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21/03/2019

 Un clan khazar (partie 2)

Partie 1

 

L'influence des Rothschild était si grande qu'un commentateur français au XIXe siècle constata : « Il n'y a qu'un seul pouvoir en Europe, et ce sont les Rothschild ». Les Rothschild est l'un des importants clans dynastiques khazars associés à la franc-maçonnerie (les Illuminati) et ayant pour objectif de créer un nouvel ordre mondial. Pour atteindre cet objectif, ils se sont livrés à tous les crimes, y compris l'organisation des révolutions et des guerres mondiales les plus sanglantes où la Russie était invariablement une cible principale.

 

Immédiatement après la révolution en Russie, financée par les banquiers khazars, la Chase Bank des Rothschild/Rockefeller s'empara du pouvoir sur le capital centralisé et sur l'état russe.

 

Christian Rakovski (Haïm Reikover), ancien dictateur sanglant de l’Ukraine soviétique, ami personnel de Trotski, l’un des fondateurs de l’Internationale communiste, membre de la loge Illuminati, ancien ambassadeur soviétique à Paris, a fait en 1938 une déclaration choquante sur la révolution et les projets des Rothschild. Les documents de l’interrogatoire de Rakovski ont par la suite été publiés dans le livre Symphonie rouge. Il a confirmé que les Rothschild Illuminati prévoyaient d'utiliser le communisme pour établir une dictature mondiale des super-riches.

 

Rakovski dit ceci à propos de Trotski : « Comment et pourquoi s'élève Trotski, jeune et inconnu ? Il se marie... et vient en Russie avec sa femme Sedova, fille de Jivotovski, lié aux banquiers Warburg, compagnons et apparentés de Jacob Schiff dont le groupe financier a également financé la révolution de 1905. C'est pourquoi Trotski se mit d'un seul coup à la tête de la liste des révolutionnaires. Voici la clé de sa vraie personnalité. Revenons à 1914. Trotski est derrière les personnes qui ont commis l'attentat contre l'archiduc, et cet attentat a provoqué la guerre en Europe. Croyez-vous vraiment que l’attentat et la guerre ne sont qu’une contingence... »

 

Selon Rakovski, Kerenski fut amené au pouvoir afin de provoquer des effusions de sang et de soumettre tout l'État au communisme, ce qu'il a fait. Trotski obtient ainsi la possibilité de se saisir de l'appareil étatique dans son ensemble. C'est-à-dire que les bolcheviks ont reçu ce que les banquiers khazars leur ont remis. Kerenski, d'après les dires de Rakovski qui était initié à certains secrets des magnats khazar, était un complice de Trotski.

 

En 1937, un bouquin fut écrit et publié aux États-Unis, Trotski et les Juifs derrière la révolution russe (réédité en 1980, États-Unis, Christian Defence League, traduit par John Galepeno. Moscou, 2003). Son auteur russe, un émigré de Russie, ancien commissaire de guerre civile, écrit :

 

L'empire Rothschild, qui comprend l'Angleterre et la France, rêvait depuis longtemps de rejoindre les innombrables ressources naturelles de la Russie. Le gouvernement démocratique de Kerenski, soutenu par Rothschild, a créé des conditions favorables à la prédominance des sionistes... C'est le groupement de sionistes Rothschild qui a renversé le tsar en 1917...

Si la guerre civile était le résultat de la lutte des partis politiques, elle se serait vite terminée. Les blancs et les rouges se seraient vite épuisés. Ce qui se passait réellement, c'était la guerre de la mafia Rothschild et de la mafia Schiff qui ont constamment stimulé cette guerre avec les finances. Cela explique pourquoi la guerre civile a duré aussi longtemps, et pourquoi la guerre civile était beaucoup plus brutale que la guerre mondiale qui venait de s’achever. En effet, il ne s'agissait pas en réalité d'une guerre, mais bien d'une extermination délibérée de peuples dans le but du dépeuplement maximal, la désertion de la Russie. La dépopulation maximale ouvrait la voie aux rois de la finance qui pouvaient utiliser à leur avantage les richesses naturelles de la Russie.

