16/10/2017
Les velléités d’instauration d’Israël en Crimée
Histoire et présent
Le projet « Californie de Crimée »
Après la Première Guerre mondiale, l'organisation caritative juive « Joint » pénétra sournoisement à Simféropol, profitant de la déroute. Son nom exact est American Jewish Joint Distribution Committee (fondé en 1914). La société « Agro-Joint » commença une activité énergique pour aider les colons juifs de Crimée, elle finançait l'arrivée de nouveaux immigrants et la formation des cadres dans les écoles locales de Crimée. En 1922, on organise 186 exploitations agricoles collectives. Les Juifs allaient de partout dans le pays... Chaque année, le gouvernement soviétique devait recevoir 900 mille de dollars par an à 5% durant 10 ans. En novembre 1923, Abraham Braguine, chef de la section juive du Parti communiste, prépara pour le Bureau politique un projet de décision sur la création en Crimée non pas d’une république autonome, mais déjà une république juive socialiste soviétique à part entière. Le projet a reçu le nom de « Californie de Crimée ». Au total, 132 mille hectares de terres furent attribués, dans le cadre du projet, aux colons.
Les premières colonies agricoles juives en Crimée apparurent près de Djankoï au printemps 1923. En automne, trois autres s’ajoutèrent. Au début, tout se passait spontanément. Dans la même année, la direction soviétique décide du projet de la migration massive des Juifs en Crimée pour y créer une autonomie pour eux. Peu de temps après, on organise un comité des travailleurs juifs sur la terre (KOMZ), puis une autre association - la Société des travailleurs juifs de gestion des terres (OZET). En mai 1926, on défini le projet pour la réinstallation des Juifs en Union Soviétique pour 100 mille familles (500-600 mille personnes), pour la période de 10 ans - la moitié d'entre eux, dans la République autonome de Crimée. Le gouvernement alloue la terre, tandis que les associations juives de l'étranger financent les colonies agricoles juives. Le « Joint » américain seul assigne environ 30 millions de dollars.
« L’Est ne nous convient pas, sa mise en valeur nécessite l'énergie du Russe-pionnier, mais les Juifs, ils ont besoin de zones déjà habitées, comme l’Ukraine, la Crimée... et il serait bon d’attacher la Crimée à l'Ukraine, car il est plus facile de mener une affaire en pratique avec le gouvernement ukrainien » - déclara S. Lubarski, chef de Commission de planification du Commissariat du peuple pour les terres et représentant de « Agro-Joint » en Ukraine.
Le 19 février 1929, « Joint » et le Comité exécutif central de la République soviétique socialiste de Russie ont signé un accord, en vertu duquel l'URSS a reçu le financement annuel de demi-million de dollars. Cependant, les Américains entreprenants ont demandé comme garantie un nantissement de 375 mille hectares de la Crimée. Le terrain fut divisé en parts et régularisé avec des actions, et les acheteurs furent plus 200 citoyens américains dont les plus célèbres étaient Hoover, Rockefeller, Roosevelt, MacArthur, Marshall. Si jusqu'en 1954 l'URSS ne règle pas la dette, alors elle devrait donner la Crimée.
La migration massive a coïncidé avec la spoliation des paysans riches en Crimée. Au cours de 1930-1931, 4 325 familles (25-30 mille personnes) furent évincées de la péninsule... Leurs terres sont transferées aux colons juifs. Dans la république, fut crée la région nationale juive Fraïdorfsky et 32 conseils du village juifs. Les Juifs qui étaient venus en Crimée, n’étaient pas adaptés au travail agricole, ils étaient attirés par les villes. Par conséquent, jusqu'en 1941, parmi près de 67 mille Juifs de Crimée, environ 20 mille vivaient dans 86 kolkhozes juifs. Au total, la population de la péninsule était alors 1,2 millions de personnes. Parmi eux, 220 mille de Tatars de Crimée.
