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25/03/2020

 

Le calendrier et la civilisation

 

Les articles qui ont trait aux transformations du calendrier semblent parfois compliqués : les chiffres et les fractions, les détails astronomiques. En même temps, les effets qui en découlent sont simples et tangibles, quoique les articles n’en disent rien.

 

Partie I. Les civilisateurs ennemis du Christ

 

 Tableau 1. Réformes du calendrier (agent, année)

  Réforme « pape Grégoire ХIII », 1582

  Réforme « tsar Pierre Ier », 1700

 La chronologie européenne adoptée

  Réforme « gouvernement bolchevik », 1918

 Le calendrier civil adopté, celui du pape Grégoire  ХIII

 

 

Agent – le conducteur de la réforme qui joue son rôle à l’intérieur de la tromperie. Tant que la tromperie est perçue comme réalité, on dit que tel pape ou tel tsar voulait ou faisait quelque chose ; une fois la tromperie dissipée, on voit en lui un simple nœud du réseau, un agent qui exécutait des ordres et dont le nom est légion. Le nom de l’agent sert à marquer une action des sages chaldéens.

 

La réforme « pape Grégoire ХIII » avait pour but de fixer le 21 mars comme le jour de l’équinoxe vernal.

La réforme a changé le procédé pour déterminer le jour des Pâques en violation de la règle du concile de Nicée qui avait décidé de célébrer Pâques, le jour de la Résurrection de notre Seigneur Jésus le Christ, le dimanche après la Pâque juive, même si celle-là arrive dimanche. Cela correspond à la séquence des événements de l'Évangile. Le Seigneur a été trahi et crucifié la veille du jour où les Juifs célébraient la Pâque de l'Ancien Testament en mémoire de la délivrance de la captivité d'Égypte. Et Jésus-Christ, le Sacrifice Vivant, ressuscita, nous sauvant du péché et de la mort éternelle, le premier jour de la semaine après la Pâque de l'Ancien Testament.

 

À la suite de la réforme « pape Grégoire ХIII », la fête arrive chez l'Église occidentale parfois simultanément, parfois avant la Pâque juive. Mais la septième règle apostolique a interdit de célébrer la Résurrection simultanément avec la Pâque juive. [1, 2

L’Église orthodoxe vivait bien jusqu'à maintenant selon l’ancien calendrier et calculait les jours corrects des Pâques.

 

Ce fut une réforme ecclésiastique et cela ne pouvait pas être autrement : les nations étaient chrétiennes au XVI siècle. Les nations l’étaient encore, mais pas la direction d’église. 

 

L’empereur Pierre Ier fut le premier à instituer une grande fête civile séparée, le Nouvel An [3]. Ce fut le début du processus ouvert de la civilisation de la Russie. Les successeurs de cet agent ont solennellement séparé « l’église de l’état, l'école de l’église » deux siècles plus tard. Et nous n’avons que traduire ce mot du babylonien : civiliser veut dire sataniser.

 

La transition de la vie d'église à la vie civile était progressive. Au tournant du XVe au XVIe siècle, sous le grand-prince Ivan III, époux de Sofia, héritière nominalement byzantine et de fait, romaine, les nouvelles années de l'église ont été renvoyées du 1 mars au 1 septembre, comme le fit la Byzance avant le XVe siècle, et étaient depuis lors célébrées comme une fête étatique et ecclésiastique. Deux cents ans plus tard, sous Pierre Ier, les deux dates et les deux religions ont divergé, et nous savons laquelle religion a triomphé... celle des droits de l'homme, la religion satanique camouflée.

 

Quand la révolution, préparée pendant deux siècles, fut commise, tout était prêt pour la phase suivante. L'agent « gouvernement bolchevik » annonça l'adoption du calendrier européen – le calendrier du pape Grégoire ХIII. Et voici le résultat simple et réel : avec le calendrier civil, le Nouvel An arrive pendant le jeûne orthodoxe et avant le Noël orthodoxe. Le décret de Pierre Ier ordonnait même de garder l'arbre de Noël jusqu'au 7 janvier, donc le programme à long terme saute aux yeux.

 

Après la récente révolution, depuis les années 90, les vacances de Nouvel An ont apparu, d'une durée de dizaine de jours. Le Nouvel An bruyant terminé, le Noël passe inaperçu, comme une partie des vacances d'hiver.