 

À propos, les Khazars ne cessaient de vilipender Staline pour les répressions. Mais voici ce que dit Rakovski : « Lorsqu’après la mort de Lénine, Trotski est resté seul avec Staline qui commença une activité fébrile, nous prévoyions déjà notre défaite au Comité central. Il nous fallait trouver rapidement une solution, et nous avons décidé de faire semblant d'être les alliés de Staline, de devenir staliniens plus encore que lui-même, pour commencer à aller trop loin et saboter ainsi sa politique. Vous connaissez le reste vous-même ».

 

Quelle était « l'activité fébrile » de Staline dont Rakovski parlait ? Staline a d'abord fait appel à tous les travailleurs et travailleuses du pays pour qu'ils envoient au parti des honnêtes gens avancés. Cela assura un afflux de nouvelles forces jeunes non infectées par le trotskisme. En 1924, sur le nombre total 735 mille de communistes, 241,5 mille étaient des représentants de cet appel. Et Staline a mis en avant le slogan « Nous sommes des révolutionnaires russes ». Il s'est adressé au peuple : « Nous avons 50 à 100 ans de retard sur les pays avancés. Nous devons couvrir cette distance en dix ans. Ou nous le faisons, ou nous serons écrasés ».

 

La guerre appelée « la révolution mondiale » de Trotski, financée par les Rothschild, s’est poursuivie pendant la guerre mondiale de Hitler. Hitler a également été financé par les Rothschild. Ils ont commis des crimes contre leur peuple, sacrifié la vie de nombreux Juifs pour en faire un prétexte pour former l'état d'Israël.

 

De nombreux faits historiques montrent que tous les coups d'état et guerres depuis la fin du XVIIIe siècle ont été orchestrés par les Rothschild.


   1939 : L’entreprise I. G. Farben, le premier fabricant mondial de produits chimiques, commença à maximiser sa production. La quasi-totalité de produits était utilisée pour armer l'Allemagne avant la Seconde guerre mondiale. La société était contrôlée par les Rothschild.

 

Rakovski témoigne que les mêmes forces qui ont élevé et amené au pouvoir Trotski, ont donné à Hitler une opportunité de triompher. Puisqu’ils ont vu enfin l’impossibilité de renverser Staline par un coup d'état, leur expérience historique leur dictait une solution « bis » (répétition) : faire à Staline ce qui avait été fait au tsar.

 

Comme l’indique Rakovski, il y avait une difficulté qui leur semblait insurmontable. Il n'y avait pas d'état agresseur dans toute l'Europe. Aucun d'entre eux n'était bien situé géographiquement et ne disposait pas d'une armée suffisante pour attaquer la Russie. Comme il n'y avait pas de pays convenable, alors ils ont dû le créer. Seule l’Allemagne avait la population et les positions appropriées pour attaquer l'URSS et pouvait vaincre Staline ; mais la république de Weimar n'a pas été conçue comme un agresseur, ni politiquement ni économiquement ; au contraire, elle était accessible à l'invasion. À l'horizon de l'Allemagne affamée, l'étoile éphémère de Hitler se leva. Deux yeux perspicaces ont arrêté ses regards sur elle. Le monde a été témoin de son élévation fulgurante.

 

   1940 : Hansjurgen Koehler écrit dans le livre Inside The Gestapo ce qui suit à propos de la grand-mère de Hitler, Anne Marie Schicklgruber : « La jeune fille est venue à Vienne pour travailler comme domestique et est devenue servante dans le manoir Rothschild. Le grand-père de Hitler devrait probablement être recherché dans ce manoir luxueux ». Walter Langer dans The Mind Of Hitler confirme cette information en disant : « Le père d'Adolf, Alois Hitler, était le fils illégitime d'Anne Marie Schicklgruber... Anne Marie Schicklgruber vivait à Vienne lorsqu'elle est tombée enceinte. Elle travaillait alors comme domestique dans la maison du baron Rothschild. Dès que les propriétaires ont appris qu'elle était enceinte, elle a été renvoyée chez elle, où Alois est né ».