Bizarre était le fait que cet argent affluait par la banque Agro-Joint directement aux colons juifs, court-circuitant le budget soviétique. Ils achetaient des produits, des machines et de l'équipement. Cette « aide » a provoqué des protestations des Russes, des Tatars, des Allemands, des Bulgares et des Grecs vivant en Crimée. Les Tatars cassaient les rames avec les immigrants juifs. En conséquence des émeutes, Staline, lors de la réunion du Bureau politique, déclara que la « Californie de Crimée » n’apporte au pays rien d’autre que les conflits ethniques, et en 1934, fut formée la Région autonome nationale juive à l'Est, avec sa capitale à Birobidjan. Cependant, jusqu'en 1938, seulement 20 mille Juifs y ont vécu, ou 25% de la population. Dans le même 1938, par la décision du Comité central du Parti communiste, le KOMZ fut liquidé comme « un repaire pour toutes sortes d'éléments contre-révolutionnaires ». Les régions et les conseils ruraux juifs furent abolis.
Sources : | La Tradition | krimoved-library.ru | argumenti.ru |
« Le Comité antifasciste juif »
Selon le recensement de la population de l'URSS en 1939, qui ne comprenait pas le territoire de l'Ukraine occidentale, de Biélorussie occidentale et des républiques baltes, le nombre total de Juifs vivant dans le pays était 3 028 538 personnes. L’historien J. Medvedev écrit que « la véritable capitale du peuple juif, non seulement en URSS, mais aussi en Europe, était Moscou ».
Bien sûr, avec le début de la Grande guerre patriotique, l'issue de la confrontation militaire inquiétait les Juifs. Cependant, ils ne précipitèrent pas au front, mais déjà en 1942, en Union Soviétique, un Comité antifasciste juif (CAJ, en anglais JAC) apparut, dont la tâche était d'établir des relations avec la communauté juive internationale influente, et en particulier, avec le mouvement sioniste américain.
Même si les activités du comité n’ont pas laissé de trace importante de la « lutte contre le fascisme », déjà en février 1944, le CAJ a préparé une lettre avec une proposition visant à créer une république soviétique juive en Crimée !
La direction du comité remit la note sur la Crimée au secrétariat de Staline le 15 février, mais comme les auteurs n’étaient pas sûrs que la note atteindrait son bureau, une semaine plus tard, ils l’ont adressée aussi à Molotov. Le document a été remis au vice-président du Conseil des commissaires du peuple Lozovski par l'intermédiaire de la femme de Molotov, Polina Gemtchugina, membre du CAJ (née Perl Karpovskaya ; gemtchugina veut dire perle).
Le document déclarait : « Le territoire de la Crimée nous semble l'une des zones les plus appropriées, il est le plus conforme aux exigences en termes de capacité et de l’expérience réussie dans le développement des régions nationales juives ».
Les auteurs de l'idée ont terminé son adresse par les mots : « Dans la construction d'une république soviétique juive, les masses juives partout dans le monde, nous apporteraient une aide considérable, où qu'ils en soient ».
Pourtant, les auteurs du « projet juif » ont devancé les événements. En ce moment, la Crimée était encore occupée par les Allemands. L'Armée rouge l’a libérée seulement en avril 1944. Au cours de l'opération, 110 mille soldats et officiers allemands et roumains furent tués, 25 mille furent faits prisonniers. Par conséquent, en mai 1944, avec la déportation de la péninsule de 200 mille de Tatars de Crimée, dont les dirigeants avaient collaboré avec l'occupant allemand pendant la guerre, l'idée de créer une « Californie de Crimée » juive a reçu un nouvel élan.
Lors de leur visite en Amérique en 1943, les dirigeants de CAJ, S. Mikhoels et l'écrivain juif I. Feffer, ont établi des liens avec les dirigeants du sionisme : H. Weizman, futur premier président d'Israël, N. Golman, chef du Congrès juif mondial, et le rabbin S. Wise, chef de la loge maçonnique « Fils de Sion ».
