 morts.
Tous ceux qui croyaient et priaient, se hâtèrent aux temples, et puis aux bateaux qui quittaient la ville condamnée. L'exode augmentait avec chaque partance. Ceux qui gardaient encore une étincelle de conscience, qui craignaient la colère de Dieu, fuyaient, car ils savaient que Saint-Pierre était condamnée à mort, et tous savaient pourquoi... Beaucoup furent avertis par des rêves prémonitoires dont la similitude extraordinaire pourrait persuader les plus incrédules. Mais hélas, rien ne pouvait persuader ceux qui étaient aveuglés par l'enchantement infernal...
La ville devint comme folle... Pour le 8 mai, était prévue une élection administrative, et les gens échauffés par la lutte politique, n'avaient pas le temps de prêter attention à la voix faible de l'église qui préconisait la repentance et la prière. Or, hausser la voix n’était plus permis à l'église du Christ. Aussi, dans les derniers jours que la grâce du Seigneur laissait aux habitants de Saint-Pierre pour la repentance, la population malheureuse et empoisonnée par les francs-maçons, dansait et chantait les couplets politiques pleins de blasphème et de l'indécence.
Une fois que quelqu'un des anciens rappelait la dernière éruption et la merveilleuse aide de la Mère de Dieu qui sauva la ville des ardents flux de lave, il était douché d’insultes vicieuses. On en venait aux mains. Enfin, les franc-maçons se décidèrent à faire exploser la statue de la Madone qui gardait la ville de l'élément de feu pour un demi-siècle. Le 7 mai, les nuages noirs s'amoncellent au-dessus de la ville. Tous les navires qui partaient ce jour-là, étaient pleins à craquer. Entre-temps, les scientifiques assuraient d’une seule voix qu'il n'y avait aucune raison de fuir...
Ensuite, un événement extrêmement cynique eut lieu. Dans un effort pour retenir la population de Saint-Pierre pour le temps de la prochaine élection prévue pour le dimanche 10 mai, le gouverneur français nomma une commission chargée d'enquêter sur les dangers posés par le Mont Pelé. Afin d’apporter un poids particulier aux conclusions de la commission, le gouverneur donna aux troupes l'ordre de renvoyer les réfugiés dans la ville. Et pour apaiser encore plus les électeurs potentiels, le gouverneur et sa femme furent arrivés de Fort de France à Saint-Pierre, où le surlendemain, les deux ont rencontré la mort ardente.
Tout ce déchaînement pré-électoral sous la houlette de la judéo-maçonnerie mondiale remplit de bruit et d'excitation la nuit du 7 à 8 mai. La dernière nuit de Saint-Pierre. Dans la même nuit terrible, dans un temple souterrain, s’accomplissait la « messe noire » avec un grand sacrifice qui se terminait d’une cérémonie de distribution du sang de sacrifice à ceux qui y assistaient. Tout cela était accompagné, selon le rituel du luciférianisme, des actions blasphématoires dégoûtantes et d’une débauche la plus infâme.
L’orgie diabolique battait son plein quand l'éruption volcanique s'est déclenchée et les coulées de lave ont commencé à pénétrer dans le sous-sol du temple. Lentement, silencieusement et irrésistiblement, glissaient les terribles ruisseaux de feu. Des cris, des hurlements et des malédictions retentirent dans l’immense salle. Dans le temple, le troupeau de criminels affolés tournait, poursuivi par la colère de l'Éternel. La mort de feu les attendait partout. La lave bouillante (12000 °C) commença à s'infiltrer à travers le plafond, tombant en gouttes sur les corps nus des hommes et des femmes. Enfin, le lac brûlant du métal en fusion remplit le temple souterrain. Tout fut détruit et recouvert de lave.