 

Nous savons où va le train, et nous savons que faire de même avec les Pâques, absorber et effacer la fête principale des chrétiens, serait le plus grand rêve des babyloniens, les ennemis de Dieu et de Sa création. Il est facile d'imaginer un scénario. Ils ont fait venir ici en masse les migrants d'Asie. « Et voilà, – diront-ils, – la paix et la sécurité. Pourquoi ne pas établir un Nouvel An universel ? Vous aurez les vacances de Nouvel An par beau temps du printemps. Un Nouvel An mondial le jour de l'équinoxe. » Et ce sera le Novrouz babylonien... pendant le carême, la sainte quarantaine (quarantaine, quelle coïncidence, le mot des actualités qui va avec le mot virus, lat. − suc, venin, poison).

 

Partie II. L’année en cours est 2028

Une petite section dans le livre Chronologie du monde chrétien et païen de M. N. Laloche, paru en 1867, attira mon attention : le paragraphe « Raison probable pour ajouter 8 ans à la période de 5500 ans ». [4] Cela m’incita à faire une recherche qui aboutit à un résultat inattendu. Malgré tous les efforts entrepris pour embrouiller les choses, toute personne assidue arrive à la conclusion que la réforme « Pierre Ier » a été frauduleuse.

 

Le décret de l’empereur agent du 19 décembre 7208 ordonna de cesser la chronologie depuis la création du monde pour passer à la chronologie européenne depuis la Nativité. Dès ce moment, le faux décompte des ans commença en Russie.

 

Réforme « Pierre Ier »

  Réforme Pierre Ier

 

En Europe, cela a été fait plus tôt. Et lors de la réforme « Grégoire XIII », le pape ordonna de corriger rétroactivement toutes les dates précédentes. [5]

 

Les écrivains et annalistes chrétiens considéraient la distance entre Adam et la Nativité du Christ égale à 5500 ans. On trouve le chiffre chez Julius Africanus ; Hippolyte De Rome ; Maxime le Confesseur ; dans la Chronographie de Théophane de Sigriani le Confesseur.

 

Saint martyr Méthode, évêque de Patare, a écrit :

Et le grand Moïse, ayant passé beaucoup de temps sur la montagne, n'a-t-il pas présenté les mystérieux sacrements qui sont accomplis avec Toi, la Pure, dans les préfigurations mystérieuses à Ton sujet ? Ayant reçu l'ordre d'arranger l'arche à l'image et à la ressemblance, il a soigneusement exécuté l’ordre, encore que des choses affligeantes se soient produites avant sa descente (Ex. 32,1), il l’arranga de cinq coudées et demi, et en la couvrant de Chérubins, il la fit le réceptacle de la loi, préfigurant très clairement Toi, la Mère de Dieu, qui conçut immaculée et donna ineffablement naissance à un fruit impérissable au bout de cinq et demi révolutions du monde. [6]

 

Et le moine byzantin du XIe siècle Philippe le Solitaire dit dans sa Dioptra :

« C’est ainsi que l’on compte les années depuis que le soleil est visible dans le ciel : cinq mille et cinq cents ans se sont écoulés avant Christ, et alors Il est venu, s'incarnant de la Vierge » [7] (en citation)

 

Mais il s’agit ici de la chronologie russe. Et il ne fait pas de doute que la réforme Pierre Ier renfermait une falsification.

Vous voyez le chiffre dans la chronique de Nestor :

 

Ensuite ils retournèrent dans leur pays, et il n'y avait pas chez eux de roi; mais ce furent des prêtres qui les gouvernèrent jusqu'au règne de l'étranger Hérode qui les gouverna. Sous son règne, en l'année 5500, Gabriel fut envoyé à Nazareth, à la vierge Marie, de la race de David et lui dit: « Réjouis-toi bienheureuse, le Seigneur est avec toi. »

 

Et dans le Livre de l'être du ciel et de la terre environ du XI siècle, et dans Izbornik (recueil) de Sviatoslav. Le chiffre 5500 pour la Nativité était présent d'une manière générale dans les livres russes imprimés jusqu’au XVII siècle.

 

Au milieu du XVII siècle, le tsar Alexeï Mikhaïlovitch et le patriarche Joseph ont envoyé à l’Est un ancien (starets) Arseny Soukhanov, qui  connaissait le grec, afin qu'il étudie sur place les rites de l'église grecque (ancienne byzantine) et fournisse des informations à leur sujet. Arseny inclut dans son rapport son débat avec les Grecs, où il leur dit notamment : « Après la prise de Constantinople par les Turcs, les Latins ont acheté tous les livres grecs et après les avoir remaniés, les ont imprimés chez eux et vous ont distribués ». Voici un extrait du débat.