Le 3 septembre 1948, la première ambassade d’Israël fut venue à Moscou. Un mois après, le 4 octobre, son chef Golda Meir avec un groupe de collaborateurs a visité une synagogue de Moscou. « Elle était pleine de gens ... D’habitude, pas plus qu’une centaine ou deux de personnes venaient dans la synagogue les jours de fête - et voilà que la foule de cinquante mille nous rencontra. La célébration du Nouvel An juif déboucha sur une impressionnante démonstration d'unité nationale juive ».
Mais quel que soit le sentiment qui ait provoqué ce rassemblement bondé, il eut un caractère inattendu. Non, les Juifs qui y étaient rassemblés ne demandèrent pas « laisser les partir en Israël ». Ils ont commencé à exiger transfert de la Crimée. Bien sûr, cela ne pouvait pas être un acte spontané et incontrôlable - derrière le dos des manifestants, se tenaient des organisateurs. De fait, une « manifestation de protestation » anti-soviétique eut lieu. La manifestation de Moscou causa la jubilation dans les milieux sionistes aux États-Unis. La presse étrangère, en particulier en Israël, abondait de reportages sensationnels. Polina Gemtchugina, la femme de V. M. Molotov, jouait un rôle actif pour tenter de judaïser la Crimée.
Les Juifs commancèrent à aborder les manifestations pour leur remettre la Crimée comme un moyen de pression sur le gouvernement. L’ancien officier de la garde du Kremlin, S. Krasikov, écrit : « Un nombre de telles manifestations, dirigées par Gemtchugina, eurent lieu en Crimée, plusieurs autres à Moscou. L'une d'eux se déroulait sur la Place Rouge avec des cris: « La Crimée - aux Juifs! La Crimée - aux Juifs ! »
En automne 1948, il fut évident à Staline qu'Israël, créé avec le soutien de l'Union Soviétique, a pris une orientation ouvertement pro-américaine, et le 20 novembre 1948, six semaines après l'arrivée de l'ambassade d'Israël à Moscou, par la décision du Bureau du Conseil des ministres de l’URSS, le CAJ fut aboli. La résolution déclara : « Comme les faits le montrent, ce comité est le centre de la propagande anti-soviétique et fournit régulièrement des informations anti-soviétiques aux services de renseignements étrangers ».
Bien sûr, les manifestations de masse pro-Israël ont accéléré les événements ; cependant, Staline avait d'autres raisons pour la dissolution du CAJ. Avec la fin de la guerre, une association créée comme anti-fasciste, perdit son sens originel. En fait, elle a commencé à se transformer en un parti nationaliste indépendant et faire du lobbying en faveur d'une ethnie. Dans le pays où vivaient les gens de plus qu'une centaine de nationalités, est-ce qu’on pouvait admettre l’existence d’un parti privilégié qui représentait les intérêts d'un État étranger ? Konstantin Romanenko, Les dernières années de Staline. La Renaissance. Chapitre 8 « La question de Crimée »
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Selon certaines informations, à la fin de 1943, à la Conférence de Téhéran, Roosevelt a mis en garde Staline que d'autres fournitures dans le cadre du prêt-bail et l'ouverture du deuxième front auraient été impossibles sans mise en œuvre du projet « Californie de Crimée », à savoir, la formation là-bas d'une république juive.
Le 14 mai 1948, fut proclamée la création d'un État juif indépendant d'Israël, et le 15 mai, éclata la première guerre israélo-arabe. La Ligue arabe (Syrie, Egypte, Liban, Irak et Jordanie) attaqua l’Israël. La guerre dura jusqu'en juillet 1949. Déjà au début, Israël est entré dans le camp des États-Unis : on suppose que le lobby juif au Congrès promit l’extension du nouvel État aux dépens du Sud de l'URSS, y compris Crimée.
Le 19 février 1954 (25 ans exactement après l’accord avec « Joint ») la Crimée fut transférée de la République soviétique socialiste de Russie à la République soviétique socialiste d'Ukraine, reconnue par la communauté internationale en tant qu'État indépendant au sein de l'URSS. L'Ukraine n'avait fait aucun nantissement. Les titres furent ainsi annulés sans compensation, et le projet « Californie de Crimée » finit par claquer.