 

Rakovski fait savoir que, lorsque le parti national-socialiste a connu une crise de croissance en 1929 et n'avait pas suffisamment de ressources financières, ils ont envoyé leur émissaire là-bas. C'était l'un des Warburgs. En négociations directes avec Hitler, ils ont convenu de financer le parti national-socialiste. En deux ans, Hitler reçut des millions de dollars de Wall Street, ainsi que des millions de marks des financiers allemands par l'intermédiaire de Schacht. Les dollars et des marks envoyés par eux, assuraient l’entretien de SA et SS, ainsi que le financement de l’élection qui donna le pouvoir à Hitler.

 

Le paradoxe était qu'ils se battaient pour le communisme sous la forme d'un état mondial ; Staline, contrairement à eux, agissait en tant que nationaliste et homme d'état. Rakovski confirma que Staline n'était pas, de fait, un communiste. D'après Rakovski, « Staline n'était pas en mesure de donner effet à une seule théorie marxiste ». Staline était appelé communiste, mais ne l’était pas selon l’idéologie et les actes. Objectivement, il adoptait des positions impériales et était donc comparable pour eux au tsar. Hitler combattait « le tsar autocratique Koba Ier » et objectivement, Hitler était un communiste révolutionnaire qu'ils ont amené au pouvoir pour lutter contre notre état.

 

Après la guerre, en 1948, le président Harry Truman, sous la pression des Rothschild, reconnaît l'état d'Israël. Pour cela, ils ont alloué 2 000 000 $ à sa campagne électorale. Ils ont déclaré que l'Israël est le premier état juif en Palestine et, une demi-heure après, le président Truman annonça que les États-Unis étaient le premier état étranger à reconnaître cela. On présenta le drapeau de l'Israël. Le symbole des Rothschild - l’étoile à six branches - est devenu l'emblème du drapeau. Ce symbole a provoqué l’indignation des nombreux Juifs qui croyaient que la Ménorah, le symbole juif le plus ancien, aurait dû devenir l'emblème. On disait également que la soi-disant étoile de David n'était même pas un symbole juif.

 

Le 4 juin 1963, le président John F. Kennedy a signé le décret 11110 qui redonnait au gouvernement des États-Unis le droit d'émettre la monnaie en contournant la Réserve fédérale des Rothschild. Moins de six mois plus tard, le 22 novembre, le président Kennedy fut assassiné, à l’avis de beaucoup, par les Rothschild pour la même raison qu’ils avaient tué le président Lincoln en 1865. Il voulait imprimer de la monnaie américaine pour le bien du peuple américain et non pas pour enrichissement d’une poignée d'étrangers engagés dans le pillage et la fomentation de la guerre. Le décret 11110 fut abrogé par le président Lyndon Johnson le jour même de l'assassinat du président Kennedy.

 

Continuons la chronologie du clan Rothschild. En 1980, commence le processus mondial de la privatisation. Dès le début, les Rothschild sont derrière cela, en vue de prendre le contrôle de tous les actifs d'état dans le monde.

 

   En 1987, Edmond de Rothschild crée la Banque mondiale (World Conservation Bank), dont l’activité vise à transférer les dettes des pays du tiers-monde à cette banque et à recevoir des terres, c’est-à-dire leurs territoires, à titre de paiement de dettes.

   En 1995, l’expert en énergie atomique Kitty Little affirme que les Rothschild contrôlent actuellement 80 % des réserves mondiales d’uranium, ce qui les fait des monopolistes dans le domaine de l’énergie nucléaire.

   Enfin, en 1998, la Banque centrale européenne est créée à Francfort, la ville d'origine du clan Rothschild.

 

Les Rothschild étaient à la tête du complot géopolitique contre l'URSS en 1991. Au printemps 1991, le premier ministre soviétique de l'époque Valentin Pavlov le déclara publiquement.