 

« Chez vous en Grèce, et aussi chez les Valaques, on ne trouve pas une seule personne baptisée avec le vrai baptême, et vous vous unissez presque aux Romains. Et vous avez même perdu des années de la naissance du Christ ; vous écrivez : cette année 7158, et de la Nativité du Christ 1650, alors que vos propres chroniqueurs grecs témoignent tous que le Christ est né en 5500 (et non en 5508). Vous l'avez emprunté aux Romains, parce que vous n'avez pas d'écoles hellénistiques, et les livres sont imprimés pour vous à Venise, et vous allez à Rome et à Venise pour étudier, et vous avez tous les professeurs de là qui ont appris les coutumes hérétiques, et ces professeurs vous enseignent et vous les écoutez en tout. Toutes les bonnes choses qui étaient chez vous, sont passées par la grâce du Christ chez nous à Moscou. » [8]

 

Arseny était flatté par l’idée diffusée, ambiguë et illusoire, « Moscou est la troisième Rome », bien qu’il sût ce que devint la deuxième Rome ‒ Constantinople.

 

Au fur et à mesure que l’empire babylonien faisait la tournée de Rome en Byzance, et de là, en Russie, le nouveau chiffre étrange 5508 s’introduisait peu à peu dans les livres. Mais malgré toutes les corrections faites plus tard, nonobstant la présence des dates fidèles à la réforme Pierre Ier dans tous les livres et ouvrages des derniers siècles, il était impossible de faire complètement disparaître le chiffre vrai des anciens livres et du mémoire du peuple.

 

Pourtant, la réforme « Pierre Ier » a été préparée. Les babyloniens ont des stratagèmes pour le cas où il est difficile de cacher quelque chose qui importe : porter à l'absurde et salir, mêler avec toute chose. Ainsi, au XVII siècle, sous le patriarche Nikon, certains rites ont été modifiés : comment faire la signe de croix, dans quel sens marcher en rond. Des vieux-croyants ont apparu, qui formaient des communautés. Avec le temps, les jésuites y pénétraient, et les communautés rejoignaient finalement le réseau uni des groupes et organisations.

 

Quand la question de la période altérée surgissait, les nouveaux prêtres dénonçaient ceux qui soulevaient cette question en disant, « ces vieux-croyants, ils font des choses stupides ! » [9,10]

 

Les entretiens selon les deux liens attestent que ni au XIX siècle, ni au début du XXe, l’Église ne niait point la période 5500 ans entre Adam et le Christ. Les prêtres-missionnaires tâchaient d'embrouiller les gens en utilisant la notion du « calendrier civil ».

 – Tout de même, les nouveaux livres sont en désaccord avec les anciens sur la date de naissance du Christ : dans les nouveaux, l'année 5508 est indiquée, et dans les anciens, l’année 5500. Les livres anciens témoignent tous, à l'unanimité, que le Seigneur est né en 5500 de la création du monde. Et votre calendrier dit clairement que la Nativité du Christ a été en l’an de la création du monde 5508 ; comment dites-vous que votre église ne prêche pas cela ?

– Ne dis pas « dans votre calendrier » ! Le calendrier n'est pas un livre d'église ; il est autant le nôtre que le tien.

 

Dans le livre mentionné ci-dessus, Chronologie du monde chrétien et païen, il est dit explicitement que « la période 5508, comme l'église elle-même l'admet, a été accrue  de 8 années par rapport à la période vraie ». [11]  

 

Seule la révolution a permis de mettre définitivement ce fait aux oubliettes. N’était-ce pas une raison de plus pour les babyloniens, sous la marque « bolchevik » à l’époque, de tuer à l'hôpital le patriarche Tikhon ? [12,13] Une personne respectée qui n’aurait pas menti et qui pourrait empêcher d'effacer les traces de la falsification.

 

Les calendriers d’église d'aujourd'hui n'indiquent généralement pas l'année en cours depuis la création du monde. On le voit encore sur le calendrier de l’Église russe à l’étranger : 7528, et comme l’an depuis la Nativité, 2020.

 

Tableau 2. Chronologie russe

Pendant 7 siècles de l’histoire russe

avant la réforme

La réforme « Pierre Ier »

en 7208

 Année en cours de la création du monde moins 5500 = année depuis la Nativité

7208 moins 5508 1700

 

Autrement dit, l’année 1708 a été arbitrairement déclarée 1700. Cela signifie que nous sommes maintenant en 2028. Pour une raison quelconque, les babyloniens ont voulu que l’indication du temps fût sous-estimée.

 

Donc, les années des réformes du tableau 1 sont respectivement 1590, 1708, 1926. Et les tours jumelles sont tombées à New York en 2009, 9/11 une fois de plus.

 

Les babyloniens procèdent à leurs tromperies en inventant les termes « scientifiques » : le calendrier civil, l'ère alexandrine ou byzantine. Si l’on admet leur langage mensonger, on finira par accueillir un dieu civil humaniste.

 

 

Olga (TdR)