La plupart des événements du passé montrent que de simples Juifs sont habituellement utilisés comme le matériel auxiliaire consommable dans les grands jeux de « très grands gens » qui sont le moins intéressés aux destins personnels de qui que ce soit.
De nos jours
40 mille rapatriés israéliens, qui avaient quitté la Crimée pour Israël après l’effondrement de l'Union Soviétique, ont demandé de leur fournir la citoyenneté russe. Le président du conseil de l’association régionale « Forum de Crimée pour protéger les droits constitutionnels des citoyens », L. Gratch, a fait avancer cette initiative. Toutefois, la demande pour obtenir la citoyenneté russe fut déniée [3].
Néanmoins, un homme d’affaires d’Israël annonce de grands projets : [4]
Les entreprises israéliennes qui ont visité la Crimée, sont prêtes à aller travailler, non seulement pour vendre des projets, mais transférer des technologies, former le personnel local, en organisant des stages en Israël...
La Crimée peut et doit devenir un nouveau modèle socio-économique pour l'ensemble de la Russie... La terre russe a besoin de maîtres, des gens qui prennent véritablement soin de leur exploitation, famille et aménagement du pays... Le kibboutzim israélien, sur lequel l'Etat d'Israël s’établit, peut servir d’exemple de telles exploitations.
Les entreprises israéliennes peuvent devenir des partenaires pour procurer à la partie russe des technologies, des équipements, l'expertise, couvrant le retard de vingt ans, jusqu'à ce que toute la base de production et de personnel nécessaire sera bâtis déjà en place. Bien sûr, il est nécessaire que le partenariat soit sur la base mutuellement bénéfique et fiable : le capitalisme non-casher en cochon, ça va pas le faire.
En effet, rien n’empêche « l’investissement » et « la privatisation »...
Il y a quelques traits négatifs dans la vie des Criméens en ces temps derniers.
Le 21 mars 2014, la Crimée et Sébastopol adhérèrent à la Fédération de Russie. Déjà le 23 juillet 2014, le président V. Poutine signa une loi permettant la création de zones de jeu en Crimée. Avant, les jeux de hasard et les établissements de jeu étaient interdits dans la péninsule par la loi introduite en Ukraine en été 2009. Les autorités ont décidé de créer une zone de jeu sur le territoire du sanatorium Gemtchugina [Perle] près de Yalta, qui date de 1930. [5]
Drôle de coïncidence des noms...
Après le rattachement de la Crimée, ses habitants ont commencé à éprouver certaines difficultés avec leurs datchas et jardins familiaux : ils ressentent une menace de dépossession. [6, 7]
Trois ans après l'annexion de la Crimée à la Fédération de Russie, la situation démographique sur la péninsule a fortement aggravé. [8]
Selon le docteur en médecine I. Goundarov, en quatre ans, le montant des décès en excès par rapport au niveau en 2013, a dépassé 9,4 mille personnes. A titre de comparaison, les pertes militaires à Donetsk, Lougansk et dans le sud-est de l'Ukraine au cours de cette période s'élevèrent à environ 10 mille personnes.
En outre, le taux de criminalité a augmenté, en particulier dans les crimes économiques, presque deux fois et demi.
À Sébastopol, la secte Chabad Lubavitch a son école avec une étude approfondie de la langue anglaise ( chabad.edusev.ru ).
L’encyclopédie La Tradition décrit la secte ainsi :
Les activités de la secte sont extrêmement secrètes, en même temps, elle arbore hypocritement la piété exceptionnelle, l'humilité et la tolérance religieuse. Contrairement à d'autres représentants du judaïsme orthodoxe, ceux de Chabad non seulement ne reconnaissent pas Jésus-Christ, mais le détestent de haine féroce. Chabad considère l’Orthodoxie comme son pire ennemi, ils ont une pareille attitude aux dépositaires de cette religion. Les membres de la secte s’opposent activement au processus d'assimilation juive, étant des combattants fanatiques de la pureté du sang. Le principe de base de l'idéologie fasciste de la secte est la suivante : « Les Juifs sont par-dessus tout, Chabad par-dessus les Juifs ». Au début des années 1930, Staline a expulsé Chabad en dehors de l'URSS comme une secte fascisant - avec cela, le judaïsme traditionnel continuait d'exister en territoire soviétique.