 

À la fin des années 1980, la « cinquième colonne » n'avait peur de rien et privatisait ouvertement le pays. Gorbatchev autorisa la création à Moscou de la puissante banque commerciale internationale « Banque de financement public et de crédits de programmes nationaux » (BNP). La banque suisse des Rothschild, Banque Privée Edmond de Rothschild SA, ainsi que les plus grandes corporations financières américaines des Morgan et Rockefeller devaient devenir ses principaux actionnaires. Les Rothschild ont exigé de la Commission d'études des forces et ressources naturelles de l'Académie des sciences de l'URSS qu’elle dresse un inventaire global de toutes les ressources du continent.

Mais voilà, le KGB annonça que les dirigeants de plusieurs coentreprises participant à la création de la BNP, étaient liés à la mafia internationale ! En outre, il est apparu que le trafic de narco-dollars en provenance des cartels de la drogue était acheminé en Suisse. Et une partie importante de ces fonds s’installait dans les banques Rothschild.

 

Le blanchiment d'argent se passait sous le contrôle d'Israël. Les frères banquiers Guy et David de Rothschild faisaient des versements au profit de l’Israël par l'intermédiaire de la plus grande organisation sioniste de France, la Fondation Sociale Unie Juive, dont ils étaient président et trésorier. Le scandale imminent fut éteint et il fut décidé d'investir les narco-dollars dans la perestroïka soviétique. Au cours de cette entreprise de grande envergure, de hauts fonctionnaires nationaux se sont avérés sujets à des attaques. Alors, définitivement et ouvertement, le cours a été pris pour détruire l'URSS...

 

À propos, Mikhaïl Khodorkovski passa « de prison » ses actions (soit 53 %) à lord Jacob Rothschild... Cela signifie que Khodorkovski n'était qu'un propriétaire nominal de Yukos.

 

Ce sont eux, la dynastie Rothschild, qui est à la tête du gouvernement mondial de la Khazarie invisible. Ils ont un trait dominant khazar - l'aspiration pour faire la guerre et tuer. Le Christ dénonça cette passion des chefs spirituels de la religion de l’antéchrist qui naissait déjà à l'époque : « Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds; car il est menteur et le père du mensonge. » (Jean 8, 44)

 

La Première guerre mondiale, organisée par les Rothschild et le gouvernement mondial, a fait 10 millions de morts et 20 millions de blessés. La révolution en Russie a coûté la vie à 30 millions de personnes de plus, et c'est seulement pour la période de cinq ans où Trotski et Lénine étaient au pouvoir, soit jusqu'en 1924.

La première guerre mondiale rapporta à Edward Rothschild et au gouvernement mondial khazar plus de 100 milliards de dollars. Pour répéter, ils ont amené au pouvoir Hitler et orchestré la seconde guerre mondiale qui a coûté la vie à de nouvelles dizaines de millions.

 

L’une et l’autre des guerres mondiales visaient principalement à atteindre des objectifs religieux. À la suite de la première guerre mondiale, l'état monarchique orthodoxe et le tsar russe, opposé à la création d'un état sioniste en Palestine, ont été détruits. À la suite de la seconde guerre mondiale, cet état, créé sur la base non pas de l'identité ethnique mais de l'identité religieuse des Khazars et de leur chef spirituel de la tribu de Dan, fut cependant créé.

 

Maintenant, les Rothschild et d’autres banquiers ont organisé une crise financière et mis à l’ordre du jour une troisième guerre mondiale visant à détruire l’état national traditionnel, à la suite d’une sorte de provocation, à détruire la mosquée Al-Aqsa, et après avoir complètement épuisé l'humanité par la guerre, créer un kaganat global sur les ruines des états nationaux et amener l'antéchrist au pouvoir, en le faisant passer pour le « principal pacificateur » et le roi de tous les peuples.

 

Les rangs les plus élevés de l'armée de l'Antéchrist comprennent, tout d'abord, les magnats financiers Rothschild ayant leur siège à Londres - les fondateurs et inspirateurs de l'organisation mondiale des khazars-sionistes, obsédés par la domination mondiale et la richesse, et pour cela, capables de n’importe quel crime. Heinrich Heine déclara : « L'argent est le dieu de notre temps et Rothschild est leur prophète ».