À 7 heures 52 minutes Mont Pelé a littéralement explosé. Il y eut quatre explosions assourdissant, semblable à des coups de feu. Le cratère principal éjecta un nuage noir imprégné d’éclairs. Avec une vitesse d'ouragan (jusqu'à 500 km/h), ce nuage brûlant (700-1000 °C) - un mélange de feu brûlant, de cendres et de gouttelettes de lave - se précipita à la ville. En trois secondes elle surmonta huit kilomètres qui séparent le cratère du front de mer, et Saint-Pierre disparut, balayée par le mur de feu. Lorsque les cendres furent retombées, il est devenu clair que rien ne resta de la ville. Pour une trentaine de secondes, tout fut tué à Saint-Pierre ! Des milliers de personnes furent instantanément brûlées ou asphyxiées.
Ceux qui étaient déjà loin du bord de la mer, furent sauvés. Les navires amarrés au port furent brûlés ou renversés, l'eau dans le port bouillit. Dans la ville, une seule personne a survécu, protégée par les murs épais de la prison de la ville.
Toutes les maisons, tous les bâtiments ont été détruits. Vingt kilomètres de débris enflammés. Mais ce n'était pas la fin ! Le 20 mai, par-dessus des ruines de Saint-Pierre, passa un nuage brûlant encore plus fort, détruisant tout qui restait partiellement préservé dans la ville. La ville avec une population de 43 000 personnes, en un clin d'œil, disparut de la face de la terre, et presque deux tiers de l'île se transformèrent en un cimetière.
La lave durcie a formé au-dessus du volcan un étrange monument, semblable au doigt, de 400 mètres de hauteur, qui s’écroula seulement en 1903. Toute une année cet obélisque naturel indiquait aux gens que c'était l'endroit de colère de Dieu, « car la colère de Dieu s'ouvre du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui suppriment la vérité par l’injustice » (Rom. 01:18).
Cependant, toute la presse européenne fut obstinément silencieuse à l’égard des détails de cet événement monstrueux. La dissimulation de la vérité sur la Martinique signifie que les francs-maçons ne pouvaient pas permettre que l'humanité commence à réfléchir à l'importance des phénomènes qui manifestent la colère de Dieu.
Les francs-maçons craignent le plus l'éveil de la foi et la piété, c’est pourquoi ils passent sous silence dans leur presse tout ce qui démontre à l'évidence le châtiment céleste.
Les peuples chrétiens ne devaient pas voir que la ruine de la ville de Saint-Pierre fut la réponse au blasphème de ceux qui militent contre Dieu. Tous ces événements terribles se noyaient dans la vaste mer des ragots vides et conneries politiques qui inondent l'humanité par les efforts de la presse internationale judéo-maçonnique. Il n’était possible d’apprendre les détails sur la catastrophe et sur ce qui lui précédait que des fugitifs de Saint-Pierre qui comptaient jusqu'à trois mille.
Le seul survivant se rendit vers le lieu où se trouvait l'autel de la Mère de Dieu. Au milieu de la destruction terrible, une statue de marbre de la Mère de Dieu avec l'Enfant a miraculeusement survécu. À ses pieds, était prostré le corps du vieux prêtre qui ne voulut pas quitter la ville condamnée. Pas un seul cheveu de sa tête blanche comme neige n'était pas touché par la flamme. L’abbé Lemercier s'endormit du sommeil du juste près de l'autel du Seigneur, serrant une croix en main froide.
Le flux a déplacé la statue de la Vierge Marie, pesante au moins 3 tonnes, à 15 mètres de son socle.
Source Les satanistes du XXe siècle
Traduit par Olga (TdR)
Autres sources profilib.net bible-facts.ru 3rm.info
shekina.mybb.ru - Dans la discussion du nouveau temple de Salomon ouvert à Sao Paolo, Brésil, un participant au forum a cité en plusieurs posts les derniers chapitres du livre et a mis beaucoup d’illustrations en liens.
En français, j’ai trouvé quelques récits de « l’éruption peléenne », par exemple 3, 4
Et aussi la vidéo La Franc maçonnerie en Martinique dont l’annonce dit : « En 1970 la Martinique comptait quatre loges maçonniques. Aujourd'hui l'île en recense plus de soixante, devenant du coup l'espace le plus "maçonnisé" de la zone caraïbe ». Donc, 1902 est déja loin, l’île se dirige vers 2019.