Le livre de K. Guilarov Le mystère du livre de Tanya élucide en détail l’origine et les objectifs de l’idéologie raciste de la secte.
Après 1991, Chabad est revenu en Russie et en Ukraine. Chabad jouit du patronage des dirigeants de la Fédération de Russie. [9]
À ma surprise, il s’est avéré que Chabad mène ses activités non seulement en province, à Sébastopol, à Perm, à Iekaterinbourg, mais prospère dans la capitale.
Le dimanche 14 février 2016, le nouveau centre religieux et culturel juif « Joukovka », l'un des plus grands et les plus modernes centres juifs du monde, inauguré en décembre 2015, accueillit le Congrès des rabbins de toutes les communautés Chabad Lubavitch de Moscou et de la région. L'événement a réuni 250 personnes, y compris les chefs de 24 synagogues, les visiteurs et sponsors. Les 20 dernières années, la vie juive de Moscou a changé au-delà de la reconnaissance.
Chaque année, de nouveaux centres Chabad s’ouvrent, prêts à accepter de nouveaux membres dans les murs et propager des connaissances sur le judaïsme. Le Grand Rabbin de Russie Berel Lazar, lors de son discours, exprima sa gratitude aux sponsors qui offrent un grand soutien dans le développement des synagogues, pour leur confiance et leur sincérité dans de bonnes intentions. « Ce qui se passe aujourd'hui dans le monde juif est un vrai miracle ! » - dit le Grand Rabbin de Russie. Moscou est une ville confortable et sûre pour les Juifs. Selon le rabbin, c'est pour cette raison qu’elle attire les Juifs de partout dans le monde, à la fois pour le logement et pour les affaires. C’est une des raisons du soutien que la population juive de la Russie accorde au gouvernement actuel. ( mjcc.ru/news/sezd-tsentrov-habada-moskvyi )
Berel Lazar, très proche du président Poutine, reçut un certain nombre de décorations d'État, dont l'ordre du Mérite de la Patrie. Laquelle patrie donc ? Berel Lazar est citoyen de 4 (quatre) États. [10, 11]
Le fils de Berel Lazar, Yechezkel Lazar, s’est rendu en Crimée pour y habiter en tant que rabbin de Simféropol. [12]
De méchantes langues sur internet notent que la date du référendum sur le rattachement de la Crimée à la Russie, le 16 mars 2014, a coïncidé avec la fête judaïque Pourim. On cite d’autres exemples des dates de Pourim : l’opération « Tempête du désert » - l’écrasement de l'Irak le 28 février 1991 ; l’ultimatum et le début de la guerre contre l'Irak, le 18 mars 2003 ; l'invasion de la Libye, le 19 mars 2011. Est-ce vrai ? « Alors qu'à Bagdad, des civils innocents périssaient sous les bombes américaines, dans une synagogue de Chabad à Mariyna Rocha à Moscou (et dans d’autres), selon le témoignage des Juifs qui y assistaient, on portait des toasts à la victoire des armes américaines et on faisait des blagues sales et cyniques sur les Irakiens. En particulier, le chef de Chabad en Russie et dans l'ancien territoire soviétique, le rabbin Berel Lazar a dit : « Dieu est pour nous. Nous n'avons même pas besoin de combattre nos ennemis nous-mêmes. Les goys, les Américains, le font pour nous ! » - le même livre de K. Guilarov.
Apparemment, l’ensemble de la « géopolitique » n’est rien d’autre que l’édification d'un Grand Israël à l’échelle mondiale, dans la forme ouverte, puisque dissimulé, il existe déjà.
Il y a plus de mille ans, la Crimée faisait partie de la Khazarie...
Traduit et commenté par Olga (TdR)