 

Les Rothschild et leurs agents les Rockefeller jouent un rôle clé dans l’organisation de la désintégration mondiale en utilisant la Réserve fédérale comme l’arme de destruction des états du monde.

 

Le baron Alfred Rothschild de Londres a été l’idéologue de la loi sur la Réserve fédérale américaine. Andrew Hitchcock (« Histoire des changeurs de l'argent », 2006) et Eustace Mullins (« Les secrets de la réserve fédérale », 1991) montrent que la Banque fédérale de réserve est le leader absolu de la finance mondiale et est impliquée dans l'organisation des crimes d’envergure mondiale, y compris les révolutions et les guerres. Hitchcock souligne que « le principal objectif du système de la Réserve fédérale est de construire un état mondial, un nouvel ordre mondial corporatif ». Mais cela représente l’objectif de la Khazarie Invisible.

 

À cet égard, je rappelle les paroles de Nathan Rothschild : « Peu importe quelle marionnette siège sur le trône de l’empire britannique. La personne qui contrôle l’émission monétaire en Grande-Bretagne, contrôle l'Empire britannique, et c’est moi qui contrôle l’émission monétaire en Grande-Bretagne ». Ayant pris le contrôle de la monnaie aux États-Unis, les Rothschild ont donc pris le contrôle de ce pays. En 1787, Thomas Jefferson a dit : « Si jamais le peuple américain permet de contrôler l’émission de leur monnaie par l'inflation et par la déflation, alors les banques et les corporations qui vont surgir autour d’eux, vont priver les citoyens de toute la propriété jusqu'à ce que leurs enfants se réveillent sans-abris sur le continent conquis par leurs pères ». C'est exactement ça, comme si cela a été dit hier.

 

En 1907, les banquiers ont décidé de faire exactement cela. Rothschild et Jacob Schiff, chef de Kuhn, Loeb and Co., ont lancé un ultimatum devant la Chambre de commerce de New-York, dont le contenu essentiel était : « Jusqu'à ce que nous disposions d'une banque centrale avec un contrôle approprié des ressources de crédit, notre pays va connaître la plus grave crise financière de son histoire avec des conséquences dévastatrices ».

 

En effet, la crise éclata : J. P. Morgan, agent de Rothschild, en collusion avec ses complices, firent s'écrouler le marché boursier. Et le Congrès accéda aux désirs de Morgan. Il faisait de l'argent avec rien, et le Congrès le permettait. Il émit 200 millions de dollars et devint un héros. Ensuite, une loi fut signée portant création de la Commission nationale des monnaies. Cette commission devait étudier le problème bancaire et faire des recommandations au Congrès. Naturellement, la commission comprenait J. P. Morgan et ses complices. Le sénateur Nelson Aldridge, le grand-père maternel du vice-président Nelson Rockefeller et de David Rockefeller, chef du Conseil des relations internationales, présidait la commission.

 

Le sénateur Aldridge s’est immédiatement rendu en Europe, où il s’est entretenu avec des banques centrales privées en Angleterre, en France et en Allemagne, c’est-à-dire avec Rothschild, Rothschild et Rothschild.


Après le retour d’Aldridge d’Europe, une réunion de banquiers eut lieu. Avec Aldridge, Paul Warburg y assistait, qui touchait sa paie de Kuhn, Loeb & Company pour son lobbying en faveur de la création d’une banque centrale privée en Amérique. Jacob Schiff était également présent.

 

Les familles Rothschild, Warburg et Schiff, entrelacées à la suite d’unions matrimoniales, sont devenues quasiment une seule famille et ont formé ce que l’on appelle maintenant les Illuminati. Leur objectif est de dominer la planète par le biais de la dictature du gouvernement mondial, de l'armée mondiale et de la population munie de puces électroniques.

 

Après que Woodrow Wilson ait été élu en 1913 à la présidence américaine, Morgan, Paul Warburg, Bernard Baruch et d'autres proposèrent un nouveau plan que Warburg appela la Réserve fédérale. Et la direction du parti démocrate s'est prononcée en faveur de ce plan et de l'adoption d'une loi correspondante qui instituerait la création de ce qu'on appelle la Réserve fédérale. Le procureur Alfred Krosier déclara à cette occasion : « La loi confère aux banquiers un pouvoir exceptionnellement dangereux : créer de l'argent ».

 

En 1911, c'est-à-dire avant que Woodrow Wilson soit élu président, Edward Mandel House, agent de Rothschild et proche conseiller de Wilson, a écrit un livre intitulé Philip Dru : Administrator. A Story of Tomorrow, 1920-1935. Sur la forme, c’était un roman, mais en fait, un plan détaillé pour le futur gouvernement des États-Unis, qui devrait « établir le socialisme sous la forme dont Karl Marx rêvait ».

 

Les Schiff, Warburg, Kahn, Rockefeller et Morgan avaient fait de Haus leur confident. L'une des institutions décrites par House était justement la Réserve fédérale. Les Rothschild ont préposé House à Wilson en tant que conseiller. Et ainsi, le vrai pouvoir en Amérique n'appartenait nullement au président des États-Unis. Ils le font jusqu'à présent - ils affectent leurs agents aux présidents en tant que conseillers. C'est leur technique. Tous les conseillers proches des dirigeants de pays tels que la France, le Royaume-Uni et les États-Unis, soit appartenaient à la famille Rothschild, soit étaient contrôlés par eux.

 

La loi sur la Réserve fédérale fut signée le 22 décembre 1913. Un moment propice a été choisi, lorsque les sénateurs étaient partis pour les vacances de Noël. En outre, les dirigeants ont promis aux sénateurs que la loi ne serait pas mise aux voix pendant les vacances. Par la suite, en raison du fait que l’adoption de la loi eut lieu pendant les vacances de Noël, on a appelé cet événement « le massacre des Innocents ».

 

Eustace Mullins écrit : « Woodrow Wilson signa la loi fédérale sur la Réserve fédérale le 23 décembre 1913. L'histoire a prouvé que ce jour-là, la Constitution avait cessé d'être la loi du peuple américain, et nos libertés avaient été transférées à un petit groupe de banquiers internationaux ».

 

Les États-Unis comme un état et le peuple américain, ayant perdu ses libertés à la suite du complot des banquiers khazars, devinrent les otages de ce groupe axé sur la destruction de l'état national par le biais des guerres, révolutions et crises.

 

En son temps, le Comité de la Chambre des représentants sur les questions bancaires et du logement a préparé un rapport intitulé « Les administrateurs de la Réserve fédérale : étude de l'influence des entreprises et des banques ». Comme il ressort de ce rapport, le haut de la structure hiérarchique de la direction de la Banque fédérale de réserve apparaît comme suit.


Les propriétaires des actions de la Banque fédérale de réserve à New-York sont des personnes qui ont inspiré et provoqué les événements politiques et économiques les plus importants depuis 1914 et qui possèdent les plus grandes banques. Ce sont les Rothschild - Rothschild Bank (Londres, Berlin, Paris), Lazard Frères (Paris), Israel Moses Seif Banks (Italie), les Schiff,  Kuhn Loeb Bank (Allemagne, New-York), les Warburg - Warburg Bank (Amsterdam, Hambourg), Lehman Brothers (New-York), Goldman Sachs (New-York), les Rockefeller (New-York) et les Morgan (New-York).

 

C’est-à-dire que la majorité des propriétaires de la Réserve fédérale sont des étrangers. Ils décident du sort. La Réserve fédérale américaine imprime de l’argent et le prête au gouvernement américain, à son propre avantage.

 

Les intérêts de cette corporation sont à la base de la plupart des lois et réglementations américaines concernant pratiquement tous les aspects de la vie sociale. Ainsi, toutes les sphères de l'activité vitale du pays, y compris ses dirigeants, se sont  trouvés sous le contrôle de la Réserve fédérale, ce qui permit d'appeler la Fed l'état. Et de fait, les lois américaines sont privées. Tous ceux qui les écrivent officiellement - l'Institut de droit fédéral, toutes sortes de professeurs de droit - ne sont autres que des agents des intérêts des banques étrangères.

 

Il en est résulté une oligarchie d'avocats et de banquiers qui contrôlent les trois branches du pouvoir en Amérique. En conséquence, le 13e amendement à la Constitution des États-Unis fut aboli. Le texte original stipulait : « Si un citoyen des États-Unis accepte, tente d'obtenir ou de conserver un titre aristocratique ou un titre honorifique ou, sans le consentement du Congrès, accepte ou tente de conserver un cadeau, une pension, un poste, indemnité ou autre rémunération d'un empereur, un roi, un prince ou une puissance étrangère, cette personne cesse d'être considérée comme un citoyen des États-Unis et est privée du droit d'occuper un poste fiduciaire ».

 

La violation de la Constitution aux États-Unis résulta en ce qu’on appelle « le gouvernement de l'ombre ». Étant de nature supranational et antinational, il a commencé à contrôler le pouvoir de l’état et à diriger le pays. Cela est exprimé dans la citation suivante : « L’Amérique est devenue un état en faillite qui est complètement passé aux mains des créanciers. Ils possèdent le Congrès, ils possèdent le pouvoir exécutif, ils possèdent le pouvoir judiciaire. Ils possèdent toute l'administration d’état. Avez-vous un certificat de naissance ? Il leur appartient également ».

 

Afin de réaliser ses objectifs destructeurs en vue de la construction du kaganat mondial, les Rothschild ont mis en place un système des organisations non-gouvernementales et des fondations dont le Fonds mondial pour la sécurité occupe une place particulière. [...]

 

Un phénomène étonnant s'est produit sous l'influence de la stratégie bancaire vis-à-vis de l'état et de la société américaine. Les tribunaux n’envisagent désormais que deux catégories de personnes : les débiteurs et les créanciers. N’est-ce pas le début de l’esclavage, son prologue ? Mais de la même manière, le monde entier est maintenant divisé : d’une part, les états débiteurs et, d’autre part, les banques créancières khazars qui appartiennent à des banquiers de la tribu de Dan. Et ces banques tiennent les états à la gorge sous la menace de la faillite et de la grande dépression, et les états sont forcés d’obéir. Mais ce pouvoir est basé sur le chantage. Il n'a pas de couverture financière. Il n’y a que le mensonge et la tromperie derrière lui. Il ne repose pas sur de l'argent réel, mais sur le droit de le manipuler et gérer, car les banquiers s’arrogèrent ce droit.

 

Il existe une banque créancière internationale khazar qui, avec l'aide de ses agents à l'intérieur du pays et de provocations, amène la situation à la crise financière et au renforcement du sentiment révolutionnaire. Ensuite, les autorités de ce pays, pour rester au pouvoir, s’adressent aux banquiers, et ceux-ci arrêtent les provocations organisées par leurs propres agents et règlent l'affaire. Le gouvernement, malgré le fait qu'il soit tombé dans une dépendance totale de la banque, est satisfait d'être resté au pouvoir. Mais il arrive un moment où la banque demande le remboursement du prêt. Et le gouvernement n’a pas de quoi rembourser. Ensuite, le gouvernement paie en nature - par la souveraineté et par la structure d'état, ce qui conduit en fin de compte à l’effondrement de l’état. Mais la destruction de l'état est l'objectif principal des banquiers de la tribu des Dan, la principale condition de la création du kaganat global dirigé par l'Antéchrist.

 

 

Source rv.ru, 2009

Traduit par Olga (TdR)

 

Ndt.  J’ai corrigé en haut de l’article précédent une erreur d'orthographe que propose perfidement le dictionnaire conforme aux réformes autoritaires de l'académie Rothschild. C’est le mot auteur qui est en question. Une femme qui écrit est, bien sûr, un auteur - tout comme pour une personne qui peut bien être un homme.

Avec la terminaison -e le mot est déformé, cependant, si une personne étrangère comme moi le voit en caractères gras dans le dictionnaire de renom, cela brouille les doutes. C’est quand même dommage de tomber dans un traquenard  des forces des ténèbres. Il faut être prudent avec les dictionnaires à l'époque des réformes insidieuses.